Nouveau directeur général de Total E&P Congo, depuis septembre 2012, Babak Bagherzadeh, qui succède à Jacques Azibert, était, officiellement, présenté aux autorités politiques et administratives de Pointe-Noire et du Kouilou, le 13 septembre 2012, ainsi qu’aux sociétés partenaires, prestataires de services et membres de la société civile. Lundi 26 novembre dernier, c’était au tour de la population de Djéno, l’un des quartiers du sixième arrondissement Ngoyo, à Pointe-Noire, a procédé à la cérémonie traditionnelle de son intronisation. La cérémonie traditionnelle, selon le rituel vili, s’est déroulée au domicile de Michel Poaty Tchicaya, chef du comité de quartier de Djéno.
Douces-amères colas, bonbons, biscuits, vin rouge, Négrita, l’incontournable rhum des autochtones et le vin de palme, voilà la composition des ingrédients rassemblés selon la pure tradition vili, par les initiés du rituel Tchikandi Tchidjeno, pour implorer les mânes du terroir, afin d’accompagner le nouveau directeur général de Total E&P Congo, dans ses responsabilités. Les mânes qui, en cette journée festive, ont été priées d’accepter Babak Bagherzadeh, comme membre de la grande famille de Djéno. La société Total E&P Congo faisant partie non plus des partenaires, mais de la grande famille de cette contrée, Michel Poaty Tchicaya, chef du comité de quartier de Djéno, dans son mot de bienvenue, a signifié le sens de l’événement. «La communauté de Djéno et moi même, sommes heureux de vous recevoir et de vous compter parmi les nôtres. Hier, il y avait des relations de partenariat entre la société Total E&P Congo et la communauté de Djéno, mais ce concept, nous l’avons dépassé et nous sommes devenus une famille», a-t-il déclaré.
Du côté de la société pétrolière, on est parfaitement compréhensif des coutumes locales. «Une cérémonie importante devenue une coutume pour Total E&P Congo respectueuse des traditions. Une manière de mettre à contribution l’apport du visible et de l’invisible dans la réussite de nos activités», a renchéri Louis Roger Tchinianga, chef de la division responsabilité sociétale et communication.
A l’issue de ce baptême traditionnel qui a fait de lui un fils de Djéno, suivi de la remise d’une canne, symbole du transfert du pouvoir ancestral par le premier sage de la localité, Babak Bagherzadeh, visiblement émerveillé, a; simplement, dit, en vili: «Ya tond bèn», qui signifie, littéralement: «Je vous remercie». Preuve qu’il a bien intégré la grande famille de la contrée, bénéficiant ainsi de la protection des mânes.
Mais, surtout, preuve de l’excellence des relations qu’entretient la filiale pétrolière française, depuis quarante ans, avec la communauté de Djéno. Babak Bagherzadeh ne souhaite rien d’autre que de préserver, évidemment, ces bonnes relations, grâce à la vigilance de Marie Laure Balou, responsable des relations avec la communauté de Djéno. Les projets socio-économiques comme l’unité de briques stabilisées (C.b.s), les maraîchers de Djéno, l’association des éleveurs de Djéno et bien d’autres projets en cours de réalisation, contribuent au renforcement des relations de la société pétrolière avec la communauté de Djéno.
La cérémonie traditionnelle s’est achevée par un cocktail agrémenté par la «Flamme de Djéno», un orchestre composé de jeunes de cette localité.
Noëllie BOUANGA et Equateur Denis NGUIMBI
Douces-amères colas, bonbons, biscuits, vin rouge, Négrita, l’incontournable rhum des autochtones et le vin de palme, voilà la composition des ingrédients rassemblés selon la pure tradition vili, par les initiés du rituel Tchikandi Tchidjeno, pour implorer les mânes du terroir, afin d’accompagner le nouveau directeur général de Total E&P Congo, dans ses responsabilités. Les mânes qui, en cette journée festive, ont été priées d’accepter Babak Bagherzadeh, comme membre de la grande famille de Djéno. La société Total E&P Congo faisant partie non plus des partenaires, mais de la grande famille de cette contrée, Michel Poaty Tchicaya, chef du comité de quartier de Djéno, dans son mot de bienvenue, a signifié le sens de l’événement. «La communauté de Djéno et moi même, sommes heureux de vous recevoir et de vous compter parmi les nôtres. Hier, il y avait des relations de partenariat entre la société Total E&P Congo et la communauté de Djéno, mais ce concept, nous l’avons dépassé et nous sommes devenus une famille», a-t-il déclaré.
Du côté de la société pétrolière, on est parfaitement compréhensif des coutumes locales. «Une cérémonie importante devenue une coutume pour Total E&P Congo respectueuse des traditions. Une manière de mettre à contribution l’apport du visible et de l’invisible dans la réussite de nos activités», a renchéri Louis Roger Tchinianga, chef de la division responsabilité sociétale et communication.
A l’issue de ce baptême traditionnel qui a fait de lui un fils de Djéno, suivi de la remise d’une canne, symbole du transfert du pouvoir ancestral par le premier sage de la localité, Babak Bagherzadeh, visiblement émerveillé, a; simplement, dit, en vili: «Ya tond bèn», qui signifie, littéralement: «Je vous remercie». Preuve qu’il a bien intégré la grande famille de la contrée, bénéficiant ainsi de la protection des mânes.
Mais, surtout, preuve de l’excellence des relations qu’entretient la filiale pétrolière française, depuis quarante ans, avec la communauté de Djéno. Babak Bagherzadeh ne souhaite rien d’autre que de préserver, évidemment, ces bonnes relations, grâce à la vigilance de Marie Laure Balou, responsable des relations avec la communauté de Djéno. Les projets socio-économiques comme l’unité de briques stabilisées (C.b.s), les maraîchers de Djéno, l’association des éleveurs de Djéno et bien d’autres projets en cours de réalisation, contribuent au renforcement des relations de la société pétrolière avec la communauté de Djéno.
La cérémonie traditionnelle s’est achevée par un cocktail agrémenté par la «Flamme de Djéno», un orchestre composé de jeunes de cette localité.
Noëllie BOUANGA et Equateur Denis NGUIMBI
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