Au sortir d'une concertation à Dolisie (sud-ouest) en avril 2013, le gouvernement et l'opposition avaient décidé de l'organisation consensuelle d'un recensement administratif spécial en vue de l'établissement d'un fichier électoral fiable. Ledit recensement a débuté fin juillet. L'opposition a constaté des manquements dans ce recensement. Elle a écrit au gouvernement, n'a pas obteni de réponse, et a donc décidé de suspendre la participation de son représentant à la coordination nationale du recensement.
Ce sont les partis de l’opposition dite républicaine et l’UPADS de l’ancien président Pascal Lissouba qui sont associés à l’organisation du recensement administratif spécial. A mi-parcours de l’opération, ils ont relevé des manquements et des défaillances : «Nous avons des délégués, c’est une opération paritaire. Mais il y a des personnes qui se promènent pour aller faire le recensement, avec des registres qui ne sont pas signés par nos représentants. Alors qu’il était établi que partout où les agents passent, tout le monde doit signer le registre», détaille André Kamba, le vice-président du Must, le Mouvement pour l’unité, la solidarité et le travail.
Pour corriger les manquements constatés, l’opposition a écrit au gouvernement depuis septembre, mais sa lettre est restée sans suite. Elle a finalement décidé de suspendre la participation de son représentant, l’ancien député Dominique Basseyla, à la Coordination nationale du recensement. «Au moment où nous parlons nous n’avons plus de représentant à la coordination. Maintenant, la balle est dans le camp du gouvernement», confirme André Kamba.
Recommandé par la dernière concertation de Dolisie, le recensement devra permettre d’élaborer un fichier fiable pour les échéances électorales à venir.
Ce sont les partis de l’opposition dite républicaine et l’UPADS de l’ancien président Pascal Lissouba qui sont associés à l’organisation du recensement administratif spécial. A mi-parcours de l’opération, ils ont relevé des manquements et des défaillances : «Nous avons des délégués, c’est une opération paritaire. Mais il y a des personnes qui se promènent pour aller faire le recensement, avec des registres qui ne sont pas signés par nos représentants. Alors qu’il était établi que partout où les agents passent, tout le monde doit signer le registre», détaille André Kamba, le vice-président du Must, le Mouvement pour l’unité, la solidarité et le travail.
Pour corriger les manquements constatés, l’opposition a écrit au gouvernement depuis septembre, mais sa lettre est restée sans suite. Elle a finalement décidé de suspendre la participation de son représentant, l’ancien député Dominique Basseyla, à la Coordination nationale du recensement. «Au moment où nous parlons nous n’avons plus de représentant à la coordination. Maintenant, la balle est dans le camp du gouvernement», confirme André Kamba.
Recommandé par la dernière concertation de Dolisie, le recensement devra permettre d’élaborer un fichier fiable pour les échéances électorales à venir.
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