
En prévision de la mise en place du Gouvernement de cohésion nationale tant attendu, l’opinion attend jusque-là la nomination du Premier ministre devant conduire cette équipe, comprenant aussi bien les membres de la Majorité présidentielle, de l’Opposition politique que de la Société civile. C’est de la sorte que dans le camp des opposants ayant pris part aux travaux des Concertations nationales, on multiplie des stratégies pour faire partie du nouveau Gouvernement. Car, comme dans les écritures saintes, il est écrit : il y a beaucoup d’appelés au départ, mais peu d’élus en fin de compte pour l’Exécutif national.
Qui peut faire partie, du côté de l’Opposition politique, du futur Gouvernement, celui de cohésion nationale ? A en croire certains observateurs, José Makila aurait une longueur d’avance sur ses pairs. Car, renseignent des observateurs, au nombre des acteurs politiques de « l’Opposition républicaine » cités dans la course pour les postes ministériels, après Léon Kengo, l’écart avec ses poursuivants directs, ajoute-t-on, serait même considérable. Ce qui plaiderait, souligne-t-on, en faveur de cet ancien ministre des Travaux publics sous le régime "1+4 " issu du dialogue inter Congolais.
Bien entendu, Makila ne sera pas seul. Tout dépend, en définitive, du quota attribué à l’Opposition qui a apporté son crédit aux Concertations nationales, boycottées par certains opposants pour différentes raisons. Autre argument, c’est le fait que l’ancien gouverneur de la province de l’Equateur serait le mieux élu de tous lors des élections de 2011 et s’est classé deuxième après Moïse Katumbi. Surtout qu’en dehors de cette fonction, il a exercé plusieurs responsabilités au sein de l’appareil de l’Etat. Ce qui le distingue des autres ténors ayant participé aux Concertations nationales, candidats au prochain Gouvernement.
Voilà qui corrobore les différents sondages réalisés dans le camp de l’Opposition politique au sujet des candidats ministres. Car, au nombre des partis politiques de l’Opposition qui soutiennent les recommandations des Concertations nationales, la formation politique chère à José Makila a des assises solides sur le terrain.
Il importe de rappeler que l’UDPS de Tshisekedi, l’UNC de Vital Kamerhe et le MLC de Jean-Pierre Bemba ne s’inscrivent nullement dans le schéma du Gouvernement de cohésion nationale. Voilà qui permet donc à l’ADT, cher à José Makila, de mieux tirer son épingle du jeu.
M. M.
Qui peut faire partie, du côté de l’Opposition politique, du futur Gouvernement, celui de cohésion nationale ? A en croire certains observateurs, José Makila aurait une longueur d’avance sur ses pairs. Car, renseignent des observateurs, au nombre des acteurs politiques de « l’Opposition républicaine » cités dans la course pour les postes ministériels, après Léon Kengo, l’écart avec ses poursuivants directs, ajoute-t-on, serait même considérable. Ce qui plaiderait, souligne-t-on, en faveur de cet ancien ministre des Travaux publics sous le régime "1+4 " issu du dialogue inter Congolais.
Bien entendu, Makila ne sera pas seul. Tout dépend, en définitive, du quota attribué à l’Opposition qui a apporté son crédit aux Concertations nationales, boycottées par certains opposants pour différentes raisons. Autre argument, c’est le fait que l’ancien gouverneur de la province de l’Equateur serait le mieux élu de tous lors des élections de 2011 et s’est classé deuxième après Moïse Katumbi. Surtout qu’en dehors de cette fonction, il a exercé plusieurs responsabilités au sein de l’appareil de l’Etat. Ce qui le distingue des autres ténors ayant participé aux Concertations nationales, candidats au prochain Gouvernement.
Voilà qui corrobore les différents sondages réalisés dans le camp de l’Opposition politique au sujet des candidats ministres. Car, au nombre des partis politiques de l’Opposition qui soutiennent les recommandations des Concertations nationales, la formation politique chère à José Makila a des assises solides sur le terrain.
Il importe de rappeler que l’UDPS de Tshisekedi, l’UNC de Vital Kamerhe et le MLC de Jean-Pierre Bemba ne s’inscrivent nullement dans le schéma du Gouvernement de cohésion nationale. Voilà qui permet donc à l’ADT, cher à José Makila, de mieux tirer son épingle du jeu.
M. M.
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