
Le Président de la République Démocratique du Congo (RDC), Joseph Kabila, n’est pas tenté par un troisième mandat présidentiel à la tête du pays en 2016.
Cette promesse a été faite le mardi 25 février aux congolais par le ministre de l'Intérieur, Richard Muyej qui a assuré que Kabila ne modifiera pas l'article 220 de la Constitution. Cet article lui interdit de briguer un troisième mandat pour la présidentielle en 2016.
En prélude à ce qui se profile à l’horizon comme une alternance en RDC, Richard Muyej a annoncé que le Président Kabila procédera à la passation de service avec son successeur après la présidentielle.
Avant d’arriver à ce stade, il faudrait d’abord que les congolais aillent aux urnes pour désigner leur Président. A cet effet, le ministre a précisé que l’actuel Chef de l’Etat ne se mêlera pas à l’organisation des élections, un devoir qui incombe pleinement à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Joseph Kabila achèvera son deuxième et dernier mandat constitutionnel en 2016.
Il a été élu en 2006 pour un premier mandat et en 2011 pour une seconde fois comme le Président du pays.
Bien avant ces deux élections qu’il a remportées et ce malgré les contestations de l’opposition, Joseph Kabila a succédé en 2001 à son père, Laurent Désiré Kabila assassiné quelques heures plus tôt. A l’époque, le jeune Président était le « numéro deux » de l'Armée congolaise. La succession s’était faite sur la base d’un curieux testament oral.
Kabila père avait lancé en 1996 la rébellion de l'Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération (A.F.D.L.) qui renversera en 1997 le pouvoir chancelant du Maréchal Mobutu.
Enfin en dernières nouvelles, sur le plan régional, annonçons que Joseph Kabila a été désigné le 26 février 2014 à la présidence du Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe (COMESA). L’élection du Président de la RDC a eu lieu à l’ouverture du 17e sommet de la conférence des chefs d’Etat du COMESA à Kinshasa.
Mensah
Cette promesse a été faite le mardi 25 février aux congolais par le ministre de l'Intérieur, Richard Muyej qui a assuré que Kabila ne modifiera pas l'article 220 de la Constitution. Cet article lui interdit de briguer un troisième mandat pour la présidentielle en 2016.
En prélude à ce qui se profile à l’horizon comme une alternance en RDC, Richard Muyej a annoncé que le Président Kabila procédera à la passation de service avec son successeur après la présidentielle.
Avant d’arriver à ce stade, il faudrait d’abord que les congolais aillent aux urnes pour désigner leur Président. A cet effet, le ministre a précisé que l’actuel Chef de l’Etat ne se mêlera pas à l’organisation des élections, un devoir qui incombe pleinement à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Joseph Kabila achèvera son deuxième et dernier mandat constitutionnel en 2016.
Il a été élu en 2006 pour un premier mandat et en 2011 pour une seconde fois comme le Président du pays.
Bien avant ces deux élections qu’il a remportées et ce malgré les contestations de l’opposition, Joseph Kabila a succédé en 2001 à son père, Laurent Désiré Kabila assassiné quelques heures plus tôt. A l’époque, le jeune Président était le « numéro deux » de l'Armée congolaise. La succession s’était faite sur la base d’un curieux testament oral.
Kabila père avait lancé en 1996 la rébellion de l'Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération (A.F.D.L.) qui renversera en 1997 le pouvoir chancelant du Maréchal Mobutu.
Enfin en dernières nouvelles, sur le plan régional, annonçons que Joseph Kabila a été désigné le 26 février 2014 à la présidence du Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe (COMESA). L’élection du Président de la RDC a eu lieu à l’ouverture du 17e sommet de la conférence des chefs d’Etat du COMESA à Kinshasa.
Mensah
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