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A l’occasion de la présentation de la bande dessiné retraçant son parcours de joueur, la star camerounaise Samuel Eto’o livre ses motivations et ses ambitions pour son club, Anzhi Makhatchkala.
Pourquoi avoir choisi de raconter votre vie à travers une bande dessinée ?
Vous savez, quand on fait ce métier (football, ndlr), on passe un peu plus de temps seul et au final, quand j'écoute souvent les uns et les autres, je dis, à travers mon histoire et mon expérience qu'ils ne me connaissent pas. Alors, j'ai décidé de communiquer avec nos enfants, nos petits frères, vous aussi à travers cette BD où je parle moi-même, où mon histoire, tous ses rêve sont devenus réalités. Mes débuts difficiles et Monsieur Gilbert Kadji qui, à travers l'éternel décidait de m'accompagner pour qu'enfin, mon rêve devienne réalité.
Samuel, on ne peut pas dissocier votre personnalité de vos performances sportives. Aujourd'hui, on parle de vous comme du porte bonheur d'Anzhi Makachkala que vous avez hissé à un niveau qu'il n'avait pas, c'est quoi votre secret ?
Mon secret, c'est le travail. Je crois que le secret surtout, c'est le travail. Vous pouvez avoir du talent mais si vous ne l'améliorer pas, vous ne pouvez pas connaître le succès que j'ai pu connaître. Mon secret déjà, c'est le travail, mais aussi de savoir que le groupe, c'est le plus important. Mais par contre, je suis souvent très sévère même si derrière mon sourire... Mais, je me dis, il faut respecter ce que l'on fait pour avoir le résultat. Vous savez, quand je suis allé à Anzhi, j'ai connu beaucoup de critiques mais j'ai aussi eu la chance de recevoir des courriers ou des coups de fils où des gens m'appelaient pour m'encourager et j'étais d'accord avec moi de partir là-bas. Je vais vous dire aujourd'hui pourquoi j'y suis allé. Je voulais connaître le rêve que j'ai connu dans l'autre sens, dans le sens inverse parce que je suis parti du Cameroun, directement pour le Real Madrid, un des plus grands clubs et à la veille de la fin de ma carrière, je décide d'aller à Anzhi après avoir tout gagné. Je me suis dit, pourquoi je ne pouvais pas aller dans un club, organiser cette équipe pour qu'elle devienne un club de référence dans le monde entier. Aujourd'hui, vous comprenez que quand les choses sont bien faites, il ya beaucoup de choses qui marchent. C'est le message que j'avais à passer à travers ce contrat que j'ai signé là-bas. Je suis content de jouer pour Anzhi, je suis content de jouer pour le Daghestan. Je suis content parce que ce que les gens ont critiqué, il y a un an et demi est en train de donner ses fruits. Ce n'est pas parce qu'Eto'o est là-bas, c'est parce qu'il y a un groupe qui s'est formé, il y a des joueurs qui ont compris que ce n'était pas une retraite pour eux, au contraire, c'était un défi qu'il fallait relever.
Est-ce que vous êtes persuadé qu'Anzhi va jouer la Champion's League la saison prochaine et est-ce que vous pensez pouvoir rééditer les exploits du FC Barcelone et de l'Inter de Milan ?
Déjà, c'est une volonté pour moi et pour tous mes coéquipiers d'ailleurs qu'Anzhi joue la Champions League la saison prochaine, mais aussi gagne le championnat parce que c'est possible. Mais, je voudrai aussi dire qu'il faut être réaliste et savoir qu'Anzhi, il y a quelques mois, jouais contre la relégation. Même si, en un an et demi, il y a eu une transformation incroyable, c'est un rêve, mais un rêve qui est tout à fait possible. Maintenant, réitérer les succès que j'ai connus ailleurs, mais pourquoi pas ? Si j'ai pu partir de Mvog Ada, New Bell (quartier de Douala, ndlr) pour qu'on me considère comme un des meilleurs dans mon métier, ça veut dire que je peux réitérer ce que j'ai fait ailleurs à Anzhi Makhachkala. Quand je suis parti du Barça pour l'Inter de Milan, les gens disaient : « ah qu'est-ce qu'il va faire là-bas » et au bout de quelques mois, on a vu ce qui s'est passé. Le plus important pour moi, c'est de miner ce groupe avec l'aide de mes entraîneurs Hiddink, Roberto, Petro, que je salue et à qui je dis joyeux noël et bonne année, et continuer ce rêve et le faire réaliser.
(Footcameroon)
Pourquoi avoir choisi de raconter votre vie à travers une bande dessinée ?
Vous savez, quand on fait ce métier (football, ndlr), on passe un peu plus de temps seul et au final, quand j'écoute souvent les uns et les autres, je dis, à travers mon histoire et mon expérience qu'ils ne me connaissent pas. Alors, j'ai décidé de communiquer avec nos enfants, nos petits frères, vous aussi à travers cette BD où je parle moi-même, où mon histoire, tous ses rêve sont devenus réalités. Mes débuts difficiles et Monsieur Gilbert Kadji qui, à travers l'éternel décidait de m'accompagner pour qu'enfin, mon rêve devienne réalité.
Samuel, on ne peut pas dissocier votre personnalité de vos performances sportives. Aujourd'hui, on parle de vous comme du porte bonheur d'Anzhi Makachkala que vous avez hissé à un niveau qu'il n'avait pas, c'est quoi votre secret ?
Mon secret, c'est le travail. Je crois que le secret surtout, c'est le travail. Vous pouvez avoir du talent mais si vous ne l'améliorer pas, vous ne pouvez pas connaître le succès que j'ai pu connaître. Mon secret déjà, c'est le travail, mais aussi de savoir que le groupe, c'est le plus important. Mais par contre, je suis souvent très sévère même si derrière mon sourire... Mais, je me dis, il faut respecter ce que l'on fait pour avoir le résultat. Vous savez, quand je suis allé à Anzhi, j'ai connu beaucoup de critiques mais j'ai aussi eu la chance de recevoir des courriers ou des coups de fils où des gens m'appelaient pour m'encourager et j'étais d'accord avec moi de partir là-bas. Je vais vous dire aujourd'hui pourquoi j'y suis allé. Je voulais connaître le rêve que j'ai connu dans l'autre sens, dans le sens inverse parce que je suis parti du Cameroun, directement pour le Real Madrid, un des plus grands clubs et à la veille de la fin de ma carrière, je décide d'aller à Anzhi après avoir tout gagné. Je me suis dit, pourquoi je ne pouvais pas aller dans un club, organiser cette équipe pour qu'elle devienne un club de référence dans le monde entier. Aujourd'hui, vous comprenez que quand les choses sont bien faites, il ya beaucoup de choses qui marchent. C'est le message que j'avais à passer à travers ce contrat que j'ai signé là-bas. Je suis content de jouer pour Anzhi, je suis content de jouer pour le Daghestan. Je suis content parce que ce que les gens ont critiqué, il y a un an et demi est en train de donner ses fruits. Ce n'est pas parce qu'Eto'o est là-bas, c'est parce qu'il y a un groupe qui s'est formé, il y a des joueurs qui ont compris que ce n'était pas une retraite pour eux, au contraire, c'était un défi qu'il fallait relever.
Est-ce que vous êtes persuadé qu'Anzhi va jouer la Champion's League la saison prochaine et est-ce que vous pensez pouvoir rééditer les exploits du FC Barcelone et de l'Inter de Milan ?
Déjà, c'est une volonté pour moi et pour tous mes coéquipiers d'ailleurs qu'Anzhi joue la Champions League la saison prochaine, mais aussi gagne le championnat parce que c'est possible. Mais, je voudrai aussi dire qu'il faut être réaliste et savoir qu'Anzhi, il y a quelques mois, jouais contre la relégation. Même si, en un an et demi, il y a eu une transformation incroyable, c'est un rêve, mais un rêve qui est tout à fait possible. Maintenant, réitérer les succès que j'ai connus ailleurs, mais pourquoi pas ? Si j'ai pu partir de Mvog Ada, New Bell (quartier de Douala, ndlr) pour qu'on me considère comme un des meilleurs dans mon métier, ça veut dire que je peux réitérer ce que j'ai fait ailleurs à Anzhi Makhachkala. Quand je suis parti du Barça pour l'Inter de Milan, les gens disaient : « ah qu'est-ce qu'il va faire là-bas » et au bout de quelques mois, on a vu ce qui s'est passé. Le plus important pour moi, c'est de miner ce groupe avec l'aide de mes entraîneurs Hiddink, Roberto, Petro, que je salue et à qui je dis joyeux noël et bonne année, et continuer ce rêve et le faire réaliser.
(Footcameroon)
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