Lancées jeudi 5 juin 2014, dans la salle de spectacle de l’Institut français de Pointe-Noire, les activités de la célébration du dixième anniversaire du festival international des musiques et des arts Nsangu Ndji-Ndji ont pris fin, dimanche 8 juin dernier, dans la salle de spectacle du Centre culturel Jean Baptiste Tati Loutard, sis à Mpita (arrondissement 1 Lumumba), dans une ambiance de kermesse.
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Pendant quatre jours, les Ponténégrins ont vibré au rythme de N’sangu Ndji-Ndji, dans les différents sites retenus pour la circonstance, tels: L’Espace culturel Yaro, l’Institut Français et le Centre culturel Jean Baptiste Tati Loutard, à travers une variété de spectacles (danse, musique) et des ateliers animés par les artistes professionnels comme Ismaëlo Lô, venu du Sénégal, qui a tenu les foules en haleine avec son mbalax sénégalais mélangé avec dextérité aux sonorités mandingues et le soul makossa; le griot tchadien Frédéric Samara, par sa voix suave et profonde, a plongé les foules dans une joie incommensurable; et bien d’autres comme: Huguembo, de la RDC (République Démocratique du Congo), artiste musicien, auteur compositeur et arrangeur; le Gabonais Queen Koumbi, à l’aise aussi bien en français qu’en anglais, a transmis aux foules les émotions de son vécu quotidien de jeune femme; le Congolais Brice Mizingou, accompagné de ses musiciens, ont épaté les foules avec leurs instruments locaux fabriqués avec ingéniosité.
Les dix ans de N’Sangu Ndji-Ndji ont été, aussi, marqué par les conférences-débats, les rencontres professionnelles et les expositions axées autour de la protection des singes, animées par l’association Easy Congo, et bien d’autres activités culturelles. Et le moins que l’on puisse dire est que la fête s’est déroulée dans l’allégresse.
Initié par Pierre Claver Mabiala, en 2005, le festival international des musiques et arts N’Sangu Ndji-Ndji s’est fixé pour objectif principal de faire une place de choix aux musiques de recherche, lesquelles portent des valeurs identitaires, et proposer d’autres genres musicaux aux mélomanes. Rendez-vous a été pris pour la onzième édition, en 2015.
Equateur Denis NGUIMBI
Les dix ans de N’Sangu Ndji-Ndji ont été, aussi, marqué par les conférences-débats, les rencontres professionnelles et les expositions axées autour de la protection des singes, animées par l’association Easy Congo, et bien d’autres activités culturelles. Et le moins que l’on puisse dire est que la fête s’est déroulée dans l’allégresse.
Initié par Pierre Claver Mabiala, en 2005, le festival international des musiques et arts N’Sangu Ndji-Ndji s’est fixé pour objectif principal de faire une place de choix aux musiques de recherche, lesquelles portent des valeurs identitaires, et proposer d’autres genres musicaux aux mélomanes. Rendez-vous a été pris pour la onzième édition, en 2015.
Equateur Denis NGUIMBI
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