Brazzaville, (Starducongo.com) - Plus ou moins 50 000 congolais-RDC en situation irrégulière à Brazzaville ont été reconduit à la frontière. Ce nombre représente les 8/100 des congolais-RDC installés sur l’ensemble du territoire de la République du Congo-Brazzaville1. Nous aurons tous compris que 92/100 de Zaïrois se trouvent encore sur notre territoire.
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Le Congo-Brazzaville compte approximativement entre 3 500 000 et 4 000 000 d’habitants suivant le dernier recensement de la population. Hors rien de la ville de Kinshasa compte 16 000 000 d’habitants. La pression sociale engendrée par les difficultés économiques structurelles de ce pays africains a logiquement engendré un chômage endémique, un besoin de survie par tous les moyens (Débrouillez-vous pour vivre aiment-ils entonner dans une chanson populaire), mais aussi malheureusement le phénomène de grand banditisme avec extorsion forcée des biens d’autrui, assassinats crapuleux en bandes organisées dits «Kuluna ». Ce phénomène a été exporté à Brazzaville ou les autorités ont dû prendre de mesures drastiques vis-à-vis des étrangers en situation irrégulière qui constituent le terreau de la pègre qui écume les quartiers de Brazzaville.
En raison de l’instinct de survie suscité par cette tension sociale, un mouvement de population se fait jour de Kinshasa (voire de l’hinterland) vers Brazzaville singulièrement perçue comme la nouvelle Eldorado ; mais aussi vers toutes les grandes villes du Congo-Brazzaville, les villes moyennes, les petites agglomérations et dans les moindres villages ou les Zaïrois3 des deux sexes par classes d’âge distincts (de 12 à 77 ans) exercent toutes sortes de petits métiers (porteurs, pousseurs, chauffeurs, vendeurs à la sauvette, vendeurs saisonniers des produits de RDC, prostituées, coiffeurs, balayeurs, éboueurs, esthéticiens de fortune, évangélistes, creuseurs d’or2…) sans qu’ils ne soient inquiétés outre mesure. Ils sont tolérés ou ils ont toujours été tolérés par les populations autochtones en dépit de leur manières peu policées, leur truculence hardie, leurs mœurs dépravées.
On a observé que cette population envahissante s’est rapidement accrue ces dernières années. Elle abuse de l’hospitalité des Congolais, non sans la complicité des membres véreux de la force publique congolaise. En effet , à la faveur du mouvement de population croissant de Kinshasa vers Brazzaville, comme à Maya-Maya, les agents de la police des frontières préposés au beach de Brazzaville ont eu l’ingéniosité de tirer profit du besoin pressant et grandissant des Zaïrois de s’installer à Brazzaville en quête de voies et moyens de survie. Un véritable trafic lucratif s’est organisé. Des rabatteurs zaïrois téléphonaient à l’agent receveurs de Brazzaville pour l’avertir qu’ils arrivaient avec deux, trois, quatre « cabris4 ». Le sergent préposé à la police des frontières se chargeait de faciliter leur passage à Brazzaville moyennant la modique somme de 2000 francs CFA par individu. Imaginez 5 rotations journalière des grands bacs de l’ATC et de L’ONATRA entre Brazzaville et Kinshasa et 10 rotations des divers canots rapides, combien de « cabris » la vingtaine de sergents, adjudants, lieutenants et autres capitaines préposés au beach de Brazzaville laissaient ou laissent passer journellement à Brazzaville sans aucun document d’immigration et bien entendu, combien empochaient-ils journellement. Comme cela quand ils cranent sans vergogne dans les rues de Brazzaville sur les motocyclettes « Djakarta » ou dans les voitures Toyota d’occasion c’est au détriment de la sécurité du pays. (Le pays est touché à son immunité).
Si en 2014, ils importent 50 000 000 citoyens zaïrois à Brazzaville, en 2025, nous serons envahis au moins par 1 000 000 d’entre eux, si nous ne prenons garde nous ne serons plus chez nous.
1. Lambert Mende, Ministre des médias RDC dixit
2. Le district de Kimba (département du Pool), est situé à environ 400 km de Brazzaville
3. Dénomination adoptée pour les nationaux de RDC sous le Maréchal MOBUTU
4. Sujet zaïrois aspirant à l’immigration clandestine.
Par NeKongo Waverila
En raison de l’instinct de survie suscité par cette tension sociale, un mouvement de population se fait jour de Kinshasa (voire de l’hinterland) vers Brazzaville singulièrement perçue comme la nouvelle Eldorado ; mais aussi vers toutes les grandes villes du Congo-Brazzaville, les villes moyennes, les petites agglomérations et dans les moindres villages ou les Zaïrois3 des deux sexes par classes d’âge distincts (de 12 à 77 ans) exercent toutes sortes de petits métiers (porteurs, pousseurs, chauffeurs, vendeurs à la sauvette, vendeurs saisonniers des produits de RDC, prostituées, coiffeurs, balayeurs, éboueurs, esthéticiens de fortune, évangélistes, creuseurs d’or2…) sans qu’ils ne soient inquiétés outre mesure. Ils sont tolérés ou ils ont toujours été tolérés par les populations autochtones en dépit de leur manières peu policées, leur truculence hardie, leurs mœurs dépravées.
On a observé que cette population envahissante s’est rapidement accrue ces dernières années. Elle abuse de l’hospitalité des Congolais, non sans la complicité des membres véreux de la force publique congolaise. En effet , à la faveur du mouvement de population croissant de Kinshasa vers Brazzaville, comme à Maya-Maya, les agents de la police des frontières préposés au beach de Brazzaville ont eu l’ingéniosité de tirer profit du besoin pressant et grandissant des Zaïrois de s’installer à Brazzaville en quête de voies et moyens de survie. Un véritable trafic lucratif s’est organisé. Des rabatteurs zaïrois téléphonaient à l’agent receveurs de Brazzaville pour l’avertir qu’ils arrivaient avec deux, trois, quatre « cabris4 ». Le sergent préposé à la police des frontières se chargeait de faciliter leur passage à Brazzaville moyennant la modique somme de 2000 francs CFA par individu. Imaginez 5 rotations journalière des grands bacs de l’ATC et de L’ONATRA entre Brazzaville et Kinshasa et 10 rotations des divers canots rapides, combien de « cabris » la vingtaine de sergents, adjudants, lieutenants et autres capitaines préposés au beach de Brazzaville laissaient ou laissent passer journellement à Brazzaville sans aucun document d’immigration et bien entendu, combien empochaient-ils journellement. Comme cela quand ils cranent sans vergogne dans les rues de Brazzaville sur les motocyclettes « Djakarta » ou dans les voitures Toyota d’occasion c’est au détriment de la sécurité du pays. (Le pays est touché à son immunité).
Si en 2014, ils importent 50 000 000 citoyens zaïrois à Brazzaville, en 2025, nous serons envahis au moins par 1 000 000 d’entre eux, si nous ne prenons garde nous ne serons plus chez nous.
1. Lambert Mende, Ministre des médias RDC dixit
2. Le district de Kimba (département du Pool), est situé à environ 400 km de Brazzaville
3. Dénomination adoptée pour les nationaux de RDC sous le Maréchal MOBUTU
4. Sujet zaïrois aspirant à l’immigration clandestine.
Par NeKongo Waverila
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