Organisé par l’A.k.e (Association Kirikou Evènements), le festival sur la mixité des couleurs, dénommé: Festi’Brazza, a fait vibrer, pendant deux jours (du 25 au 26 juillet 2014), l’I.f.c (Institut français du Congo).
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Avec un programme très alléchant: tremplin musical, concerts, théâtre, spectacles, conférence-débat, défilé de mode, stage d’initiation à la danse, exposition-photos sapologie, ce festival a regroupé de nombreux artistes du Congo et d’ailleurs, afin de donner aux spectateurs un cocktail culturel au-delà de leurs espérances.
Créé parallèlement à un autre festival, Festi’Couleurs, qu’abrite chaque année et depuis huit ans, la ville de Toulouse, en France, Festi’Brazza, ce concept richissime demeure une plateforme d’expression culturelle émanant d’un cerveau penseur franco-congolais, Magloire Sitou, président de l’Association Kirikou évènements, basée en France. D’après ce dernier, le but de ce festival est de «mettre en lumière la diversité culturelle du Congo et promouvoir le talent des artistes, à travers Brazzaville», ville comptant, depuis peu, dans le réseau des villes créatives inscrites à l’Unesco.
Pendant deux jours, les Brazzavillois friands de la culture se sont rués vers l’Institut Français du Congo, afin de déguster, avec enthousiasme, les surprises réservées par Festi’Brazza: un rendez-vous culturel unique. Claude Roy ne disait-il pas: «La culture se définit, essentiellement, par ce qui est partagé et transmis…C’est ce que nous avons en commun avec d’autres?» Car, si les sentiments sont faits pour être exprimés, le talent, quant à lui, est donné pour être exploité avec l’accord de Festi’Brazza.
Plusieurs thèmes ont garni le menu des conférences-débats organisées dans la salle André Gide, tels «L’Occident est-il un eldorado pour la jeunesse africaine?» Et «La Place de la femme dans notre société congolaise». Dans une ambiance bouillonnante, des points de vue divergents, mais constructifs, émis par les participants, y compris des conférenciers eux-mêmes, ont donné de la valeur à cette rencontre d’écoute, de réflexion, de partage et d’échanges.
Habillés par Tembo Betty (styliste) et Nkoussou Kifila Fetnichia Cedrene, styliste, membre de l’Amaco (Association des mannequins du Congo), les mannequins de cette association, aux rythmes des maquettes captivantes, des chorégraphies à la fois angéliques et envoutantes, ont illuminé la salle Savorgnan De Brazza, quitte à récolter des applaudissements et…
Classé comme 6e art, parmi les «arts de scène», le théâtre était au rendez-vous. Fortuné Bateza, accompagné par sa troupe ‘’CinéCongo’’, ont apporté leur pierre à l’édifice pour la réussite de ce festival. Ce, à travers une pièce de théâtre dans laquelle la femme est privée de ses droits et doit se soumettre à la culture africaine, notamment au dernier mot de l’homme.
Parmi les moments forts qui ont agrémenté cette cérémonie figurent des expositions-ventes et des prestations d’artistes musiciens du Congo et d’ailleurs, des groupes de danse, tels T-Dance, Phenomenal girls, pour ne citer que ceux-là, et surtout, l’exposition des photos coïncidant avec le thème de l’I.f.c de ce mois de juillet: la sapologie.
En somme, Festi’Brazza a su illuminer la ville de Brazzaville. Ce, malgré de nombreuses difficultés rencontrées, telles le manque de sponsors, de moyens financiers adéquats. Qu’à cela ne tienne, avec l’appui de l’Institut français du Congo, de la société Ragec et des hommes de culture, comme le commandant Atiga, Raymond Loko, Magloire Sitou et son équipe de l’A.k.e se sont battus, bec et ongles, afin de satisfaire les attentes des Brazzavillois amoureux de la culture.
Depuis sa création, en 2002, l’A.k.e, qui fait de la culture un de ses chevaux de bataille, après ce Festi’Brazza 2014, entend étendre son audience à Pointe-Noire, Kinsha-sa…trainant, dans sa gibecière, des projets innovants et des évènements à couper le souffle et à donner une place de choix à l’expression culturelle dans les sociétés africaines.
Nelson DZAO (Stagiaire)
Créé parallèlement à un autre festival, Festi’Couleurs, qu’abrite chaque année et depuis huit ans, la ville de Toulouse, en France, Festi’Brazza, ce concept richissime demeure une plateforme d’expression culturelle émanant d’un cerveau penseur franco-congolais, Magloire Sitou, président de l’Association Kirikou évènements, basée en France. D’après ce dernier, le but de ce festival est de «mettre en lumière la diversité culturelle du Congo et promouvoir le talent des artistes, à travers Brazzaville», ville comptant, depuis peu, dans le réseau des villes créatives inscrites à l’Unesco.
Pendant deux jours, les Brazzavillois friands de la culture se sont rués vers l’Institut Français du Congo, afin de déguster, avec enthousiasme, les surprises réservées par Festi’Brazza: un rendez-vous culturel unique. Claude Roy ne disait-il pas: «La culture se définit, essentiellement, par ce qui est partagé et transmis…C’est ce que nous avons en commun avec d’autres?» Car, si les sentiments sont faits pour être exprimés, le talent, quant à lui, est donné pour être exploité avec l’accord de Festi’Brazza.
Plusieurs thèmes ont garni le menu des conférences-débats organisées dans la salle André Gide, tels «L’Occident est-il un eldorado pour la jeunesse africaine?» Et «La Place de la femme dans notre société congolaise». Dans une ambiance bouillonnante, des points de vue divergents, mais constructifs, émis par les participants, y compris des conférenciers eux-mêmes, ont donné de la valeur à cette rencontre d’écoute, de réflexion, de partage et d’échanges.
Habillés par Tembo Betty (styliste) et Nkoussou Kifila Fetnichia Cedrene, styliste, membre de l’Amaco (Association des mannequins du Congo), les mannequins de cette association, aux rythmes des maquettes captivantes, des chorégraphies à la fois angéliques et envoutantes, ont illuminé la salle Savorgnan De Brazza, quitte à récolter des applaudissements et…
Classé comme 6e art, parmi les «arts de scène», le théâtre était au rendez-vous. Fortuné Bateza, accompagné par sa troupe ‘’CinéCongo’’, ont apporté leur pierre à l’édifice pour la réussite de ce festival. Ce, à travers une pièce de théâtre dans laquelle la femme est privée de ses droits et doit se soumettre à la culture africaine, notamment au dernier mot de l’homme.
Parmi les moments forts qui ont agrémenté cette cérémonie figurent des expositions-ventes et des prestations d’artistes musiciens du Congo et d’ailleurs, des groupes de danse, tels T-Dance, Phenomenal girls, pour ne citer que ceux-là, et surtout, l’exposition des photos coïncidant avec le thème de l’I.f.c de ce mois de juillet: la sapologie.
En somme, Festi’Brazza a su illuminer la ville de Brazzaville. Ce, malgré de nombreuses difficultés rencontrées, telles le manque de sponsors, de moyens financiers adéquats. Qu’à cela ne tienne, avec l’appui de l’Institut français du Congo, de la société Ragec et des hommes de culture, comme le commandant Atiga, Raymond Loko, Magloire Sitou et son équipe de l’A.k.e se sont battus, bec et ongles, afin de satisfaire les attentes des Brazzavillois amoureux de la culture.
Depuis sa création, en 2002, l’A.k.e, qui fait de la culture un de ses chevaux de bataille, après ce Festi’Brazza 2014, entend étendre son audience à Pointe-Noire, Kinsha-sa…trainant, dans sa gibecière, des projets innovants et des évènements à couper le souffle et à donner une place de choix à l’expression culturelle dans les sociétés africaines.
Nelson DZAO (Stagiaire)
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