Après une accalmie favorisée par l’opération menée par les services policiers de la République du Congo, les brazzavillois sont à nouveau confrontés à la présence des malfrats urbains ou «Kuluna»
Le phénomène dit «Kuluna» remarqué surtout dans la ville de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo (RDC) s’est répandu dans certains quartiers de la ville de Brazzaville, selon divers témoignages. Ces malfrats des milieux urbains plus connus sous l’appellation de «Kuluna» se font de plus en plus parler d’eux dans la ville de Brazzaville après un calme relatif, dû à une opération menée par les services policiers de la République du Congo et cordonnée par son directeur général de la police, le général Jean-François Ndenguet.
Des méthodes de barbares
Ces bandits agissent en groupes baptisés «écuries», en agressant les passants sur la voie publique en leur extorquant argent, téléphones portables, bijoux, etc. Plus grave, ils commettent des voies de fait et blessent certaines personnes sans état d’âme, et ôtent même la vie des innocents en utilisant les armes blanches telles que les machettes, tournevis, couteaux. C’est ainsi qu’à Talangaï, dans le 7ème arrondissement de Brazzaville, un homme proche de la quarantaine, a été victime de leurs pratiques barbares. Ce dernier n’a pu s’échapper de la main de ces bandits au nombre de quatre, que grâce à sa maîtrise des arts martiaux.
Constatant qu’ils étaient dans l’incapacité de venir à bout de leur cible, ils ont résolu de prendre la clé de champ, en le blessant au passage. Il a néanmoins en se défendant, infligé à l’un des malfrats des coups avec qui ont déformé son visage et des blessures au niveau des yeux, selon des témoignages.
Des familles terrorisées à domicile en pleine nuit
Le même scénario se reproduit dans les maisons visitées par ces hôtes indésirables, la plupart des cas dans la nuit, à la différence que ce sont des familles entières qui sont terrorisées. Des hypertendus, incapables de supporter ce traumatisme, voient leurs nerfs mis à rude épreuve et les plus faibles succombent.
Ce phénomène a pris des proportions inquiétantes dans la capitale où aucun arrondissement n’est épargné. Aussi la population s’en prend-elle à l’autorité qu’elle accuse de ne pas assurer sa sécurité ainsi que de ses biens. Cette accusation est une sorte d’interpellation de l’autorité, afin qu’elle prenne des mesures pour mettre hors d’état de nuire ces délinquants devenus un facteur de perturbation de leur quiétude.
Lors d’une réunion de sécurité tenue récemment dans la capitale congolaise à laquelle tous les services de sécurité étaient conviés, les responsables ont été instruits de mettre fin à la recrudescence du banditisme urbain dans tout le territoire du pays.
Le phénomène dit «Kuluna» remarqué surtout dans la ville de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo (RDC) s’est répandu dans certains quartiers de la ville de Brazzaville, selon divers témoignages. Ces malfrats des milieux urbains plus connus sous l’appellation de «Kuluna» se font de plus en plus parler d’eux dans la ville de Brazzaville après un calme relatif, dû à une opération menée par les services policiers de la République du Congo et cordonnée par son directeur général de la police, le général Jean-François Ndenguet.
Des méthodes de barbares
Ces bandits agissent en groupes baptisés «écuries», en agressant les passants sur la voie publique en leur extorquant argent, téléphones portables, bijoux, etc. Plus grave, ils commettent des voies de fait et blessent certaines personnes sans état d’âme, et ôtent même la vie des innocents en utilisant les armes blanches telles que les machettes, tournevis, couteaux. C’est ainsi qu’à Talangaï, dans le 7ème arrondissement de Brazzaville, un homme proche de la quarantaine, a été victime de leurs pratiques barbares. Ce dernier n’a pu s’échapper de la main de ces bandits au nombre de quatre, que grâce à sa maîtrise des arts martiaux.
Constatant qu’ils étaient dans l’incapacité de venir à bout de leur cible, ils ont résolu de prendre la clé de champ, en le blessant au passage. Il a néanmoins en se défendant, infligé à l’un des malfrats des coups avec qui ont déformé son visage et des blessures au niveau des yeux, selon des témoignages.
Des familles terrorisées à domicile en pleine nuit
Le même scénario se reproduit dans les maisons visitées par ces hôtes indésirables, la plupart des cas dans la nuit, à la différence que ce sont des familles entières qui sont terrorisées. Des hypertendus, incapables de supporter ce traumatisme, voient leurs nerfs mis à rude épreuve et les plus faibles succombent.
Ce phénomène a pris des proportions inquiétantes dans la capitale où aucun arrondissement n’est épargné. Aussi la population s’en prend-elle à l’autorité qu’elle accuse de ne pas assurer sa sécurité ainsi que de ses biens. Cette accusation est une sorte d’interpellation de l’autorité, afin qu’elle prenne des mesures pour mettre hors d’état de nuire ces délinquants devenus un facteur de perturbation de leur quiétude.
Lors d’une réunion de sécurité tenue récemment dans la capitale congolaise à laquelle tous les services de sécurité étaient conviés, les responsables ont été instruits de mettre fin à la recrudescence du banditisme urbain dans tout le territoire du pays.
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