L’avenue des trois martyrs, à hauteur du complexe scolaire évangélique, ex-école primaire des trois martyrs, dans le 4ème arrondissement de Brazzaville (Moungali), se trouve dans un état de dégradation avancée, gênant ainsi la circulation. Les usagers se plaignent de la dégradation de cette voie, qui crée un bouchon infernal.
La situation dure depuis plus de neuf mois déjà. Le petit nid de poule qui s’était formé sur le goudron, a pris, au fur et à mesure, de l’ampleur, détruisant ainsi l’avenue sur plus de cinq mètres. Pendant et après la pluie, cet endroit se transforme en véritable bassin. Afin de préserver leurs véhicules, les automobilistes sont obligés de rouler sur le côté opposé de l’avenue, violant ainsi involontairement les règles de conduite.
«Nous payons pourtant les taxes de roulage, mais nous nous demandons pourquoi cette avenue se trouve dans cet état. Nous ne savons pas ce que les autorités attendent pour la réaménager. Nous sommes obligés parfois de ne pas respecter le code de la route chaque fois que nous arrivons à ce niveau, pour éviter d’abîmer nos amortisseurs», a dit un chauffeur de taxi requérant l’anonymat.
Plusieurs avenues et rues à Brazzaville se trouvent dans cet état. La rue Itoumbi et l’avenue Maya-Maya (Moungali), par exemple, sont également en dégradation au grand malheur des usagers.
Messilah Nzoussi
La situation dure depuis plus de neuf mois déjà. Le petit nid de poule qui s’était formé sur le goudron, a pris, au fur et à mesure, de l’ampleur, détruisant ainsi l’avenue sur plus de cinq mètres. Pendant et après la pluie, cet endroit se transforme en véritable bassin. Afin de préserver leurs véhicules, les automobilistes sont obligés de rouler sur le côté opposé de l’avenue, violant ainsi involontairement les règles de conduite.
«Nous payons pourtant les taxes de roulage, mais nous nous demandons pourquoi cette avenue se trouve dans cet état. Nous ne savons pas ce que les autorités attendent pour la réaménager. Nous sommes obligés parfois de ne pas respecter le code de la route chaque fois que nous arrivons à ce niveau, pour éviter d’abîmer nos amortisseurs», a dit un chauffeur de taxi requérant l’anonymat.
Plusieurs avenues et rues à Brazzaville se trouvent dans cet état. La rue Itoumbi et l’avenue Maya-Maya (Moungali), par exemple, sont également en dégradation au grand malheur des usagers.
Messilah Nzoussi
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