Brazzaville, (Starducongo.com) - Jeune congolais vivant et travaillant à Paris en France, M. Marius Ikolo Ngakosso est né le 29 mars 1983 à Brazzaville. Ayant noté l’absence de jeux africains dans les différentes applications de jeux sur Internet, il a pris l’initiative, en compagnie de deux ses amis, Blaise Pascal Mondouji et Fiacre Dadjo, d’installer les jeux ‘’Ngola’’ et ‘’Ndzika’’ du Congo-Brazzaville sur Internet. La rédaction de Starducongo l’a récemment rencontré à Paris en France.
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L’air calme et l’oreille aiguisée, Marius Ikolo Ngakosso vit en France depuis 2003. Ce sont ces jeunes sur qui le Congo peut s’appuyer. Il a bénéficié d’une formation en Informatique et en électronique. Il dit avoir noté et observé que l’Afrique n’avait pas de place dans la série de jeux sur Internet. Pour lui, c’est sa manière d’apporter la pierre de l’Afrique centrale et particulièrement du Congo à l’édifice.
«Les jeux de Ngola et de Ndzika sont des jeux que je pratique depuis la classe de CM2. Mon père appartenait à un club de Ngola à Brazzaville. A Paris, je l’ai pratiqué avec des compatriotes», a souligné Ikolo Ngakosso.
La réaction ne s’est pas fait attendre. Il rapporte que des femmes d’Afrique centrale lui ont reproché d’avoir privilégié les jeux des garçons. Ainsi a-t-il promis de revoir sa copie et d’y insérer les jeux féminins. Pour pratiquer ces jeux sur Internet, il suffit, conseille-t-il, d’avoir simplement un Smartphone ou une tablette Androïde.
Il rassure que le téléchargement est gratuit. Pour lui, il s’agit de promouvoir ces jeux africains en allant simplement à Playstore et à taper sur «Ngola».
L’objectif de ce travail consiste à transmettre la connaissance de ces jeux africains aux jeunes générations. Il explique que «le jeu est actuellement téléchargé aux Etats-Unis, en Indonésie, en Belgique et dans d’autres pays africains». Les règles du jeu sont également disponibles sur le site.
«Il y a en ce moment plus de deux mille téléchargements», a-t-il révélé. Ikolo Ngakosso indique que l’argent n’est pas sa première préoccupation mais il espère que le travail qu’il fait finira par rapporter de l’argent le moment venu. Pour faire connaître son travail, il utilise les réseaux sociaux et communique à travers des messages qu’il envoie à des amis. Il déplore toutefois le manque de moyens financiers nécessaires pour la financer.
Ikolo Ngakosso indique également qu’il tient à mettre en valeur ce qu’il a appris, soulignant qu’il avait développé une application Télécongo sur Androïde mais ne peut la diffuser parce qu’il faut préalablement discuter avec les responsables de cette institution. Il affirme avoir la maquette de ce travail abattu.
Cet enfant du Congo n'oublie que c'est le Congo qui a financé ses études et envisage de le lui rendre au centuple en améliorant son image sur le double plan national et international.
Florent Sogni Zaou
sognizaou@starducongo.com
«Les jeux de Ngola et de Ndzika sont des jeux que je pratique depuis la classe de CM2. Mon père appartenait à un club de Ngola à Brazzaville. A Paris, je l’ai pratiqué avec des compatriotes», a souligné Ikolo Ngakosso.
La réaction ne s’est pas fait attendre. Il rapporte que des femmes d’Afrique centrale lui ont reproché d’avoir privilégié les jeux des garçons. Ainsi a-t-il promis de revoir sa copie et d’y insérer les jeux féminins. Pour pratiquer ces jeux sur Internet, il suffit, conseille-t-il, d’avoir simplement un Smartphone ou une tablette Androïde.
Il rassure que le téléchargement est gratuit. Pour lui, il s’agit de promouvoir ces jeux africains en allant simplement à Playstore et à taper sur «Ngola».
L’objectif de ce travail consiste à transmettre la connaissance de ces jeux africains aux jeunes générations. Il explique que «le jeu est actuellement téléchargé aux Etats-Unis, en Indonésie, en Belgique et dans d’autres pays africains». Les règles du jeu sont également disponibles sur le site.
«Il y a en ce moment plus de deux mille téléchargements», a-t-il révélé. Ikolo Ngakosso indique que l’argent n’est pas sa première préoccupation mais il espère que le travail qu’il fait finira par rapporter de l’argent le moment venu. Pour faire connaître son travail, il utilise les réseaux sociaux et communique à travers des messages qu’il envoie à des amis. Il déplore toutefois le manque de moyens financiers nécessaires pour la financer.
Ikolo Ngakosso indique également qu’il tient à mettre en valeur ce qu’il a appris, soulignant qu’il avait développé une application Télécongo sur Androïde mais ne peut la diffuser parce qu’il faut préalablement discuter avec les responsables de cette institution. Il affirme avoir la maquette de ce travail abattu.
Cet enfant du Congo n'oublie que c'est le Congo qui a financé ses études et envisage de le lui rendre au centuple en améliorant son image sur le double plan national et international.
Florent Sogni Zaou
sognizaou@starducongo.com
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