Brazzaville, (Starducongo.com) - Le Congo n’a pas encore fini de moderniser ses villes. Mais, il a déjà entamé sa marche vers son industrialisation au point de se transformer en un vaste chantier continu. Depuis, le début de l’année en cours, des investissements sont consentis pour mailler l’ensemble du territoire d’infrastructures de bases et d’industries.

Le Président Denis Sassou N’Guesso a fait de l’industrialisation du pays un engagement politique qu’il n’entend pas trahir. Guidé par une vision de leader, il projette l’avenir avec optimisme et caresse le rêve de faire du Congo un pays émergent à l’horizon 2025.
Pour la matérialisation de cette vision, Denis Sassou N’Guesso est entrain de mailler l’ensemble du territoire en infrastructures de base et en industries. Une politique qui tend à redonner une nouvelle image au pays et une meilleure perspective à sa jeunesse. La plus part des départements du Congo son aujourd’hui sortis de l’enclavement, on dirait même de l’isolement, si l’on pense à la Cuvette-Ouest, grâce au programme de municipalisation accélérée.
L’entame de l’industrialisation du Congo vient s’ajouter à cette politique tournante de développement des contrées, est, à n’en point douté, un ballon d’oxygène avec plusieurs réalisations dans tout le pays (stades, aéroports, voiries urbaines, routes…).
La route Makoua-Etoumbi, Longue de 98km parcouru dans la douleur des jours durant il ya 5 ans, est raccourci aujourd’hui à 45 minutes au moins. Partir de Ouesso pour Brazzaville n’est plus un calvaire, comme cela l’était il y a encore moins de cinq ans. De la même manière que Dolisie devient une Banlieue de Pointe, grâce au tronçon de la route Pointe-Noire-Brazzaville. Tout cela prouve, s’il en est besoin, que circuler d’un département à un autre au Congo est une fin de rêve palpable, pour les Congolais. La route Obouya-Boundji-Okoyo reliant les deux Cuvettes avec prolongement sur la frontière du Gabon, la route Makoua-Ouesso, avec prolongement sur Ketta-Djoum (frontière du Cameroun), rien plus parlant que cette volonté politique traduite en actes de développement, avec effet multiplicateurs sur la population, dont la circulation est rendue fluide. En outre les mêmes routes renforcent les efforts d’intégration sous régionale. Le constat à faire se ramène à ce que tous les secteurs de la vie nationale connaissent actuellement un bond en avant, vers développement du pays tout azimut.
Parce que le développement est un tout, même les installations sportives ne sont pas en reste. Tout le pays se dote progressivement d’infrastructures spotives à la dimension des ambitions que le pays nourrit pour ce secteur. La plus flamboyante d’entre elles sera indubitablement, le complexe sportif de Kintélé qui va abriter les jeux Africains de 2015, dits jeux du cinquantenaire.
Industrialisation du Congo : une réalité vivante
Après la reconstruction du pays intervenue en phase pos conflit, au sortir des atrocités que le pays a vécues, Denis Sassou N’Guesso a mis le cap sur la construction. Et l’on ne peut pas construire sans ciment. Et, chaque jour qui passe, l’industrialisation de la République du Congo se confirme et se consolide. Le président de la République qui tient à faire passer son pays « de l’espérance à la prospérité soutenue », pose régulièrement, en effet, des actes qui ont même fait dire aux cadres et sages du Niari, qu’ils veulent le voir rempiler pour ne briser les acquis, parce que chat «échaudé craint l’eau froide ».
On ne peut pas dire que Denis Sassou N’Guesso est passé de la modernisation à l’industrialisation, parce que ces deux phases du développement sont toujours simultanées avec lui.
En novembre 2013, le président de la République lançait à Edou (à 5 kilomètres d’Oyo) une unité de production de lait dénommée le «Lait de l’Alima». Non loin de là, une autre unité de fabrique du manioc, et de farine de manioc, implantées dans les environs d’Edou (à environ 400 km au Nord de Brazzaville), ainsi qu’une usine de panneaux solaires encore en chantier.
L’inauguration de la cimenterie FORSPAK dans le district de Louvakou, non loin de Dolisie (au Sud-Ouest de Brazzaville), le 22 mars 2014 et la pose de la première pierre pour la construction d’une autre cimenterie, CIMAF-Congo, cette fois-ci à Hinda, dans le département du Kouilou, le 23 mars 2014 sont autant d’actions qui ne démentent pas l’option de Denis Sassou N’Guesso pour conduire le Congo au développement. Ces deux usines ajoutées à deux autres qui sont en instance de lancement des travaux de leur construction à Mindouli et dans la Bouenza vont, sous peu, faire du Congo un pays exportateur de ciment dans l’espace CEEAC (Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale).
L’industrie minière a pris également de l’essor dans le pays. Ce qui s’est illustré depuis 2009 par le lancement des travaux de construction de l’usine de potasse de Mengo dans le département du Kouilou, à cela s’ajoute la réadmission du Congo au processus de Kimberley.
La réalisation du boulevard énergétique, en vue d’assurer au pays son indépendance en énergie électrique est l’un des challenges de cette marche, tant il est vrai que sans électricité, point d’industrie. La réhabilitation et la construction des barrages hydro-électriques, notamment de ceux de Moukoukoulou et d’Imboulou, ainsi que la construction de la centrale à gaz de Djeno intègrent cette volonté.
Le pays s’est également inscrit sur la voie du développement durable. Outre la gestion durable de ses écosystèmes forestiers, le Congo multiplie les stratégies pouvant le conduire à la diversification de son économie, pour réduire sa dépendance au pétrole. Une volonté politique qui s’illustre de nos jours à travers les zones économiques spéciales et la zone industrielle et commerciale de Maloukou.
A l’évidence, lentement mais sûrement, le Congo est sur la bonne voie et rassure quant à l’atteinte de son objectif de développement harmonieux et durable.
Christian LAWILLA
Pour la matérialisation de cette vision, Denis Sassou N’Guesso est entrain de mailler l’ensemble du territoire en infrastructures de base et en industries. Une politique qui tend à redonner une nouvelle image au pays et une meilleure perspective à sa jeunesse. La plus part des départements du Congo son aujourd’hui sortis de l’enclavement, on dirait même de l’isolement, si l’on pense à la Cuvette-Ouest, grâce au programme de municipalisation accélérée.
L’entame de l’industrialisation du Congo vient s’ajouter à cette politique tournante de développement des contrées, est, à n’en point douté, un ballon d’oxygène avec plusieurs réalisations dans tout le pays (stades, aéroports, voiries urbaines, routes…).
La route Makoua-Etoumbi, Longue de 98km parcouru dans la douleur des jours durant il ya 5 ans, est raccourci aujourd’hui à 45 minutes au moins. Partir de Ouesso pour Brazzaville n’est plus un calvaire, comme cela l’était il y a encore moins de cinq ans. De la même manière que Dolisie devient une Banlieue de Pointe, grâce au tronçon de la route Pointe-Noire-Brazzaville. Tout cela prouve, s’il en est besoin, que circuler d’un département à un autre au Congo est une fin de rêve palpable, pour les Congolais. La route Obouya-Boundji-Okoyo reliant les deux Cuvettes avec prolongement sur la frontière du Gabon, la route Makoua-Ouesso, avec prolongement sur Ketta-Djoum (frontière du Cameroun), rien plus parlant que cette volonté politique traduite en actes de développement, avec effet multiplicateurs sur la population, dont la circulation est rendue fluide. En outre les mêmes routes renforcent les efforts d’intégration sous régionale. Le constat à faire se ramène à ce que tous les secteurs de la vie nationale connaissent actuellement un bond en avant, vers développement du pays tout azimut.
Parce que le développement est un tout, même les installations sportives ne sont pas en reste. Tout le pays se dote progressivement d’infrastructures spotives à la dimension des ambitions que le pays nourrit pour ce secteur. La plus flamboyante d’entre elles sera indubitablement, le complexe sportif de Kintélé qui va abriter les jeux Africains de 2015, dits jeux du cinquantenaire.
Industrialisation du Congo : une réalité vivante
Après la reconstruction du pays intervenue en phase pos conflit, au sortir des atrocités que le pays a vécues, Denis Sassou N’Guesso a mis le cap sur la construction. Et l’on ne peut pas construire sans ciment. Et, chaque jour qui passe, l’industrialisation de la République du Congo se confirme et se consolide. Le président de la République qui tient à faire passer son pays « de l’espérance à la prospérité soutenue », pose régulièrement, en effet, des actes qui ont même fait dire aux cadres et sages du Niari, qu’ils veulent le voir rempiler pour ne briser les acquis, parce que chat «échaudé craint l’eau froide ».
On ne peut pas dire que Denis Sassou N’Guesso est passé de la modernisation à l’industrialisation, parce que ces deux phases du développement sont toujours simultanées avec lui.
En novembre 2013, le président de la République lançait à Edou (à 5 kilomètres d’Oyo) une unité de production de lait dénommée le «Lait de l’Alima». Non loin de là, une autre unité de fabrique du manioc, et de farine de manioc, implantées dans les environs d’Edou (à environ 400 km au Nord de Brazzaville), ainsi qu’une usine de panneaux solaires encore en chantier.
L’inauguration de la cimenterie FORSPAK dans le district de Louvakou, non loin de Dolisie (au Sud-Ouest de Brazzaville), le 22 mars 2014 et la pose de la première pierre pour la construction d’une autre cimenterie, CIMAF-Congo, cette fois-ci à Hinda, dans le département du Kouilou, le 23 mars 2014 sont autant d’actions qui ne démentent pas l’option de Denis Sassou N’Guesso pour conduire le Congo au développement. Ces deux usines ajoutées à deux autres qui sont en instance de lancement des travaux de leur construction à Mindouli et dans la Bouenza vont, sous peu, faire du Congo un pays exportateur de ciment dans l’espace CEEAC (Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale).
L’industrie minière a pris également de l’essor dans le pays. Ce qui s’est illustré depuis 2009 par le lancement des travaux de construction de l’usine de potasse de Mengo dans le département du Kouilou, à cela s’ajoute la réadmission du Congo au processus de Kimberley.
La réalisation du boulevard énergétique, en vue d’assurer au pays son indépendance en énergie électrique est l’un des challenges de cette marche, tant il est vrai que sans électricité, point d’industrie. La réhabilitation et la construction des barrages hydro-électriques, notamment de ceux de Moukoukoulou et d’Imboulou, ainsi que la construction de la centrale à gaz de Djeno intègrent cette volonté.
Le pays s’est également inscrit sur la voie du développement durable. Outre la gestion durable de ses écosystèmes forestiers, le Congo multiplie les stratégies pouvant le conduire à la diversification de son économie, pour réduire sa dépendance au pétrole. Une volonté politique qui s’illustre de nos jours à travers les zones économiques spéciales et la zone industrielle et commerciale de Maloukou.
A l’évidence, lentement mais sûrement, le Congo est sur la bonne voie et rassure quant à l’atteinte de son objectif de développement harmonieux et durable.
Christian LAWILLA
www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars