Bruxelles, (Starducongo.com) - Le président congolais, Denis Sassou N’Guesso prendra part au 4ème sommet Afrique/Union Européenne qui se tient, les 2 et 3 avril 2014, à Bruxelles, sous le thème : « Investir dans les personnes, pour la prospérité et pour la paix ». Le président de la république est arrivé le 30 mars 2014, à Bruxelles.

Il a été accueilli avec ferveur par ses compatriotes de la diaspora, sous la coordination de l’ambassadeur du Congo à Bruxelles, Roger Julien MENGA. Bruxelles, capitale de l’Europe, ciel brumeux, 78 rue R. Roosevelt. Devant l’Ambassade du Congo, il est 13 heures (heure locale), une foule compacte se forme et se grossie au fur et à mesure que le temps passe. Les bus de transport sont alignés. L’effervescence est visible. Les femmes, les jeunes et les sapeurs rivalisent de volonté. Drapelets, banderoles, et autres gadgets en main. Ils se préparent et tiennent tous à offrir à leur président un accueil plus que chaleureux.
Vers 14 heures, l’ambassadeur du Congo à l’Union Européenne, Roger Julien Menga arrive sur les lieux, pour, sans doute, donner les dernières consignes. Il avait promis réservé au président de la République, le premier diplomate de son pays, un accueil « inoubliable» parce qu’il y a cinq ans qu’il a pris ses fonctions, et depuis cinq ans, il n’a jamais reçu le chef de l’Etat. Il tient donc à réussir ce pari.
Il est environ 16 quand le cortège s’ébranle en direction de l’aéroport militaire de Melsbroek, où le Boeing présidentiel s’immobilise un peu avant 18 heures. Déjà présente à Bruxelles, Madame Antoinette Sassou N’Guesso est venue accueillir son époux. Le président de la République descend les marches de la passerelle en sa compagnie, avant de saluer les officiels. Puis il marche à pas lents et sûrs vers sa voiture de commandement.
Les Congolais de Bruxelles, venus de tous les coins de la ville et même de ce pays ont soif de le toucher, de le saluer. L’atmosphère est fébrile, on pourrait dire électrique, même si en l’occurrence il ne s’agissait pas d’une agitation de badauds. Non, loin de là ! C’est la ferveur de tout un peuple traduisant la confiance qu’il place en Denis Sassou N’Guesso.
Un bruxellois, parmi les organisateurs de l’accueil, un peu essoufflé, après avoir contenu ses compatriotes, a lâché : « écoutez, il y a longtemps que l’on a reçu le président ici, c’est normale qu’il y ait autant d’engouement », alors qu’un spectateur exprime sa fierté : « le président Denis Sassou N’Guesso mérite cet accueil », dit-il. « Grâce à lui, mon pays est stable, mon pays est en paix. Nous sommes venu ici (à Bruxelles) pour chercher les habits », précise-t-il comme pour dire nous n’avons pas fui le pays.
Après plus de sept heures de voyage, Denis Sassou N’Guesso avait, à juste titre, besoin de cette atmosphère pour se revigorer.
Christian LAWILLA
Vers 14 heures, l’ambassadeur du Congo à l’Union Européenne, Roger Julien Menga arrive sur les lieux, pour, sans doute, donner les dernières consignes. Il avait promis réservé au président de la République, le premier diplomate de son pays, un accueil « inoubliable» parce qu’il y a cinq ans qu’il a pris ses fonctions, et depuis cinq ans, il n’a jamais reçu le chef de l’Etat. Il tient donc à réussir ce pari.
Il est environ 16 quand le cortège s’ébranle en direction de l’aéroport militaire de Melsbroek, où le Boeing présidentiel s’immobilise un peu avant 18 heures. Déjà présente à Bruxelles, Madame Antoinette Sassou N’Guesso est venue accueillir son époux. Le président de la République descend les marches de la passerelle en sa compagnie, avant de saluer les officiels. Puis il marche à pas lents et sûrs vers sa voiture de commandement.
Les Congolais de Bruxelles, venus de tous les coins de la ville et même de ce pays ont soif de le toucher, de le saluer. L’atmosphère est fébrile, on pourrait dire électrique, même si en l’occurrence il ne s’agissait pas d’une agitation de badauds. Non, loin de là ! C’est la ferveur de tout un peuple traduisant la confiance qu’il place en Denis Sassou N’Guesso.
Un bruxellois, parmi les organisateurs de l’accueil, un peu essoufflé, après avoir contenu ses compatriotes, a lâché : « écoutez, il y a longtemps que l’on a reçu le président ici, c’est normale qu’il y ait autant d’engouement », alors qu’un spectateur exprime sa fierté : « le président Denis Sassou N’Guesso mérite cet accueil », dit-il. « Grâce à lui, mon pays est stable, mon pays est en paix. Nous sommes venu ici (à Bruxelles) pour chercher les habits », précise-t-il comme pour dire nous n’avons pas fui le pays.
Après plus de sept heures de voyage, Denis Sassou N’Guesso avait, à juste titre, besoin de cette atmosphère pour se revigorer.
Christian LAWILLA
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