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Alors que les passionnés de la musique attendaient la clôture de la neuvième édition pour le 20 juillet, c’est finalement un jour avant que le ministre d’État, directeur de cabinet du chef de l’État, Firmin Ayessa, a patronné la cérémonie de clôture de cette fête panafricaine au stade Félix Eboué.
Ouvert le 13 juillet par le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, la neuvième édition du Fespam qui a fermé ses portes le 19 juillet, a laissé un goût d’inachevé chez les mélomanes.
Il était 20 heures lorsque les présentateurs de la soirée annoncent le dernier spectacle de la neuvième édition du Fespam et, partant, la fin de la fête, devant un public qui se comptait encore.
Des riverains attirés ont pu rattraper ce dernier spectacle lorsqu’ils ont vu les feux d’artifice illuminer le ciel.
Sur le podium, le spectacle venait de commencer quand, le ministre d’État, directeur de cabinet du chef de l’État, Firmin Ayessa, déclare close, la neuvième édition du Fespam. En précisant que le spectacle peut continuer jusqu’à x heure de la nuit.
Finalement c’est au-delà de minuit que le dernier groupe a fini de prester. Il s’agit du groupe Zaïko Langa-Langa, de Nyoka Longo « Vieux Bombas » qui a bouclé la boucle avec sa danse « Mokongo ya coba ». Peu avant, plusieurs groupes et individualités l’avaient précédé sur le podium.
Il s’agit entre autres : de la délégation camerounaise ; du groupe folklorique Malawi d’Égypte ; de Patrouille des stars authentique de Kevin Bouandembenga « Le Kouembali ». Le Franco-centrafricain Singuila a fait autant, avec des chansons comme « J’ai un sang chaud ou Ma nature». Tout comme Fanny J, qui a conduit le public dans le monde du zouk avec des chansons comme « Je t’aime, Un jour ça va coller… ». La bête de la scène Lace, venue droit des Etats-Unis, a électrisé la foule l’a accompagnée le long de son spectacle.
Venue pour la première fois à Brazzaville, elle a dit sa joie espérant un jour revenir.
Dans la journée, le ministre congolais de la Culture et des arts, a assisté à un concert de musique classique avec l’orchestre symphonique de Kinshasa (OSK), qui a eu lieu à l’auditorium du ministère des Affaires étrangères (...)
Extrait d’un article de Bruno Okokana (Les Dépêches de Brazzaville, N°1786 22/07/13)
Ouvert le 13 juillet par le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, la neuvième édition du Fespam qui a fermé ses portes le 19 juillet, a laissé un goût d’inachevé chez les mélomanes.
Il était 20 heures lorsque les présentateurs de la soirée annoncent le dernier spectacle de la neuvième édition du Fespam et, partant, la fin de la fête, devant un public qui se comptait encore.
Des riverains attirés ont pu rattraper ce dernier spectacle lorsqu’ils ont vu les feux d’artifice illuminer le ciel.
Sur le podium, le spectacle venait de commencer quand, le ministre d’État, directeur de cabinet du chef de l’État, Firmin Ayessa, déclare close, la neuvième édition du Fespam. En précisant que le spectacle peut continuer jusqu’à x heure de la nuit.
Finalement c’est au-delà de minuit que le dernier groupe a fini de prester. Il s’agit du groupe Zaïko Langa-Langa, de Nyoka Longo « Vieux Bombas » qui a bouclé la boucle avec sa danse « Mokongo ya coba ». Peu avant, plusieurs groupes et individualités l’avaient précédé sur le podium.
Il s’agit entre autres : de la délégation camerounaise ; du groupe folklorique Malawi d’Égypte ; de Patrouille des stars authentique de Kevin Bouandembenga « Le Kouembali ». Le Franco-centrafricain Singuila a fait autant, avec des chansons comme « J’ai un sang chaud ou Ma nature». Tout comme Fanny J, qui a conduit le public dans le monde du zouk avec des chansons comme « Je t’aime, Un jour ça va coller… ». La bête de la scène Lace, venue droit des Etats-Unis, a électrisé la foule l’a accompagnée le long de son spectacle.
Venue pour la première fois à Brazzaville, elle a dit sa joie espérant un jour revenir.
Dans la journée, le ministre congolais de la Culture et des arts, a assisté à un concert de musique classique avec l’orchestre symphonique de Kinshasa (OSK), qui a eu lieu à l’auditorium du ministère des Affaires étrangères (...)
Extrait d’un article de Bruno Okokana (Les Dépêches de Brazzaville, N°1786 22/07/13)
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