Le long métrage « Han Gong-Ju » du réalisateur sud-coréen Lee Su-Jin a été projeté, au troisième jour du Festival international du film de Marrakech.

« Han Gong-Ju » compte parmi les 15 films en compétition officielle à la 13ème édition du FIFM. Chun Woo-hee (Han Gong-ju), Jung In-sun (Eun-hee), Kim So-young (Hwa-ok), Lee Young-ran (la mère de l’enseignant) sont les protagonistes de ce drame coréen qui relate l’histoire d’une jeune lycéenne impliquée malgré elle dans une histoire sordide qui va l’obliger à s’éloigner de ses parents et de s’inscrire dans un autre établissement.
Bien que n’ayant rien à se reprocher, Han Gong-ju est abandonnée par les siens au point de se refugier chez la mère d’un enseignant. Espérant ainsi éviter d’attirer l’attention sur elle pour se reconstruire de nouveaux repères.
Mais cette discrétion ne sera que de courte durée puisque Eun-hee, sa nouvelle camarade de classe, découvre les prédispositions de Gong-ju au chant. Membre du club de chant a capella du lycée, elle lui propose d’intégrer la chorale. Question de mettre en valeur son talent. Un rôle qu’interprète avec brio l’actrice Chun Woo-hee traduisant parfaitement à l’écran le drame de la jeune Han Gong-ju.
Il est à souligner que « Han Gong-ju » est le premier long métrage de Lee Su-Jin.
Natif de Corée du Sud, le réalisateur a signé quelques films qui ont remporté un succès à l’instar du court métrage « Papa » (2004) qui rafle une année après sa production le prix des archives coréennes au Festival du cinéma indépendant de Séoul.
Deux plus tard, il est à nouveau à l’honneur avec son court métrage « Enemy’s Apple » (2007) qui remporte le prix du meilleur film au Festival du court métrage de Corée.
De notre envoyé spécial à Marrakech:
Alain Bouithy
bouithy@starducongo.com
Bien que n’ayant rien à se reprocher, Han Gong-ju est abandonnée par les siens au point de se refugier chez la mère d’un enseignant. Espérant ainsi éviter d’attirer l’attention sur elle pour se reconstruire de nouveaux repères.
Mais cette discrétion ne sera que de courte durée puisque Eun-hee, sa nouvelle camarade de classe, découvre les prédispositions de Gong-ju au chant. Membre du club de chant a capella du lycée, elle lui propose d’intégrer la chorale. Question de mettre en valeur son talent. Un rôle qu’interprète avec brio l’actrice Chun Woo-hee traduisant parfaitement à l’écran le drame de la jeune Han Gong-ju.
Il est à souligner que « Han Gong-ju » est le premier long métrage de Lee Su-Jin.
Natif de Corée du Sud, le réalisateur a signé quelques films qui ont remporté un succès à l’instar du court métrage « Papa » (2004) qui rafle une année après sa production le prix des archives coréennes au Festival du cinéma indépendant de Séoul.
Deux plus tard, il est à nouveau à l’honneur avec son court métrage « Enemy’s Apple » (2007) qui remporte le prix du meilleur film au Festival du court métrage de Corée.
De notre envoyé spécial à Marrakech:
Alain Bouithy
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