Les « kuluna » (bandits de grand chemin : NDLR) ont signé un grand coup dans la nuit du dimanche 25 au 26 août 2013 dans la commune de Ngaliema. Ils ont réussi à ôter la vie à deux personnes, la troisième grièvement blessée a été acheminée dans une formation hospitalière. Horreur à Ngaliema !
En effet, un chauffeur commis au transport en commun a été tué froidement par des « kuluna ». A 4 heures, selon des témoins qui ont parlé sous le sceau de l’anonymat, le chauffeur quitte sa maison pour rejoindre le lieu où il gare son bus, la veille. Chemin faisant, il rencontre un groupe de gens qui lui somment, d’un ton autoritaire, de s’arrêter.
Sans broncher, il s’exécute. L’un d’eux lui demande de remettre au groupe l’argent en sa possession. Il dit ne pas en disposer. « Je viens de la maison et je me rends récupérer mon véhicule au lieu où je l’ai garé la nuit pour débuter mon travail », leur dit-il. Cette réponse ne plaît pas aux membres du groupe et l’assimile à un affront à leur endroit.
L’un d’eux lui tire une balle à bout portant. Atteint, il s’écroule à terre. Sur le champ, il rend l’âme. Les inciviques ont le temps de s’enfuir et de disparaitre dans la nature. Les gens accourus sur le lieu du drame réveillés par la détonation de l’arme constatent l’irréparable : le décès du chauffeur.
Autre meurtre signalé : celui d’un homme. Les « kuluna » sont entrés dans sa maison par effraction. Après une altercation, les inciviques l’ont tué à l’aide d’une arme avant de s’enfuir.
Une autre personne qui a rencontré les « kuluna » sur sa route a été blessée grièvement par ces derniers. Les gens venus à son secours l’ont immédiatement conduit dans une formation médicale pour des soins nécessitant son état.
Le matin, l’information des deux meurtres et de l’attaque à main armée de la troisième personne a fait le tour de Binza-Ozone, où se trouvent les quartiers où ont été commis ces méfaits. « Nous n’arrivons pas à nous expliquer la recrudescence du phénomène ‘kuluna’ à Binza-Ozone et les méfaits dont ils sont auteurs, sans que la Police ne les arrête afin qu’ils répondent de leurs actes devant la justice », s’est plaint un sexagénaire qui demande à la Police nationale d’exercer une vigilance tous azimuts pour veiller à la sécurité des personnes et de leurs biens. A la population, il demande de dénoncer les « kuluna » auprès de l’autorité pour une sanction exemplaire.
Un autre habitant a fait remarquer que les « kuluna » agissent à la faveur de l’obscurité observée dans certains quartiers de Binza-Ozone. « Il faut que la Société nationale d’électricité (SNEL) améliore la desserte en électricité dans ces quartiers pour éviter la répétition de ces méfaits », a-t-il conseillé.
En effet, un chauffeur commis au transport en commun a été tué froidement par des « kuluna ». A 4 heures, selon des témoins qui ont parlé sous le sceau de l’anonymat, le chauffeur quitte sa maison pour rejoindre le lieu où il gare son bus, la veille. Chemin faisant, il rencontre un groupe de gens qui lui somment, d’un ton autoritaire, de s’arrêter.
Sans broncher, il s’exécute. L’un d’eux lui demande de remettre au groupe l’argent en sa possession. Il dit ne pas en disposer. « Je viens de la maison et je me rends récupérer mon véhicule au lieu où je l’ai garé la nuit pour débuter mon travail », leur dit-il. Cette réponse ne plaît pas aux membres du groupe et l’assimile à un affront à leur endroit.
L’un d’eux lui tire une balle à bout portant. Atteint, il s’écroule à terre. Sur le champ, il rend l’âme. Les inciviques ont le temps de s’enfuir et de disparaitre dans la nature. Les gens accourus sur le lieu du drame réveillés par la détonation de l’arme constatent l’irréparable : le décès du chauffeur.
Autre meurtre signalé : celui d’un homme. Les « kuluna » sont entrés dans sa maison par effraction. Après une altercation, les inciviques l’ont tué à l’aide d’une arme avant de s’enfuir.
Une autre personne qui a rencontré les « kuluna » sur sa route a été blessée grièvement par ces derniers. Les gens venus à son secours l’ont immédiatement conduit dans une formation médicale pour des soins nécessitant son état.
Le matin, l’information des deux meurtres et de l’attaque à main armée de la troisième personne a fait le tour de Binza-Ozone, où se trouvent les quartiers où ont été commis ces méfaits. « Nous n’arrivons pas à nous expliquer la recrudescence du phénomène ‘kuluna’ à Binza-Ozone et les méfaits dont ils sont auteurs, sans que la Police ne les arrête afin qu’ils répondent de leurs actes devant la justice », s’est plaint un sexagénaire qui demande à la Police nationale d’exercer une vigilance tous azimuts pour veiller à la sécurité des personnes et de leurs biens. A la population, il demande de dénoncer les « kuluna » auprès de l’autorité pour une sanction exemplaire.
Un autre habitant a fait remarquer que les « kuluna » agissent à la faveur de l’obscurité observée dans certains quartiers de Binza-Ozone. « Il faut que la Société nationale d’électricité (SNEL) améliore la desserte en électricité dans ces quartiers pour éviter la répétition de ces méfaits », a-t-il conseillé.
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