
L'ancien sociétaire du groupe Lan'gui, a composé un maxi single de six titres, un opus métissé qui établit un pont entre Lan'gui et sa carrière solo
Comme son nom l'indique, Eloko ékoya (ce qui viendra) est un album annonciateur. Chanté en lingala, ce maxi single présente l'identité musicale de Kébèn. « Il m'a fallu un certains temps avant de sortir ce single pour montrer la couleur musicale que j'ai envie d'imprimer », a précisé l'artiste.
Ce passionné de musique africaine assume pleinement ses influences musicales. « Lan'gui était un groupe où l'on composait ensemble et là, c'est moi qui compose tout seul et c'est donc un métissage culturel qui me ressemble », a-t-il avoué.
Kébèn a su se démarquer de la musique de Lang'ui. Son style est le fruit des recherches mixées aux influences musicales. On trouve dans Eloko ékoya, du reggae et aussi une légère emprunte de la pop africaine.
Pour cette aventure, Kébèn a travaillé avec Prince Mayindou, qui a fait les guitares des six titres, mais aussi Murphy, un ancien co-équipier du groupe Lan'gui qui joue au piano dans Tango le cinquième titre de l'album. « J'ai aussi fait participer un talentueux trompettiste qui joue dans les Bantous de la capitale, dans le titre La route est longue », a poursuivi Kébèn. Des enfants victimes de la tragédie du 4 Mars chantent également dans La route est longue, ainsi qu'un percussionniste camerounais et le violoncelliste français Jean-Philippe Audin.
Eloko ékoya, Uwishema, Tala Ngai mabe, La route est longue, Tango et Tala Nga mabe remix, sont les six titres à travers lesquels Kébèn s'est exprimé en lingala et en français. « Je souhaite que chacun écoute cet album car il marque le début de ma carrière solo et j'espère apporter une nouvelle touche musicale. Les gens qui m'ont suivi savent que je vais de l'avant, car c'est en rencontrant des gens et en ayant de nouvelles expériences qu'on peut s'enrichir et apprendre. Cet album veut donner cette image-là. Tous ceux qui veulent découvrir un son nouveau, sont les bienvenus dans ma musique », a conclu Kébèn.
Désirée Hermione Ngoma
Comme son nom l'indique, Eloko ékoya (ce qui viendra) est un album annonciateur. Chanté en lingala, ce maxi single présente l'identité musicale de Kébèn. « Il m'a fallu un certains temps avant de sortir ce single pour montrer la couleur musicale que j'ai envie d'imprimer », a précisé l'artiste.
Ce passionné de musique africaine assume pleinement ses influences musicales. « Lan'gui était un groupe où l'on composait ensemble et là, c'est moi qui compose tout seul et c'est donc un métissage culturel qui me ressemble », a-t-il avoué.
Kébèn a su se démarquer de la musique de Lang'ui. Son style est le fruit des recherches mixées aux influences musicales. On trouve dans Eloko ékoya, du reggae et aussi une légère emprunte de la pop africaine.
Pour cette aventure, Kébèn a travaillé avec Prince Mayindou, qui a fait les guitares des six titres, mais aussi Murphy, un ancien co-équipier du groupe Lan'gui qui joue au piano dans Tango le cinquième titre de l'album. « J'ai aussi fait participer un talentueux trompettiste qui joue dans les Bantous de la capitale, dans le titre La route est longue », a poursuivi Kébèn. Des enfants victimes de la tragédie du 4 Mars chantent également dans La route est longue, ainsi qu'un percussionniste camerounais et le violoncelliste français Jean-Philippe Audin.
Eloko ékoya, Uwishema, Tala Ngai mabe, La route est longue, Tango et Tala Nga mabe remix, sont les six titres à travers lesquels Kébèn s'est exprimé en lingala et en français. « Je souhaite que chacun écoute cet album car il marque le début de ma carrière solo et j'espère apporter une nouvelle touche musicale. Les gens qui m'ont suivi savent que je vais de l'avant, car c'est en rencontrant des gens et en ayant de nouvelles expériences qu'on peut s'enrichir et apprendre. Cet album veut donner cette image-là. Tous ceux qui veulent découvrir un son nouveau, sont les bienvenus dans ma musique », a conclu Kébèn.
Désirée Hermione Ngoma
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