
Les artistes musiciens Papa Wemba, Koffi Olomide, JB Mpiana et Werrason sont les porte-étendards de la musique de la Rdc.
Troisième artiste-musicien congolais à prester à l’Olympia de Paris en 1998, après Tabu Ley Rochereau en 1970 et Abeti Masikini en 1973, et premier à Bercy en 2000, Koffi Olomide impose à Paris et dans toute l’Europe une formidable machine à danser le Ndombolo.
Et aujourd’hui, l’homme à la voix de velours fait toujours chavirer les cœurs des dames qui constituent 80% de son public.
Une mégalopole (Kinshasa), beaucoup de chorales religieuses et une jeunesse désespérée par ses hommes politiques. Voilà les quatre ingrédients qui font du Congo l’épicentre de la musique africaine.
Dès le 30 juin 1960, tout Léopoldville fête l’indépendance au rythme de la rumba de Grand Kallé ou de Franco. Au début des années 1970, Papa Wemba quitte le groupe Zaïko et entraine une carrière solo. Ce rythme s’accélère, et la rumba met le feu à la nuit congolaise.
Trente ans plus tard, Papa Wemba, continue d’enflammer les clubs de Kinshasa avec son « soukouss » et sa voix haute perchée. Mais l’un de ses anciens compaires va faire mieux.
Avec ses mélodies à couper le souffle et sa libération, Koffi Olomide part à la conquête du monde.
Y a-t-il une vie après Koffi ? Werrason entretient la flamme du Ndombolo. Il a réussi à livrer des spectacles de grande ampleur dans les grandes salles mythiques d’Europe.
Plusieurs fois le Zénith de Paris et l’Olympia, le Bercy, le Palais des sports..., Ngiama Werrason compte sur une équipe des jeunes qu’il encadre, il se fait appeler grand formateur.
Le Brésil a ses footballeurs; le Congo ses musiciens. Quel pays peut avoir plus la belle ambassade ?
B.J.D/La République
Troisième artiste-musicien congolais à prester à l’Olympia de Paris en 1998, après Tabu Ley Rochereau en 1970 et Abeti Masikini en 1973, et premier à Bercy en 2000, Koffi Olomide impose à Paris et dans toute l’Europe une formidable machine à danser le Ndombolo.
Et aujourd’hui, l’homme à la voix de velours fait toujours chavirer les cœurs des dames qui constituent 80% de son public.
Une mégalopole (Kinshasa), beaucoup de chorales religieuses et une jeunesse désespérée par ses hommes politiques. Voilà les quatre ingrédients qui font du Congo l’épicentre de la musique africaine.
Dès le 30 juin 1960, tout Léopoldville fête l’indépendance au rythme de la rumba de Grand Kallé ou de Franco. Au début des années 1970, Papa Wemba quitte le groupe Zaïko et entraine une carrière solo. Ce rythme s’accélère, et la rumba met le feu à la nuit congolaise.
Trente ans plus tard, Papa Wemba, continue d’enflammer les clubs de Kinshasa avec son « soukouss » et sa voix haute perchée. Mais l’un de ses anciens compaires va faire mieux.
Avec ses mélodies à couper le souffle et sa libération, Koffi Olomide part à la conquête du monde.
Y a-t-il une vie après Koffi ? Werrason entretient la flamme du Ndombolo. Il a réussi à livrer des spectacles de grande ampleur dans les grandes salles mythiques d’Europe.
Plusieurs fois le Zénith de Paris et l’Olympia, le Bercy, le Palais des sports..., Ngiama Werrason compte sur une équipe des jeunes qu’il encadre, il se fait appeler grand formateur.
Le Brésil a ses footballeurs; le Congo ses musiciens. Quel pays peut avoir plus la belle ambassade ?
B.J.D/La République
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