Brazzaville, (Starducongo.com) - De l’entendement le plus plat, le rôle primordial de la presse en démocratie est d’informer l’opinion, d’élever la conscience collective par la confrontation objective des concepts, des idées. Cela va sans dire que l’avantage de tenir une publication n’autorise pas d’attaques personnelles aussi puériles que dénuées d’intérêt pour l’audience publique.
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Or, le Journal Sel-piment, dans sa livraison du 18 au 25 juillet 2013 (n°29) s’est livré à un lynchage sans cause du Sénateur du MCDDI, Léonard SITA-BITORI au motif que ce dernier aurait ‘induit Monsieur Hellot Matson MAMPOUYA sur un chemin périlleux’ et que ‘c’est par SITA-BITORI que celui-ci a été amené à déstabiliser le MCDDI.
Une telle assertion de la part du caricaturiste du Journal ‘La Rue meurt’ procède de l’enfantillage le plus vil et d’une cruelle propension à causer du tort à autrui. Au demeurant, monsieur Hellot Mampouya Matson n’est pas SITA-BITORI-fils (Encore que même votre fils garde la latitude de se faire son opinion, de se frayer un chemin, une voie différente de la vôtre).
Il est bon de rappeler que monsieur Hellot Matson MAMPOUYA est un des ténors idéologues du MCDDI qui, aux côtés du ‘Vieux’, ont forgé l’âme de ce parti. Il ne sied donc de jeter l’opprobre sur des individus que sous d’autres parrainages on qualifierait de ‘fidèles des fidèles’, de fils spirituels. Ces deux citoyens ont été des tous les combats, au contraire de ceux qui aujourd’hui veulent leur ‘jeter la pierre’ dessus parce qu’ils assument en toute responsabilité un courant d’idées nouveau, une tendance nouvelle.
En réalité, ce qui arrive au MCDDI aujourd’hui, c’est que ce parti s’écroule sous le poids de ses propres contradictions, faute d’organisation efficiente de tout temps. Mais, le MCDDI a-t-il jamais existé en tant que parti organisé ? Nenni ! On le trouvait (on le trouve encore) dans la rue, mue par l’instinct de conservation et par des relents identitaires. Le MCDDI n’a en réalité jamais existé en tant que parti organisé et démocratique. Il s’est plus agit, il ne s’agit que (les deux courants confondus) d’un mouvement de masse identitaire organisé autour d’un leader qui n’a jamais fait mystère de ses velléités despotiques et népotistes, qui a su tirer malin avantage des intransigeances et autres fanatismes identitaires historiquement justifiés des Kongo.
Il appert donc clairement qu’une telle organisation nébuleuse et anachronique ne pouvait survivre à son fondateur. Ce qui arrive à ce parti (comme à tant d’autres) doit être perçu comme l’évolution dialectique d’un mouvement de masse qui vient de muer deux (2) véritables partis politiques si tant est que les deux entités issues du schisme du MCDDI original acquièrent la capacité de structuration politique démocratique et de fonctionnement organique qui a fait cruellement défaut à leur souche originelle.
Par ailleurs, l’auteur de ce texte hargneux est sans ignorer que les courants d’idées au sein d’une organisation politique procèdent d’une dialectique naturelle car de la confrontation d’idées dépend l’évolution positive. Or, c’est cette négation de la contradiction qui a été la faiblesse fatale du MCCDI. Elle a inféré une cristallisation du leadership sur un mortel, une fixation de la pensée unique, la "déification" du leader ‘charismatique’ qui ‘interrogeait seul sa conscience’, décidait des grandes orientations politiques ou engageait le parti sur des voies hasardeuses ( intrusion dans une guerre qui ne concernait ni ce parti, ni la région du Pool) ce qui l’ont fortement affaibli, voire implosé (les exemples sont légion, nous ne nous y appesantiront pas car ce n’est pas l’objet de notre réflexion).
Ce qui arrive au MCDDI est justement la conséquence fâcheuse de ce manque d’allants démocratiques dans la gestion du MCDDI originel et dont la nouvelle direction ne s’est, de toute évidence, pas départie (j’espère vivement que les dissidents s’en départissent).
En prenant le malin plaisir d’exhumer une lettre de démission de l’UDR-MWINDA signée de monsieur Léonard SITA-BITORI, publiée sans doute en son temps par le journal ‘La Rue meurt’, monsieur Ray’M fait montre de bassesse d’esprit, tant il n’énonce aucune idée, ne suscite aucun intérêt politique pour l’audience publique, sinon qu’une volonté de lynchage gratuit.
Quelle reconnaissance monsieur Léonard SITA-BITORI devrait-il montrer pour le MCDDI ? Que lui doit-il ? J’ai dit plus haut qu’un certain nombre de personnalités ont aidé à forger l’âme du MCDDI aux côtés du ‘Vieux’. Je puis affirmer que pendant la transhumance forcée de toute la direction du MCDDI, monsieur Léonard SITA-BITORI , à l’instar d’autres congénères, tels le défunt LOUYA et le garagiste DIBANTSA a porté le poids de ce parti et a payé de sa personne.
Ces militants de pointe du MCDDI ont payé de leurs personnes leur fidélité au parti et à son leader (Le regretté LOUYA est mort en déportation dans le goulag de la Likouala, le défunt garagiste DIBANTSA s’en était tiré non pas sans profondes meurtrissures morales et SITA-BITORY a souffert son diabète et une tragique humiliation dans les geôles ténébreuse de la DST de Pointe-Noire d’où il avait audacieusement gardé un contact permanent avec le ‘Vieux’1) sous le tortionnaire Ondongo; ce que monsieur Ray’M et ses mentors qui se sont carapatés dans je ne sais quel bled n’ont pas enduré. Cela ne donne-t-il pas à Léonard SITA-BITORI le droit humain de s’insurger contre tout népotisme ou totalitarisme ?
Ces gens-là (les personnes de l’acabit de Ray’M) ont induit le vieux dans les plus grandes erreurs politiques car plutôt que favoriser la contradiction politique démocratique, ils se sont complus à l’encenser même dans la ‘bêtise humaine’ ; maintenant encore, c’est dans ce travers qu’ils veulent maintenir le MCDDI. Qu’ils prennent garde car le MCDDI n’est pas un patrimoine privé. C’est l’âme identitaire d’un peuple, c’est un patrimoine familial (entendre le peuple Kongo et non pas la famille Kolelas). Le dicton ne dispose-t-il pas chez nous : « Wa dia fwa, Yika dio ». C’est-à-dire, malheur à qui détruit l’héritage d’un peuple.
Ne Kongo wa Verila
1 :Témoignage d’un témoin oculaire qui ne peut se taire devant l’imbécilité : Léonard SITA-BITORI a une fois au moins utilisé le téléphone de ses geôliers pour informer le vieux de la situation politique au pays et il a fait les frais de son audace.
Une telle assertion de la part du caricaturiste du Journal ‘La Rue meurt’ procède de l’enfantillage le plus vil et d’une cruelle propension à causer du tort à autrui. Au demeurant, monsieur Hellot Mampouya Matson n’est pas SITA-BITORI-fils (Encore que même votre fils garde la latitude de se faire son opinion, de se frayer un chemin, une voie différente de la vôtre).
Il est bon de rappeler que monsieur Hellot Matson MAMPOUYA est un des ténors idéologues du MCDDI qui, aux côtés du ‘Vieux’, ont forgé l’âme de ce parti. Il ne sied donc de jeter l’opprobre sur des individus que sous d’autres parrainages on qualifierait de ‘fidèles des fidèles’, de fils spirituels. Ces deux citoyens ont été des tous les combats, au contraire de ceux qui aujourd’hui veulent leur ‘jeter la pierre’ dessus parce qu’ils assument en toute responsabilité un courant d’idées nouveau, une tendance nouvelle.
En réalité, ce qui arrive au MCDDI aujourd’hui, c’est que ce parti s’écroule sous le poids de ses propres contradictions, faute d’organisation efficiente de tout temps. Mais, le MCDDI a-t-il jamais existé en tant que parti organisé ? Nenni ! On le trouvait (on le trouve encore) dans la rue, mue par l’instinct de conservation et par des relents identitaires. Le MCDDI n’a en réalité jamais existé en tant que parti organisé et démocratique. Il s’est plus agit, il ne s’agit que (les deux courants confondus) d’un mouvement de masse identitaire organisé autour d’un leader qui n’a jamais fait mystère de ses velléités despotiques et népotistes, qui a su tirer malin avantage des intransigeances et autres fanatismes identitaires historiquement justifiés des Kongo.
Il appert donc clairement qu’une telle organisation nébuleuse et anachronique ne pouvait survivre à son fondateur. Ce qui arrive à ce parti (comme à tant d’autres) doit être perçu comme l’évolution dialectique d’un mouvement de masse qui vient de muer deux (2) véritables partis politiques si tant est que les deux entités issues du schisme du MCDDI original acquièrent la capacité de structuration politique démocratique et de fonctionnement organique qui a fait cruellement défaut à leur souche originelle.
Par ailleurs, l’auteur de ce texte hargneux est sans ignorer que les courants d’idées au sein d’une organisation politique procèdent d’une dialectique naturelle car de la confrontation d’idées dépend l’évolution positive. Or, c’est cette négation de la contradiction qui a été la faiblesse fatale du MCCDI. Elle a inféré une cristallisation du leadership sur un mortel, une fixation de la pensée unique, la "déification" du leader ‘charismatique’ qui ‘interrogeait seul sa conscience’, décidait des grandes orientations politiques ou engageait le parti sur des voies hasardeuses ( intrusion dans une guerre qui ne concernait ni ce parti, ni la région du Pool) ce qui l’ont fortement affaibli, voire implosé (les exemples sont légion, nous ne nous y appesantiront pas car ce n’est pas l’objet de notre réflexion).
Ce qui arrive au MCDDI est justement la conséquence fâcheuse de ce manque d’allants démocratiques dans la gestion du MCDDI originel et dont la nouvelle direction ne s’est, de toute évidence, pas départie (j’espère vivement que les dissidents s’en départissent).
En prenant le malin plaisir d’exhumer une lettre de démission de l’UDR-MWINDA signée de monsieur Léonard SITA-BITORI, publiée sans doute en son temps par le journal ‘La Rue meurt’, monsieur Ray’M fait montre de bassesse d’esprit, tant il n’énonce aucune idée, ne suscite aucun intérêt politique pour l’audience publique, sinon qu’une volonté de lynchage gratuit.
Quelle reconnaissance monsieur Léonard SITA-BITORI devrait-il montrer pour le MCDDI ? Que lui doit-il ? J’ai dit plus haut qu’un certain nombre de personnalités ont aidé à forger l’âme du MCDDI aux côtés du ‘Vieux’. Je puis affirmer que pendant la transhumance forcée de toute la direction du MCDDI, monsieur Léonard SITA-BITORI , à l’instar d’autres congénères, tels le défunt LOUYA et le garagiste DIBANTSA a porté le poids de ce parti et a payé de sa personne.
Ces militants de pointe du MCDDI ont payé de leurs personnes leur fidélité au parti et à son leader (Le regretté LOUYA est mort en déportation dans le goulag de la Likouala, le défunt garagiste DIBANTSA s’en était tiré non pas sans profondes meurtrissures morales et SITA-BITORY a souffert son diabète et une tragique humiliation dans les geôles ténébreuse de la DST de Pointe-Noire d’où il avait audacieusement gardé un contact permanent avec le ‘Vieux’1) sous le tortionnaire Ondongo; ce que monsieur Ray’M et ses mentors qui se sont carapatés dans je ne sais quel bled n’ont pas enduré. Cela ne donne-t-il pas à Léonard SITA-BITORI le droit humain de s’insurger contre tout népotisme ou totalitarisme ?
Ces gens-là (les personnes de l’acabit de Ray’M) ont induit le vieux dans les plus grandes erreurs politiques car plutôt que favoriser la contradiction politique démocratique, ils se sont complus à l’encenser même dans la ‘bêtise humaine’ ; maintenant encore, c’est dans ce travers qu’ils veulent maintenir le MCDDI. Qu’ils prennent garde car le MCDDI n’est pas un patrimoine privé. C’est l’âme identitaire d’un peuple, c’est un patrimoine familial (entendre le peuple Kongo et non pas la famille Kolelas). Le dicton ne dispose-t-il pas chez nous : « Wa dia fwa, Yika dio ». C’est-à-dire, malheur à qui détruit l’héritage d’un peuple.
Ne Kongo wa Verila
1 :Témoignage d’un témoin oculaire qui ne peut se taire devant l’imbécilité : Léonard SITA-BITORI a une fois au moins utilisé le téléphone de ses geôliers pour informer le vieux de la situation politique au pays et il a fait les frais de son audace.
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