Kinshasa, (Starducongo.com) - Le territoire congolais a longtemps été un terrain de jeu fertile pour trois disciplines en particulier, et laissant peu de place à la pénétration d’autres sports plus prisés dans d’autres parties du monde. Jusque dans les années 1990, les disciplines qui avaient le plus de succès auprès des congolais étaient en effet assez éloignées du football, alors largement pratiqué ailleurs sur le continent, et aujourd’hui sport national, ou encore du basketball qui connaissait un franc succès aux Etats-Unis. L’agenda sportif du Congo se partageait alors entre la course à pied et les sports de combat, notamment la lutte et la boxe.
Depuis le début des années 1990, le sport congolais s’est largement diversifié et a investi dans des structures au niveau local. Le pays a par la suite pu s’illustrer au cours de compétitions inter-africaines, avant de se hisser au rang mondial.
Parmi les figures célèbres du sport congolais, on n’oublie pas la performance de l’athlète Gary Kikaya lors des Jeux Olympiques de Pékin en 2008 où il atteindra la demi-finale. Né à Kinshasa en 1980, fils du diplomate Kikaya Bin Karubi, l’athlète et sprinter accompli devenu spécialiste du 400 mètres excelle sur cette distance et bat le record d’Afrique lors de la finale mondiale de l’athlétisme à Stuttgart en 2006. Une autre figure du sport congolais, tout aussi si ce n’est plus célèbre encore, Dikembe Mutombo a représenté avec fierté la force congolaise dans le championnat américain de basket-ball (NBA). Surnommé “Le mont Mutombo” pour son jeu défensif hors pair du haut de ses 2,18m, il a joué durant 18 saisons et près de 1200 matchs. Ces dernières années, la marche à pied et le jogging ont également rejoint les rangs des loisirs et sports les plus prisés par les habitants du Congo. Les jeux de cartes et d’argent comme le poker ont également la part belle, notamment avec une recrudescence de tournois en ligne.
Initialement introduit dans les écoles par les missionnaires catholiques belges, c’est le football, toutefois, qui demeure indétrônable et qui compte le plus d’adeptes sur le territoire, et le plus représenté sur la scène internationale. D’abord essentiellement prisé par les habitants de Léopoldville (Kinshasa) et Elisabethville (Lubumbashi), le ballon rond s’étendit rapidement au reste du pays. À Kinshasa, c’est le Père Raphaël de la Khétule qui créa la première plaine de jeux et fit entrer le football dans les nouvelles écoles début 1910. Près de 10 ans plus tard, c’est le même “Tata Raphaël” qui fonde l’Association Royale Sportive du Congo, ancêtre de l’actuelle FECOFA. Aujourd’hui sacrée plusieurs fois champions d’Afrique, l’équipe nationale - les “Léopards” à trois reprises (en 1968, 1974 et 2009), T.P. Mazembe à quatre reprises, V. Club et Daring, la RDC est considérée comme l’un des représentants majeurs du football africain, bien qu’elle ait accusé ces dix dernières années - à l’exception de sa performance en coupe du monde des clubs en 2010 - une certaine perte de vitesse à cause de défaut d’administration.
Depuis le début des années 1990, le sport congolais s’est largement diversifié et a investi dans des structures au niveau local. Le pays a par la suite pu s’illustrer au cours de compétitions inter-africaines, avant de se hisser au rang mondial.
Parmi les figures célèbres du sport congolais, on n’oublie pas la performance de l’athlète Gary Kikaya lors des Jeux Olympiques de Pékin en 2008 où il atteindra la demi-finale. Né à Kinshasa en 1980, fils du diplomate Kikaya Bin Karubi, l’athlète et sprinter accompli devenu spécialiste du 400 mètres excelle sur cette distance et bat le record d’Afrique lors de la finale mondiale de l’athlétisme à Stuttgart en 2006. Une autre figure du sport congolais, tout aussi si ce n’est plus célèbre encore, Dikembe Mutombo a représenté avec fierté la force congolaise dans le championnat américain de basket-ball (NBA). Surnommé “Le mont Mutombo” pour son jeu défensif hors pair du haut de ses 2,18m, il a joué durant 18 saisons et près de 1200 matchs. Ces dernières années, la marche à pied et le jogging ont également rejoint les rangs des loisirs et sports les plus prisés par les habitants du Congo. Les jeux de cartes et d’argent comme le poker ont également la part belle, notamment avec une recrudescence de tournois en ligne.
Initialement introduit dans les écoles par les missionnaires catholiques belges, c’est le football, toutefois, qui demeure indétrônable et qui compte le plus d’adeptes sur le territoire, et le plus représenté sur la scène internationale. D’abord essentiellement prisé par les habitants de Léopoldville (Kinshasa) et Elisabethville (Lubumbashi), le ballon rond s’étendit rapidement au reste du pays. À Kinshasa, c’est le Père Raphaël de la Khétule qui créa la première plaine de jeux et fit entrer le football dans les nouvelles écoles début 1910. Près de 10 ans plus tard, c’est le même “Tata Raphaël” qui fonde l’Association Royale Sportive du Congo, ancêtre de l’actuelle FECOFA. Aujourd’hui sacrée plusieurs fois champions d’Afrique, l’équipe nationale - les “Léopards” à trois reprises (en 1968, 1974 et 2009), T.P. Mazembe à quatre reprises, V. Club et Daring, la RDC est considérée comme l’un des représentants majeurs du football africain, bien qu’elle ait accusé ces dix dernières années - à l’exception de sa performance en coupe du monde des clubs en 2010 - une certaine perte de vitesse à cause de défaut d’administration.
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