
Inspiré du panafricanisme qui caractérise ce jeune rappeur natif de la province orientale, comme l’affirme ce communiqué de presse, cette composition est une réponse à un poème d’une artiste tanzanienne Nancy Lazaro… « …durant mon dernier séjour aux USA pour une formation en leadership civique, Nancy m’avait offert, à l’occasion du 54ème Anniversaire de l’indépendance de mon pays la RDC, un poème intitulé What about our unsung heroes... Venant du pays de la chanson, il m’est également paru très étrange qu’il y ait si peu de chansons made in DRC brandissant les mérites de ce grand homme d’Etat congolais qui est pourtant très célébré au-delà des frontières de son propre pays … ».
C’est ainsi,« Célébration » est un devoir de mémoire, un cri de rage qui se veut un rappel constant de la grandeur du sacrifice de Lumumba, tout en taclant les réalités quotidiennes avec lesquelles la plupart des Congolais « ordinaires » sont obligés de dealer : la corruption, l’impunité, les conséquences des malices de certaines puissances occidentales,…
A en croire la source, cette chanson est une sérieuse collaboration entre cet artiste congolais et le producteur indien Nucleya. Ce dernier a assuré la composition musicale enregistré dans deux villes différentes Manchester et Kinshasa au cours en 2014 lors du programme « Voices of The Revolution », qui est un projet produit annuellement par l’organisation anglaise « In Place Of War » à Manchester.
Par cette œuvre, Alesh Rugwiza signe son retour sur le marché discographique quatre ans après la sortie de son tout 1er Album solo « La Mort dans l’âme ». Ce premier album lui a valu plusieurs prix et l’ayant propulsé sur plusieurs scènes internationales car ce rappeur, c’est d’abord et aussi une grande préférence pour les performances live, accompagné de son Orchestre LES LUMUMBAZ.
OM
C’est ainsi,« Célébration » est un devoir de mémoire, un cri de rage qui se veut un rappel constant de la grandeur du sacrifice de Lumumba, tout en taclant les réalités quotidiennes avec lesquelles la plupart des Congolais « ordinaires » sont obligés de dealer : la corruption, l’impunité, les conséquences des malices de certaines puissances occidentales,…
A en croire la source, cette chanson est une sérieuse collaboration entre cet artiste congolais et le producteur indien Nucleya. Ce dernier a assuré la composition musicale enregistré dans deux villes différentes Manchester et Kinshasa au cours en 2014 lors du programme « Voices of The Revolution », qui est un projet produit annuellement par l’organisation anglaise « In Place Of War » à Manchester.
Par cette œuvre, Alesh Rugwiza signe son retour sur le marché discographique quatre ans après la sortie de son tout 1er Album solo « La Mort dans l’âme ». Ce premier album lui a valu plusieurs prix et l’ayant propulsé sur plusieurs scènes internationales car ce rappeur, c’est d’abord et aussi une grande préférence pour les performances live, accompagné de son Orchestre LES LUMUMBAZ.
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