Brazzaville, (Starducongo.com) - Au sortir de la cérémonie de présentation des vœux des Forces vives congolaises au président de la République, le mercredi, 07 janvier 2014, un constat s’est dégagé : l’absence notoire et non justifiée de certains politiques congolais, notamment ceux de l’opposition. Une attitude regrettable pour ces faiseurs d’opinion qui aspirent aux hautes fonctions de l’Etat.
Image may be NSFW.
Clik here to view.
Clik here to view.
24 heures après les institutions constitutionnelles, le tour était revenu le 07 janvier, aux Forces vives de la Nation congolaise de présenter leurs vœux de nouvel an au président de la République. Mais, pour mieux rappeler aux Congolaises et Congolais que le boycott est son programme de société, l’opposition congolaise, dument invitée, a choisi volontiers de jouer aux abonnés absents à cette cérémonie.
Le problème de l’opposition congolaise est qu’elle croit détenir toutes les clés de la vérité. Cette prétention met « nos opposants » sur leurs égos, quand bien même le contexte ne s’y prête pas.
En effet, la présentation des vœux au président de la République est un acte républicain. Pendant cet instant, il n’est pas question de politique politicienne, ni de projet de société du parti au pouvoir. Il s’agit d’un moment où les leaders politiques, de la société civile, des confessions religieuses et bien d’autres de communier avec celui qui incarne le pays. La participation à cette cérémonie ne réduit nullement ces acteurs et n’honore pas outre mesure le président de la République.
Ce manquement au devoir républicain dont l’opposition a fait montre le 07 janvier dernier ressemble, hélas, à quelqu’un qui refuse de participer à la veillée funèbre de son frère parce qu’elle est organisée chez un frère qu’il n’aime pas.
Cette attitude est d’autant plus étonnante que même le secrétaire général de l’UPADS s’est aligné sur la position des partis qui n’ont pas d’élus, comme l’UPRN de Mathias Dzon, le PSDC de Clément Mierassa ou l’UDR-Mwinda de Guy Romain Kinfouissia.
Ils clament haut et fort qu’en politique, il n’y a pas d’ennemis, alors ils cachent mal leur haine contre l’homme, Denis Sassou N’Guesso.
De Souza Miglos
Le problème de l’opposition congolaise est qu’elle croit détenir toutes les clés de la vérité. Cette prétention met « nos opposants » sur leurs égos, quand bien même le contexte ne s’y prête pas.
En effet, la présentation des vœux au président de la République est un acte républicain. Pendant cet instant, il n’est pas question de politique politicienne, ni de projet de société du parti au pouvoir. Il s’agit d’un moment où les leaders politiques, de la société civile, des confessions religieuses et bien d’autres de communier avec celui qui incarne le pays. La participation à cette cérémonie ne réduit nullement ces acteurs et n’honore pas outre mesure le président de la République.
Ce manquement au devoir républicain dont l’opposition a fait montre le 07 janvier dernier ressemble, hélas, à quelqu’un qui refuse de participer à la veillée funèbre de son frère parce qu’elle est organisée chez un frère qu’il n’aime pas.
Cette attitude est d’autant plus étonnante que même le secrétaire général de l’UPADS s’est aligné sur la position des partis qui n’ont pas d’élus, comme l’UPRN de Mathias Dzon, le PSDC de Clément Mierassa ou l’UDR-Mwinda de Guy Romain Kinfouissia.
Ils clament haut et fort qu’en politique, il n’y a pas d’ennemis, alors ils cachent mal leur haine contre l’homme, Denis Sassou N’Guesso.
De Souza Miglos
www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars
