
Boris Ganga Bouetoumoussa, qui a participé à la dernière édition tenue récemment en Afrique du Sud, et Saturnin Samba, un artiste confirmé dans le monde de la danse contemporaine congolaise, ont exprimé ce souhait le 23 octobre, au cours d'un entretien avec Les Dépêches de Brazzaville
L'accueil de cet événement de portée internationale dédié à la danse contemporaine donnerait l'occasion aux spécialistes en la matière, toujours en quête de nouveaux talents, de découvrir la richesse dont dispose le Congo.
En effet, après l'Afrique du Sud, qui a accueilli la neuvième édition à Johannesburg, le tour pourrait revenir au Congo de recevoir en 2014 le festival Danse, l'Afrique danse !. Rien n'a encore été précisé, selon les chorégraphes qui souhaitent l'implication totale du gouvernement congolais. De leur côté, ils comptent tout mettre en œuvre pour une préparation réussie de cette biennale de la danse contemporaine.
« Nous devons renforcer les outils de chorégraphie, organiser des ateliers de formation et participer à tous les stages qui se tiendront d'ici à 2014. Nous devons également accueillir des formateurs étrangers pour échanger avec les chorégraphes qui évoluent au Congo », a déclaré Boris Ganga Bouetoumoussa, artiste chorégraphe.
La prochaine édition de ce festival, estime Saturnin Samba, « sera une occasion de partager avec des artistes de différents horizons la richesse et la diversité des danses traditionnelles du Congo, car la danse contemporaine puise ses sources dans la danse traditionnelle. »
Concernant la qualité des prestations des chorégraphes congolais en Afrique du Sud, Boris Ganga Bouetoumoussa s'est déclaré satisfait, soulignant toutefois quelques difficultés d'ordre technique liées au décor de scène auquel les artistes congolais n'étaient pas habitués.
Au total, cinq artistes congolais ont ébloui les spectateurs en présentant des chorégraphies sur des thèmes autour des enjeux planétaires actuels, de l'environnement pollué par les sacs en plastique à la condition des femmes.
Rappelons que depuis la sixième édition du festival Danse, l'Afrique danse !, les chorégraphes congolais ont remporté plusieurs titres, entre autres les prix RFI.
« Le Congo est un pays de danse qui doit poser sa pierre dans l'édification de la danse contemporaine universelle », a souligné Boris Ganga Bouetoumoussa.
Jean Dany Ébouélé & Dominique Makaya
L'accueil de cet événement de portée internationale dédié à la danse contemporaine donnerait l'occasion aux spécialistes en la matière, toujours en quête de nouveaux talents, de découvrir la richesse dont dispose le Congo.
En effet, après l'Afrique du Sud, qui a accueilli la neuvième édition à Johannesburg, le tour pourrait revenir au Congo de recevoir en 2014 le festival Danse, l'Afrique danse !. Rien n'a encore été précisé, selon les chorégraphes qui souhaitent l'implication totale du gouvernement congolais. De leur côté, ils comptent tout mettre en œuvre pour une préparation réussie de cette biennale de la danse contemporaine.
« Nous devons renforcer les outils de chorégraphie, organiser des ateliers de formation et participer à tous les stages qui se tiendront d'ici à 2014. Nous devons également accueillir des formateurs étrangers pour échanger avec les chorégraphes qui évoluent au Congo », a déclaré Boris Ganga Bouetoumoussa, artiste chorégraphe.
La prochaine édition de ce festival, estime Saturnin Samba, « sera une occasion de partager avec des artistes de différents horizons la richesse et la diversité des danses traditionnelles du Congo, car la danse contemporaine puise ses sources dans la danse traditionnelle. »
Concernant la qualité des prestations des chorégraphes congolais en Afrique du Sud, Boris Ganga Bouetoumoussa s'est déclaré satisfait, soulignant toutefois quelques difficultés d'ordre technique liées au décor de scène auquel les artistes congolais n'étaient pas habitués.
Au total, cinq artistes congolais ont ébloui les spectateurs en présentant des chorégraphies sur des thèmes autour des enjeux planétaires actuels, de l'environnement pollué par les sacs en plastique à la condition des femmes.
Rappelons que depuis la sixième édition du festival Danse, l'Afrique danse !, les chorégraphes congolais ont remporté plusieurs titres, entre autres les prix RFI.
« Le Congo est un pays de danse qui doit poser sa pierre dans l'édification de la danse contemporaine universelle », a souligné Boris Ganga Bouetoumoussa.
Jean Dany Ébouélé & Dominique Makaya
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