Une équipe a fait sensation, à Brazzaville, du 3 au 5 septembre 2014, lors de la 35ème édition des championnats nationaux: Atlantic junior dames de Pointe-Noire. Pour sa première participation, elle a occupé la quatrième place. Son entraîneur adjoint, Victor Mfikou, revient sur cette merveilleuse aventure.

Que retenez-vous des championnats nationaux-Brazzaville 2014?
Notre équipe venait de voir le jour il y a huit mois à peine. Nous sommes allés faire école, parce que n’ayant pas encore des joueuses capables de faire la différence. Ce sont des filles recrutées, çà et là, issues de l’O.n.s.s.u (Office national des sports scolaires et universitaires). Malgré cela, comme dit un vieux dicton: aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années. De fil en aiguille, nous avons terminé quatrième, au classement général. C’est une place honorable, pour nous.
Quelles ont été leurs faiblesses?
Les difficultés recensées auprès de nos filles sont de trois niveaux. Primo: la tactique; secundo: la technique; tertio: la condition physique. Nos filles sont encore des novices et inexpérimentées dans ce genre de compétition. Hormis cela, les enfants se sont bien défendu sur le terrain.
Comment entendez-vous remédier ses maux, pour un meilleur avenir?
Nous misons sur un bon recrutement. Notre rêve est d’occuper la première place au niveau du championnat départemental. Nous demandons aux hommes de bonne foi de venir nous soutenir, ils ne seront pas déçus.
Equateur Denis NGUIMBI
Notre équipe venait de voir le jour il y a huit mois à peine. Nous sommes allés faire école, parce que n’ayant pas encore des joueuses capables de faire la différence. Ce sont des filles recrutées, çà et là, issues de l’O.n.s.s.u (Office national des sports scolaires et universitaires). Malgré cela, comme dit un vieux dicton: aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années. De fil en aiguille, nous avons terminé quatrième, au classement général. C’est une place honorable, pour nous.
Quelles ont été leurs faiblesses?
Les difficultés recensées auprès de nos filles sont de trois niveaux. Primo: la tactique; secundo: la technique; tertio: la condition physique. Nos filles sont encore des novices et inexpérimentées dans ce genre de compétition. Hormis cela, les enfants se sont bien défendu sur le terrain.
Comment entendez-vous remédier ses maux, pour un meilleur avenir?
Nous misons sur un bon recrutement. Notre rêve est d’occuper la première place au niveau du championnat départemental. Nous demandons aux hommes de bonne foi de venir nous soutenir, ils ne seront pas déçus.
Equateur Denis NGUIMBI
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