Rabat, (Starducongo.com) - Les efforts consentis par le Maroc en matière de lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes n’ont pas laissé indifférents les membres du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC) qui l’ont élu, mercredi 23, membre de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS).
Le Maroc, dont le mandat de cinq ans prendra effet à compter du 2 mars 2015, a été élu par 37 voix en marge de la réunion de coordination et d’organisation de l’ECOSOC tenue, du 23 au 25 avril courant, à New York.
A la tête d’une liste de 54 membres votant, le Maroc est le seul pays du continent africain à avoir été élu. L’Afrique du Sud, le Nigeria, le Burundi, le Ghana, le Cameroun et le Togo n’ont pu décrocher une place sur les cinq postes à pourvoir.
Il est à souligner que le Maroc a été élu en la personne du Pr. Jallal Toufiq, qui a reçu en début du mois la médaille de la Ville de Limoges.
« La brillante élection de l’expert marocain en tant que membre de l’OICS est une reconnaissance de la contribution du Royaume du Maroc aux efforts internationaux dans la lutte contre les stupéfiants, la criminalité transnationale organisée, ainsi que les substances psychotropes, qui constituent, aujourd’hui, un défi majeur à la santé de la jeunesse mondiale », souligne-t-on au ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération.
« L’élection du Maroc à cet important organe consolidera sa place au sein des institutions spécialisées des Nations unies, ainsi qu’aux organisations internationales », peut-on lire sur le site du ministère.
Organe d’experts indépendant et quasi judiciaire relevant de l’organisation des Nations unies, l’OICS a pour mission de suivre et appuyer la mise en œuvre des traités internationaux de contrôle de drogues par les gouvernements.
Il est à souligner que l’OICS, qui compte treize membres élus par le Conseil économique et social pour une période de cinq ans renouvelable, a été établie par la Convention unique sur les stupéfiants de 1961 suite à la fusion de deux organes. Il s’agit du « Comité central permanent des stupéfiants créé par la Convention internationale de l’opium de 1925 et de l’Organe de contrôle des stupéfiants créé par la Convention de 1931 pour limiter la fabrication et réglementer la distribution des stupéfiants », rappelle l’OICS.
Précisons que cet organe compte trois personnes désignées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour leur expérience de la médecine, de la pharmacologie ou de la pharmacie. Et qu’une fois élus, les treize membres « agissent de manière impartiale, à titre personnel et en toute indépendance vis-à-vis de leurs gouvernements ».
Alain Bouithy
A la tête d’une liste de 54 membres votant, le Maroc est le seul pays du continent africain à avoir été élu. L’Afrique du Sud, le Nigeria, le Burundi, le Ghana, le Cameroun et le Togo n’ont pu décrocher une place sur les cinq postes à pourvoir.
Il est à souligner que le Maroc a été élu en la personne du Pr. Jallal Toufiq, qui a reçu en début du mois la médaille de la Ville de Limoges.
« La brillante élection de l’expert marocain en tant que membre de l’OICS est une reconnaissance de la contribution du Royaume du Maroc aux efforts internationaux dans la lutte contre les stupéfiants, la criminalité transnationale organisée, ainsi que les substances psychotropes, qui constituent, aujourd’hui, un défi majeur à la santé de la jeunesse mondiale », souligne-t-on au ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération.
« L’élection du Maroc à cet important organe consolidera sa place au sein des institutions spécialisées des Nations unies, ainsi qu’aux organisations internationales », peut-on lire sur le site du ministère.
Organe d’experts indépendant et quasi judiciaire relevant de l’organisation des Nations unies, l’OICS a pour mission de suivre et appuyer la mise en œuvre des traités internationaux de contrôle de drogues par les gouvernements.
Il est à souligner que l’OICS, qui compte treize membres élus par le Conseil économique et social pour une période de cinq ans renouvelable, a été établie par la Convention unique sur les stupéfiants de 1961 suite à la fusion de deux organes. Il s’agit du « Comité central permanent des stupéfiants créé par la Convention internationale de l’opium de 1925 et de l’Organe de contrôle des stupéfiants créé par la Convention de 1931 pour limiter la fabrication et réglementer la distribution des stupéfiants », rappelle l’OICS.
Précisons que cet organe compte trois personnes désignées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour leur expérience de la médecine, de la pharmacologie ou de la pharmacie. Et qu’une fois élus, les treize membres « agissent de manière impartiale, à titre personnel et en toute indépendance vis-à-vis de leurs gouvernements ».
Alain Bouithy
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