Au nombre des problèmes relevés dans cet établissement, figure l’inexistence des sanitaires pour la bonne hygiène des patients et des gardes malades
Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Brazzaville, la plus grande structure hospitalière du pays, accuse des problèmes d’organisation de ses différents compartiments, notamment l’inexistence des sanitaires pouvant permettre la bonne hygiène des patients et des gardes malades, a-t-on constaté. Avec la nomination d’un nouveau directeur général dans cet hôpital, en la personne de Bernard Ovoulaka, les usagers du Centre ne demandent qu’à vivre dans un endroit propre avec des sanitaires modernes, afin de permettre aussi bien aux patients et gardes malades de bénéficier des conditions de vie adéquates qui ne favorisent pas d’autres maladies.
Le CHU de Brazzaville ne dispose que d’un bloc de sanitaires, obligeant toutes les personnes présentes sur les lieux de faire la queue devant le compartiment qui ne renferme pas plus de 10 salles de bain. Les hommes et les femmes n’utilisent que le même bloc, au grand dam des maladies hygiéniques et des difficultés d’accès aux sanitaires. L’hôpital qui disposait autrefois des sanitaires dans tous les services a vu ses équipements tombés en désuétude, avec des patients et gardes malades qui font tout leur besoin dans la cour de l’hôpital, en dépit des plaques d’interdiction, laissant ainsi craindre des risques de contamination. Les travaux de construction engagés dans le Centre, entre autres, la mise en place des équipements, à l’instar des ascenseurs et l’équipement des salles, donnent une lueur d’espoir aux usagers de la structure, pouvant permettre la prise en charge des patients.
La pharmacie du CHU, par ailleurs, où tout se fait manuellement ne favorise guère l’accession des patients aux médicaments prescrits par le personnel traitant. A l’heure de grande affluence, les patients peuvent attendre pendant une dizaine de minutes devant la caisse.
S’agissant de la prise en charge des malades par les médecins au service des urgences ou dans d’autres services, les patients récusent le fait que les internes venant de la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) s’occupent plus des malades, alors qu’ils devraient être accompagnés par les titulaires dans le processus de leur formation.
La carte sanitaire mise en place par le gouvernement pour soulager la vie des populations à travers le territoire national, devra également prendre en compte la bonne tenue des hôpitaux par les gestionnaires, en vue de rendre viables les lieux et reconquérir le cœur des Congolais portés vers les centres privés et l’étranger.
Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Brazzaville, la plus grande structure hospitalière du pays, accuse des problèmes d’organisation de ses différents compartiments, notamment l’inexistence des sanitaires pouvant permettre la bonne hygiène des patients et des gardes malades, a-t-on constaté. Avec la nomination d’un nouveau directeur général dans cet hôpital, en la personne de Bernard Ovoulaka, les usagers du Centre ne demandent qu’à vivre dans un endroit propre avec des sanitaires modernes, afin de permettre aussi bien aux patients et gardes malades de bénéficier des conditions de vie adéquates qui ne favorisent pas d’autres maladies.
Le CHU de Brazzaville ne dispose que d’un bloc de sanitaires, obligeant toutes les personnes présentes sur les lieux de faire la queue devant le compartiment qui ne renferme pas plus de 10 salles de bain. Les hommes et les femmes n’utilisent que le même bloc, au grand dam des maladies hygiéniques et des difficultés d’accès aux sanitaires. L’hôpital qui disposait autrefois des sanitaires dans tous les services a vu ses équipements tombés en désuétude, avec des patients et gardes malades qui font tout leur besoin dans la cour de l’hôpital, en dépit des plaques d’interdiction, laissant ainsi craindre des risques de contamination. Les travaux de construction engagés dans le Centre, entre autres, la mise en place des équipements, à l’instar des ascenseurs et l’équipement des salles, donnent une lueur d’espoir aux usagers de la structure, pouvant permettre la prise en charge des patients.
La pharmacie du CHU, par ailleurs, où tout se fait manuellement ne favorise guère l’accession des patients aux médicaments prescrits par le personnel traitant. A l’heure de grande affluence, les patients peuvent attendre pendant une dizaine de minutes devant la caisse.
S’agissant de la prise en charge des malades par les médecins au service des urgences ou dans d’autres services, les patients récusent le fait que les internes venant de la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) s’occupent plus des malades, alors qu’ils devraient être accompagnés par les titulaires dans le processus de leur formation.
La carte sanitaire mise en place par le gouvernement pour soulager la vie des populations à travers le territoire national, devra également prendre en compte la bonne tenue des hôpitaux par les gestionnaires, en vue de rendre viables les lieux et reconquérir le cœur des Congolais portés vers les centres privés et l’étranger.
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