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(...) Au cours de sa visite à Top Visages, Koffi Olomidé s’est prêté aux nombreuses questions des journalistes. Nous vous proposons ici la première partie de cet échange.
• Cela fait quelques 4 ans que tu n’es pas venu en Côte d’Ivoire. Comment tu as appréhende cette présence ici aujourd’hui ?
- Je savais que le public ivoirien ne pouvait pas me manquer à ce point sans que moi je ne manque au public ivoirien. Depuis 1988 il y a eu un lien entre le public ivoirien et moi. Je me suis toujours senti de ce pays. C’est d’ici qu’est parti le Koffi africain voire panafricain. C’était à l’époque de Macy Dominguo, Djira Youssouf avec l’émission «Afrique Etoiles». Le public ivoirien ne pouvait pas me manquer à ce point sans que moi je ne manque au public ivoirien. C’est comme ça qu’au concert qui n’a eu que deux jours de promotion, on a fait salle comble. C’est dire qu’il y a une symbiose, un amour entre mes amis ivoiriens et moi-même.
• En dehors des raisons professionnelles, as-tu d’autres motivations pour venir à Abidjan ?
- Oui, j’ai trop d’amis ici. J’ai dans mon téléphone une rubrique «Abidjan» où j’ai au moins cent numéros sûrs. Encore que je n’ai pas le tien (rires). Donc j’ai des amis… Quand j’apprends que mon petit frère, mon ami (on s’est connu à l’époque de Maggie à Washington) Hamed Bakayoko est ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur d’un pays comme la Côte d’Ivoire, je jubile. Je suis heureux. Il me pressait de venir le voir dans cette position là d’homme d’Etat élevé. C’est ça ma raison. Il y a des gens comme Guillaume Soro, Hassane Coucou…et j’en passe. Dans toutes les catégories. Moi j’ai failli épouser une ivoirienne, Angèle Zaka, top visages ne l’ignore pas, tout le monde le sait. Mon père et ma mère sont venus ici pour l’épouser à l’époque. Vous voyez, la Côte d’Ivoire est mon pays de cœur.
• En 2012 il s’est passé beaucoup de choses te concernant : Ton album Abraccadabra, les affaires en justice en France et au Congo… Alors ce doit être une année…
- Grandiose ! L’album est numéro 1 partout. Dommage pour la Côte d’Ivoire qui ne l’a pas encore adopté ici. Mais il est numéro 1 partout. Vous savez moi, j’ai été victime de complots graves. On a voulu me remplacer, on a voulu que je cesse d’être Koffi. Avec tout ce que vous savez, il y a eu des implications graves. Mais on a défait beaucoup de complots et on continue d’en défaire encore. Je ne vais pas encore rentrer dans les détails. moi, je suis un responsable, je suis un père. Je veux vous dire que je viens de loin et je suis très heureux de cette année.
A cause des résultats obtenus. Avant Abidjan j’étais à Bangui en Centrafrique, en Angola, au Cameroun… Chaque fois que je me présente devant un public, c’est grandiose et fantastique. Donc les gens ont faim de Koffi Olomidé et je me demande s’ils vont être rassasiés un jour de Koffi.
• Parlant de cet album, quelle est sa place dans votre carrière ?
- Il y a des gens qui ont dit «nous on aime les anciens Koffi». Mais avec cet album, on ne m’a pas dit ça. Il y a eu plutôt des langues qui se sont déliées pour dire que c’est peut-être le meilleur de tous les albums. Peut-être. Maintenant moi, je laisse à chacun l’occasion d’apprécier. Et puis c’est cet album là qui a propulsé Cindy Le Cœur. Qui est aujourd’hui la plus grande star de sa génération au Congo. Elle est le numéro 1 de tous ces gens que vous connaissez. C’est elle, quand elle se déplace, les gens lui vouent tout le respect. Je suis donc fier de tout ça.
• Qu’en est-il du problème de viol dont tu es accusé par certaines de tes danseuses?
- L’affaire est en justice à Paris en France. Mes avocats y travaillent. Mais en justice, il y a aussi la présomption d’innocence dont je bénéficie. En vérité c’est un complot. Les filles en question ont monté un complot parce qu’elles voulaient rester en France. Elles sont allées voir des ONG et les associations des femmes battues et maltraitées pour se plaindre en soutenant que je les ai violées. En réalité c’était un stratagème pour elles pour rester en France. Parce que quelques jours avant, on était tous dans les locaux de la police à Lyon, elles se seraient plaint aux policiers, si je leur avais fait quelque chose. Tenez vous bien, c’est seulement à deux jours de notre retour au Congo qu’elles ont inventé toute cette affaire. La preuve, aujourd’hui toutes ces filles ne dansent plus. Pourtant c’était bien des danseuses. Dans tous les cas, mes avocats sont en train de tout mettre en œuvre pour me démonter ce complot (...)
• Cela fait quelques 4 ans que tu n’es pas venu en Côte d’Ivoire. Comment tu as appréhende cette présence ici aujourd’hui ?
- Je savais que le public ivoirien ne pouvait pas me manquer à ce point sans que moi je ne manque au public ivoirien. Depuis 1988 il y a eu un lien entre le public ivoirien et moi. Je me suis toujours senti de ce pays. C’est d’ici qu’est parti le Koffi africain voire panafricain. C’était à l’époque de Macy Dominguo, Djira Youssouf avec l’émission «Afrique Etoiles». Le public ivoirien ne pouvait pas me manquer à ce point sans que moi je ne manque au public ivoirien. C’est comme ça qu’au concert qui n’a eu que deux jours de promotion, on a fait salle comble. C’est dire qu’il y a une symbiose, un amour entre mes amis ivoiriens et moi-même.
• En dehors des raisons professionnelles, as-tu d’autres motivations pour venir à Abidjan ?
- Oui, j’ai trop d’amis ici. J’ai dans mon téléphone une rubrique «Abidjan» où j’ai au moins cent numéros sûrs. Encore que je n’ai pas le tien (rires). Donc j’ai des amis… Quand j’apprends que mon petit frère, mon ami (on s’est connu à l’époque de Maggie à Washington) Hamed Bakayoko est ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur d’un pays comme la Côte d’Ivoire, je jubile. Je suis heureux. Il me pressait de venir le voir dans cette position là d’homme d’Etat élevé. C’est ça ma raison. Il y a des gens comme Guillaume Soro, Hassane Coucou…et j’en passe. Dans toutes les catégories. Moi j’ai failli épouser une ivoirienne, Angèle Zaka, top visages ne l’ignore pas, tout le monde le sait. Mon père et ma mère sont venus ici pour l’épouser à l’époque. Vous voyez, la Côte d’Ivoire est mon pays de cœur.
• En 2012 il s’est passé beaucoup de choses te concernant : Ton album Abraccadabra, les affaires en justice en France et au Congo… Alors ce doit être une année…
- Grandiose ! L’album est numéro 1 partout. Dommage pour la Côte d’Ivoire qui ne l’a pas encore adopté ici. Mais il est numéro 1 partout. Vous savez moi, j’ai été victime de complots graves. On a voulu me remplacer, on a voulu que je cesse d’être Koffi. Avec tout ce que vous savez, il y a eu des implications graves. Mais on a défait beaucoup de complots et on continue d’en défaire encore. Je ne vais pas encore rentrer dans les détails. moi, je suis un responsable, je suis un père. Je veux vous dire que je viens de loin et je suis très heureux de cette année.
A cause des résultats obtenus. Avant Abidjan j’étais à Bangui en Centrafrique, en Angola, au Cameroun… Chaque fois que je me présente devant un public, c’est grandiose et fantastique. Donc les gens ont faim de Koffi Olomidé et je me demande s’ils vont être rassasiés un jour de Koffi.
• Parlant de cet album, quelle est sa place dans votre carrière ?
- Il y a des gens qui ont dit «nous on aime les anciens Koffi». Mais avec cet album, on ne m’a pas dit ça. Il y a eu plutôt des langues qui se sont déliées pour dire que c’est peut-être le meilleur de tous les albums. Peut-être. Maintenant moi, je laisse à chacun l’occasion d’apprécier. Et puis c’est cet album là qui a propulsé Cindy Le Cœur. Qui est aujourd’hui la plus grande star de sa génération au Congo. Elle est le numéro 1 de tous ces gens que vous connaissez. C’est elle, quand elle se déplace, les gens lui vouent tout le respect. Je suis donc fier de tout ça.
• Qu’en est-il du problème de viol dont tu es accusé par certaines de tes danseuses?
- L’affaire est en justice à Paris en France. Mes avocats y travaillent. Mais en justice, il y a aussi la présomption d’innocence dont je bénéficie. En vérité c’est un complot. Les filles en question ont monté un complot parce qu’elles voulaient rester en France. Elles sont allées voir des ONG et les associations des femmes battues et maltraitées pour se plaindre en soutenant que je les ai violées. En réalité c’était un stratagème pour elles pour rester en France. Parce que quelques jours avant, on était tous dans les locaux de la police à Lyon, elles se seraient plaint aux policiers, si je leur avais fait quelque chose. Tenez vous bien, c’est seulement à deux jours de notre retour au Congo qu’elles ont inventé toute cette affaire. La preuve, aujourd’hui toutes ces filles ne dansent plus. Pourtant c’était bien des danseuses. Dans tous les cas, mes avocats sont en train de tout mettre en œuvre pour me démonter ce complot (...)
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