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Dans la quasi-totalité des orchestres kinois, les jeunes filles (danseuses) sont utilisées comme des bêtes de somme qui mettent, sans pudeur, leur corps en compétition pour simplement gonfler les poches de leurs patrons qui, au retour, ne leur accordent aucun crédit.
En acceptant de se dénuder sur scène pour le simple plaisir du public, ces filles ne se rendent pas compte qu’elles bafouent les prescrits de la coutume bantoue qui place la femme à la tête de la famille. Etre sacré, la femme est une créature qui ne doit nullement présenter ses « privés » n’importe où et à n’importe qui.
Cette attitude a retenu l’attention du patron de l’orchestre « Cultur’A Pays vie », S’Grave « Mokuwa bongo », qui tape du poing sur la table. Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer le mauvais comportement de certains artistes-musiciens qui n’accordent aucun crédit aux œuvres qu’ils écrivent, ne se contentant plus que de présenter au public des chansons immorales et pleines d’insanités…..
Poussant encore plus loin, ils continuent leurs frasques même dans le secteur de l’habillement où ils se prélassent dans des accoutrements indécents. Ce qui n’est pas digne des ambassadeurs de la culture congolaise qu’ils sont étant donné que même à l’extérieur de nos frontières, ils continuent à véhiculer des messages indignes. Les étrangers qui les voient et les suivre croient que c’est là la réalité de vie en RDC.
Tablant sur ces faits, et en sa qualité de leader d’opinion de la musique congolaise, le patron de « Cultur’A Pays Vie » demande à la Commission Nationale de Censure de jouer correctement son rôle régulateur. Car, trop c’est trop. Il faudra que les musiciens d’aujourd’hui puissent se comporter comme des vraies références de leurs aînés d’hier qui n’avaient jamais agis de la sorte.
Il demande, en outre, que cesse cette canalisation mercenaire dans le circuit de la musique congolaise. Les musiciens, dont la plupart sont des pères de familles, sont censés afficher une attitude digne et non faire de la fornication leur essence de vie. Quelle leçon donneront-ils à leurs rejetons ?
Kingunza Kikim Afri
En acceptant de se dénuder sur scène pour le simple plaisir du public, ces filles ne se rendent pas compte qu’elles bafouent les prescrits de la coutume bantoue qui place la femme à la tête de la famille. Etre sacré, la femme est une créature qui ne doit nullement présenter ses « privés » n’importe où et à n’importe qui.
Cette attitude a retenu l’attention du patron de l’orchestre « Cultur’A Pays vie », S’Grave « Mokuwa bongo », qui tape du poing sur la table. Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer le mauvais comportement de certains artistes-musiciens qui n’accordent aucun crédit aux œuvres qu’ils écrivent, ne se contentant plus que de présenter au public des chansons immorales et pleines d’insanités…..
Poussant encore plus loin, ils continuent leurs frasques même dans le secteur de l’habillement où ils se prélassent dans des accoutrements indécents. Ce qui n’est pas digne des ambassadeurs de la culture congolaise qu’ils sont étant donné que même à l’extérieur de nos frontières, ils continuent à véhiculer des messages indignes. Les étrangers qui les voient et les suivre croient que c’est là la réalité de vie en RDC.
Tablant sur ces faits, et en sa qualité de leader d’opinion de la musique congolaise, le patron de « Cultur’A Pays Vie » demande à la Commission Nationale de Censure de jouer correctement son rôle régulateur. Car, trop c’est trop. Il faudra que les musiciens d’aujourd’hui puissent se comporter comme des vraies références de leurs aînés d’hier qui n’avaient jamais agis de la sorte.
Il demande, en outre, que cesse cette canalisation mercenaire dans le circuit de la musique congolaise. Les musiciens, dont la plupart sont des pères de familles, sont censés afficher une attitude digne et non faire de la fornication leur essence de vie. Quelle leçon donneront-ils à leurs rejetons ?
Kingunza Kikim Afri
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