Organisée par l’association «Studio Maho», en partenariat avec des ONG et associations étrangères, ainsi que le soutien d’institutions et organismes internationaux, Rue Dance est un événement qui a pour but de promouvoir la danse et l’art chorégraphique en tant que facteurs d’union et de concordance des relations interpersonnelles.

Une initiative de Florent Mahoukou (directeur de «Studio Maho», ce grand rendez-vous culturel, acte 5, se tiendra, du 7 au 14 juin 2014, à Brazzaville et Pointe-Noire.
Le festival Rue Danse célèbre l’art chorégraphique et montre les formes et la beauté de se mouvoir. C’est une occasion où danseurs, chorégraphes, metteurs en scène, scénographes, musiciens, comédiens et auteurs se retrouvent, sortent des lieux conventionnels que sont les salles de théâtre pour explorer, en toute liberté, l’espace public, en prenant en compte toutes interférences les passants, les cris, les klaxons de véhicules, oiseaux qui chantent, etc.
Rakotobe Lovatiana Erica (Madagascar), Rosette Lemba (RDC), Lidye Kikukama (RDC), Ndjongui Michèle (Cameroun), Mabondzo Ngamba Fanny Roselyne (Congo), Nebie Adonis (Burkina Faso), Mamela Nyamze (Afrique du Sud), Maman Sani Moussa (Niger), Fatou Cisse (Sénégal), Delphine Cammal & Jessica Orsinet (France), Philippe Chamaux /Maison de Production (France), Tchekpo Dan Agbetou (Allemagne), Lee Kyungeun, Lee Hyunbum, et Bae Yuri (Corée du Sud), tels sont les artistes tiendront en haleine le public brazzavillois et ponténégrin. Lors des spectacles de cette 5ème édition qui s’annonce grandiose. Une édition dont la programmation fera la part belle à la gent féminine. A travers les différentes compagnies et groupes invités.
«Lors de cette cinquième édition, Rue Dance Congo va porter son questionnement sur la question du genre. Nous constatons que le taux de participation des femmes dans le milieu culturel est très minime. Rares sont celles qui ont le courage de se mettre au-devant de la scène.
Pour susciter cela dans le milieu de la danse contemporaine, en particulier au Congo et en Afrique, en général, cette année, la programmation Rue Dance Congo fera une part belle aux compagnies dirigées par les femmes. Et pour favoriser l’émergence des talents auprès des jeunes filles, nous prendrons en compte, dans notre programmation, des spectacles portés par des femmes chorégraphes ou des jeunes danseuses interprètes», a expliqué Florent Mahoukou.
La 5ème édition de Rue Dance sera aussi marquée par des ateliers de créations, dénommés: «Décorps urbains». «Il nous paraît important et nécessaire de profiter de l’événement pour lancer la deuxième session des ateliers de créations «Ateliers Décorps Urbains» pour proposer des nouveaux outils créatifs, un approfondissement des connaissances des réalités du corps et espaces, des ouvertures culturelles par le biais d’ateliers encadrés par des artistes expérimentés, tout en souhaitant préserver cet état d’esprit de liberté et d’aventure. D’où l’envie de proposer des outils pour aller, d’une part, vers une expression plus approfondie, authentique et personnelle, grâce à un travail de connaissance des réalités énergétiques et anatomiques du corps, d’autre part, une ouverture artistique par la confrontation à l’œuvre et la démarche artistique averti.
Proposer, lors d’une période courte et intense, une rencontre avec un artiste et son univers, faire l’expérience de son processus de création; collaborer et aboutir à une présentation publique du travail élaboré ensemble, car jusqu’ici, les ballades dansées dans les rues de Brazzaville et de Pointe-Noire étaient animées dans un esprit spontané, basées sur l’improvisation. Voir au-delà des apparences, rentrer dans le cœur de la créativité, exprimer son propre questionnement, aller jusqu’au bout d’une réalisation», soutient Florent Mahoukou. Qui, depuis 2012, a élargi sa vision et ses ambitions. En initiant et implantant l’événement Rue Dance dans différents pays d’Afrique. Dans le but de mettre en place un réseau culturel panafricain dit Réseau Rue Dance. Dont l’objectif est de contribuer au développement culturel, social, économique et politique, à travers les messages dispensés par ses actions chorégraphiques, d’abord, en République du Congo et dans le reste des pays d’Afrique.
Véran Carrhol YANGA
Le festival Rue Danse célèbre l’art chorégraphique et montre les formes et la beauté de se mouvoir. C’est une occasion où danseurs, chorégraphes, metteurs en scène, scénographes, musiciens, comédiens et auteurs se retrouvent, sortent des lieux conventionnels que sont les salles de théâtre pour explorer, en toute liberté, l’espace public, en prenant en compte toutes interférences les passants, les cris, les klaxons de véhicules, oiseaux qui chantent, etc.
Rakotobe Lovatiana Erica (Madagascar), Rosette Lemba (RDC), Lidye Kikukama (RDC), Ndjongui Michèle (Cameroun), Mabondzo Ngamba Fanny Roselyne (Congo), Nebie Adonis (Burkina Faso), Mamela Nyamze (Afrique du Sud), Maman Sani Moussa (Niger), Fatou Cisse (Sénégal), Delphine Cammal & Jessica Orsinet (France), Philippe Chamaux /Maison de Production (France), Tchekpo Dan Agbetou (Allemagne), Lee Kyungeun, Lee Hyunbum, et Bae Yuri (Corée du Sud), tels sont les artistes tiendront en haleine le public brazzavillois et ponténégrin. Lors des spectacles de cette 5ème édition qui s’annonce grandiose. Une édition dont la programmation fera la part belle à la gent féminine. A travers les différentes compagnies et groupes invités.
«Lors de cette cinquième édition, Rue Dance Congo va porter son questionnement sur la question du genre. Nous constatons que le taux de participation des femmes dans le milieu culturel est très minime. Rares sont celles qui ont le courage de se mettre au-devant de la scène.
Pour susciter cela dans le milieu de la danse contemporaine, en particulier au Congo et en Afrique, en général, cette année, la programmation Rue Dance Congo fera une part belle aux compagnies dirigées par les femmes. Et pour favoriser l’émergence des talents auprès des jeunes filles, nous prendrons en compte, dans notre programmation, des spectacles portés par des femmes chorégraphes ou des jeunes danseuses interprètes», a expliqué Florent Mahoukou.
La 5ème édition de Rue Dance sera aussi marquée par des ateliers de créations, dénommés: «Décorps urbains». «Il nous paraît important et nécessaire de profiter de l’événement pour lancer la deuxième session des ateliers de créations «Ateliers Décorps Urbains» pour proposer des nouveaux outils créatifs, un approfondissement des connaissances des réalités du corps et espaces, des ouvertures culturelles par le biais d’ateliers encadrés par des artistes expérimentés, tout en souhaitant préserver cet état d’esprit de liberté et d’aventure. D’où l’envie de proposer des outils pour aller, d’une part, vers une expression plus approfondie, authentique et personnelle, grâce à un travail de connaissance des réalités énergétiques et anatomiques du corps, d’autre part, une ouverture artistique par la confrontation à l’œuvre et la démarche artistique averti.
Proposer, lors d’une période courte et intense, une rencontre avec un artiste et son univers, faire l’expérience de son processus de création; collaborer et aboutir à une présentation publique du travail élaboré ensemble, car jusqu’ici, les ballades dansées dans les rues de Brazzaville et de Pointe-Noire étaient animées dans un esprit spontané, basées sur l’improvisation. Voir au-delà des apparences, rentrer dans le cœur de la créativité, exprimer son propre questionnement, aller jusqu’au bout d’une réalisation», soutient Florent Mahoukou. Qui, depuis 2012, a élargi sa vision et ses ambitions. En initiant et implantant l’événement Rue Dance dans différents pays d’Afrique. Dans le but de mettre en place un réseau culturel panafricain dit Réseau Rue Dance. Dont l’objectif est de contribuer au développement culturel, social, économique et politique, à travers les messages dispensés par ses actions chorégraphiques, d’abord, en République du Congo et dans le reste des pays d’Afrique.
Véran Carrhol YANGA
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