France, (Starducongo.com) - Les témoignages et les éloges sur l’artiste Babia Ndonga « ChoKoro », décédé à Luanda et inhumé récemment, se succèdent. Les derniers en date, celui de Miss Yolo Fify, ancienne danseuse du groupe Quartier Latin de Koffi Olomide.

« Babia était un musicien exceptionnel qui, au-delà de son talent de chanteur, savait créer de l’ambiance autour de lui. Chaque fois qu’il disait une chose, tout le monde devait en rire. Il était aussi un homme très sociable », a confié la danseuse à Congoleader.com
« Il est vrai qu’un homme décédé recueille souvent que des éloges. Je dirais qu’il avait certainement ses défauts, mais il avait aussi ses qualités », a-t-elle confié lors d’un entretien accordé à notre consœur Marlene kassanga. Et d’ajouter : « En ce qui me concerne, je ne pense pas avoir gardé de mauvais souvenirs de lui. Ce qui est certain, c’est qu’il était direct et pas vraiment rancunier. Dans ce sens, quand tu avais un problème avec lui, il t’en parlait clairement. Malheureusement la mort l’a emporté tôt ».
Sur un ton plus préoccupant, Miss Yolo Fify appelle la famille du défunt à rester « calme et surtout à prendre soin du petit Prince (Ndonga) qui est né sous nos yeux et qui porte aussi ce don de chanter comme son père. Si possible qu’on l’aide à suivre ses études et voir, plus tard, comment le soutenir dans la musique. Pour le moment, il faut penser d’abord école », a-t-elle souhaité.
S’agissant de ses projets, la belle danseuse assure qu’elle est restée une artiste et promet, d’ici là, une belle surprise.
Lorsque l’on lui demande quel est le meilleur souvenir qu’elle garde de son passage au Quartier Latin, Fify souligne « le respect qui régnait entre nous (musiciens et danseuses), notamment à l’égard des ainés ».
Son plus mauvais souvenir ? « Ce n’est pas agréable quand on ne fait pas partie du voyage (tournée). Je l’ai vécu une fois lorsque je suis revenue d’un congé de maternité. Je venais d’accoucher et je ne maitrisaisr pas vraiment la nouvelle chorégraphie », conclut-elle.
Patricia Engali
« Il est vrai qu’un homme décédé recueille souvent que des éloges. Je dirais qu’il avait certainement ses défauts, mais il avait aussi ses qualités », a-t-elle confié lors d’un entretien accordé à notre consœur Marlene kassanga. Et d’ajouter : « En ce qui me concerne, je ne pense pas avoir gardé de mauvais souvenirs de lui. Ce qui est certain, c’est qu’il était direct et pas vraiment rancunier. Dans ce sens, quand tu avais un problème avec lui, il t’en parlait clairement. Malheureusement la mort l’a emporté tôt ».
Sur un ton plus préoccupant, Miss Yolo Fify appelle la famille du défunt à rester « calme et surtout à prendre soin du petit Prince (Ndonga) qui est né sous nos yeux et qui porte aussi ce don de chanter comme son père. Si possible qu’on l’aide à suivre ses études et voir, plus tard, comment le soutenir dans la musique. Pour le moment, il faut penser d’abord école », a-t-elle souhaité.
S’agissant de ses projets, la belle danseuse assure qu’elle est restée une artiste et promet, d’ici là, une belle surprise.
Lorsque l’on lui demande quel est le meilleur souvenir qu’elle garde de son passage au Quartier Latin, Fify souligne « le respect qui régnait entre nous (musiciens et danseuses), notamment à l’égard des ainés ».
Son plus mauvais souvenir ? « Ce n’est pas agréable quand on ne fait pas partie du voyage (tournée). Je l’ai vécu une fois lorsque je suis revenue d’un congé de maternité. Je venais d’accoucher et je ne maitrisaisr pas vraiment la nouvelle chorégraphie », conclut-elle.
Patricia Engali
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