La 5ème édition du festival populaire et international des musiques traditionnelles «Feux de Brazza», on le sait, aura lieu, du 2 au 8 août 2014, à Mfilou-Ngamaba, le 7ème arrondissement de Brazzaville. Sur le thème: «L’instrument de musique africaine et son rôle dans la musique mondiale». Prélude à la tenue de cet événement, le comité de direction de ce festival a organisé un atelier de renforcement des capacités à l’intention des journalistes culturels. Afin de permettre à ceux-ci de s’imprégner du concept «Feux de Brazza».
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C’était le samedi 5 juillet 2014, dans la salle de conférence de la mairie de Mfilou. Gervais Hugues Ondaye, directeur général de Feux de Brazza, en a présidé les cérémonies d’ouverture et de clôture.
Comprendre et bien communiquer sur «Feux de Brazza», telle est la volonté manifeste des organiseurs de ce festival, en regroupant les journalistes culturels autour d’une même table. En effet, le désir des organisateurs de cette grand-messe culturelle est de voir non seulement leurs attentes, mais aussi celles du public qui est leur cible, comblées, au cours de cette édition.
Une vingtaine de journalistes culturels des organes de la presse audiovisuelle et de la presse écrite ont pris part à cette formation, au cours de laquelle deux thèmes ont été développés: «Présentation de Feux de Brazza», par Gervais Hugues Ondaye, et «L’événementiel, autrement dit: l’avant, le pendant et l’après événement», par Marie-Blaise Nkouka Diafoucka, du festival Feux de Brazza.
Dans son exposé, Gervais Hugues Ondaye a souligné: «On ne peut pas rendre un papier, on ne peut pas communiquer efficacement sur un concept ou sur un projet culturel, si on ne connaît pas les contours de ce projet. Si on ne connaît pas les motivations qui ont conduit les initiateurs à mettre en place ce projet. Si on n’est pas dans les objectifs à court, moyen et à long termes de ce projet, si on ne connaît pas les perspectives de ce projet et si on ne s’imprègne pas du programme en lui-même d’une édition». De façon globale, l’exposé du directeur général de Feux de Brazza a permis de mettre à la disposition des journalistes les outils nécessaires qui leur permettront de bien comprendre et de bien communiquer sur «Feux de Brazza».
Dans le deuxième thème, il était question, au cours des échanges, de trouver les points de convergence entre les attentes des organisateurs et celles du public qui est leur cible, et la presse, les angles d’attaque. Ceci pour satisfaire les auditeurs, les lecteurs et les téléspectateurs dans la couverture médiatique de l’événement, et bien faire comprendre le déroulement de l’événement.
Au terme de la formation, les participants ont exprimé leur satisfaction. «C’est un atelier qui était comme une avant-garde pour le festival Feux de Brazza. On nous a donné quelques orientations sur la manière dont on doit couvrir les événements liés à Feux de Brazza, notamment, toutes les productions, les activités sur le village du festival. Toute formation est toujours importante. La musique traditionnelle est la base de notre musique. Toute musique part, d’ailleurs, de la musique traditionnelle», a, par exemple, dit l’un d’entre eux.
La fin de la formation a été marquée par la visite des installations où vont se dérouler les spectacles et du «Village Feux de Brazza».
Signalons que «Feux de Brazza» est un festival privé avec le statut d’une association. Il a été créé en 2005. Il vise: l’identification; la conservation et la promotion des musiques traditionnelles africaines.
Pascal NGALIBO-YALA
Comprendre et bien communiquer sur «Feux de Brazza», telle est la volonté manifeste des organiseurs de ce festival, en regroupant les journalistes culturels autour d’une même table. En effet, le désir des organisateurs de cette grand-messe culturelle est de voir non seulement leurs attentes, mais aussi celles du public qui est leur cible, comblées, au cours de cette édition.
Une vingtaine de journalistes culturels des organes de la presse audiovisuelle et de la presse écrite ont pris part à cette formation, au cours de laquelle deux thèmes ont été développés: «Présentation de Feux de Brazza», par Gervais Hugues Ondaye, et «L’événementiel, autrement dit: l’avant, le pendant et l’après événement», par Marie-Blaise Nkouka Diafoucka, du festival Feux de Brazza.
Dans son exposé, Gervais Hugues Ondaye a souligné: «On ne peut pas rendre un papier, on ne peut pas communiquer efficacement sur un concept ou sur un projet culturel, si on ne connaît pas les contours de ce projet. Si on ne connaît pas les motivations qui ont conduit les initiateurs à mettre en place ce projet. Si on n’est pas dans les objectifs à court, moyen et à long termes de ce projet, si on ne connaît pas les perspectives de ce projet et si on ne s’imprègne pas du programme en lui-même d’une édition». De façon globale, l’exposé du directeur général de Feux de Brazza a permis de mettre à la disposition des journalistes les outils nécessaires qui leur permettront de bien comprendre et de bien communiquer sur «Feux de Brazza».
Dans le deuxième thème, il était question, au cours des échanges, de trouver les points de convergence entre les attentes des organisateurs et celles du public qui est leur cible, et la presse, les angles d’attaque. Ceci pour satisfaire les auditeurs, les lecteurs et les téléspectateurs dans la couverture médiatique de l’événement, et bien faire comprendre le déroulement de l’événement.
Au terme de la formation, les participants ont exprimé leur satisfaction. «C’est un atelier qui était comme une avant-garde pour le festival Feux de Brazza. On nous a donné quelques orientations sur la manière dont on doit couvrir les événements liés à Feux de Brazza, notamment, toutes les productions, les activités sur le village du festival. Toute formation est toujours importante. La musique traditionnelle est la base de notre musique. Toute musique part, d’ailleurs, de la musique traditionnelle», a, par exemple, dit l’un d’entre eux.
La fin de la formation a été marquée par la visite des installations où vont se dérouler les spectacles et du «Village Feux de Brazza».
Signalons que «Feux de Brazza» est un festival privé avec le statut d’une association. Il a été créé en 2005. Il vise: l’identification; la conservation et la promotion des musiques traditionnelles africaines.
Pascal NGALIBO-YALA
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