Brazzaville : l’électricité, une denrée rare au quartier la base (Comus)

Malgré cette volonté manifeste des pouvoirs publics, les populations souffrent encore pour avoir accès de ces produits au regard de nombreux cours d’eau. Il était prévu qu’après ma mise en service du barrage hydro-électrique d’Imboulou, les congolais (surtout les brazzavillois) n’allaient plus souffrir, ni des délestages, ni de mauvaise qualité d’électricité (baisse de tension). Mais paradoxe, les populations continuent à peiner pour satisfaire à leur besoin en rapport avec l’eau potable et l’électricité : les interminables délestages sont toujours vécus à longueur de journées. L’eau potable parait un luxe encore dans certains quartiers de Brazzaville.

Electricité, denrée rare !

Depuis plus d’un mois et c’est une situation qui semble pas préoccuper les agents et autorités de la société nationale d’électricité (SNE), que les habitants du quartier la Base, précisément dans les environs du camp COMUS, vivent un cauchemar. Ils sont servis par la SNE d’une électricité précaire pour ne pas dire faible ne pouvant même alimenté un poste téléviseur, surtout en cette période de la coupe du monde. Au finish, les factures (quittance) qui arrivent sont exorbitantes, amenant certains à s’en prendre aux agents de la SNE.

Ce qui parait étonnant, le quartier n’est qu’à une centaine de mètre avec les structures de la SNE à Moukondo-Mazala. Une situation qui n’interpelle pas les agents de cette société, qui a montré toutes ses faiblesses dans la gestion des situations similaires.
Les habitants de ce quartier voient leur situation perdurer sans que les agents de la SNE ne se préoccupent. Et ils demandent cela va durer jusque quand ?
Les autorités de la SNE sont invitées à parer vite à cette situation qui met en difficulté les habitants qui sont forcés à dépenser autant d’argent supplémentaire pour faire face à cette situation qui semble durer longtemps.

André Nickys

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