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Annoncée pour ce 25 février le mot d'ordre de grève a fait l'objet d'une mise au point de la part de quatre des six coprésidents de la plateforme syndicale autonome
La Concertation pour la Revalorisation de la Profession d'Enseignant (CRPE) divisée au sujet de l'avis de la grève générale illimitée annoncée à compter de ce 25 février par l'assemblée générale, a fait le 21 février dernier à Brazzaville, une mise au point émanant de quatre des six coprésidents de cette plateforme syndicale autonome. Dans cette mise au point, Rémy Alain Blaise Boumba, Christophe Mongo Ondiala, Victorien Mahoungou et Roland Serge Nkalat n'ont pas adhéré à la démarche entreprise par les participants à l'assemblée générale extraordinaire tenue le 16 février à l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM). Selon eux, l'avis de grève distribué le 18 février dans les établissements scolaires des deux sous-sections de l'enseignement, à savoir ministère de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation (MEPSA) et ministère de l’enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi (METPFQE), est un «véritable tract», parce que ce document n’est pas signé, bien que son en-tête porte le timbre du bureau exécutif national de la CRPE.
Concernant le cahier de charges de la CRPE transmis au gouvernement le 11 septembre 2012 dont la principale revendication est celle de l’exigence des enseignants d’avoir un nouveau statut particulier avec une revalorisation du point d’indice d’au moins 60%; l’évaluation faite montre que la commission mise en place par le MEPSA chargée de rédiger le nouveau statut particulier, est à pied d’œuvre. C’est ainsi qu'à ce niveau de traitement du cahier de charges des enseignants, la CRPE estime qu'une grève ne pourrait être justifiée maintenant. Par conséquent, les quatre coprésidents de la CRPE demandent dans leur mise au point aux enseignants de: «continuer à vaquer normalement à leurs occupations pédagogiques sur l'ensemble du territoire national, jusqu'à la convocation en toute responsabilité, de l'assemblée générale crédible pour rendre compte du statut particulier rédigé avant sa transmission par la tutelle en Conseil des ministres».
Par ailleurs, ils sollicitent au ministère de l'enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l'emploi, ainsi qu'à celui de l'éducation physique, la désignation de leurs délégués à la commission de rédaction du statut particulier. Celui-ci ne devrait léser aucun travailleur évoluant dans les structures des ministères de l'enseignement. Dans l’avis de grève, il est mentionné que le gouvernement n’a montré aucune volonté de doter les enseignants d’un statut particulier en cette année dite «année de l’éducation de base et de la formation professionnelle», malgré les déclarations faites à ce sujet le 8 décembre 2012 et le 20 janvier 2013 par le bureau exécutif national de la CRPE. Le document explique également que «la dernière paie a été la plus médiocre avec moins de 1/6ème des montants attendus sur les rappels de soldes d’activités des enseignants». Cet avis de grève relève qu’à ce jour, plus de 50% d’enseignants attendent toujours les textes d’harmonisation bloqués dans les services des ministères de la fonction publique et des finances.
La Concertation pour la Revalorisation de la Profession d'Enseignant (CRPE) divisée au sujet de l'avis de la grève générale illimitée annoncée à compter de ce 25 février par l'assemblée générale, a fait le 21 février dernier à Brazzaville, une mise au point émanant de quatre des six coprésidents de cette plateforme syndicale autonome. Dans cette mise au point, Rémy Alain Blaise Boumba, Christophe Mongo Ondiala, Victorien Mahoungou et Roland Serge Nkalat n'ont pas adhéré à la démarche entreprise par les participants à l'assemblée générale extraordinaire tenue le 16 février à l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM). Selon eux, l'avis de grève distribué le 18 février dans les établissements scolaires des deux sous-sections de l'enseignement, à savoir ministère de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation (MEPSA) et ministère de l’enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi (METPFQE), est un «véritable tract», parce que ce document n’est pas signé, bien que son en-tête porte le timbre du bureau exécutif national de la CRPE.
Concernant le cahier de charges de la CRPE transmis au gouvernement le 11 septembre 2012 dont la principale revendication est celle de l’exigence des enseignants d’avoir un nouveau statut particulier avec une revalorisation du point d’indice d’au moins 60%; l’évaluation faite montre que la commission mise en place par le MEPSA chargée de rédiger le nouveau statut particulier, est à pied d’œuvre. C’est ainsi qu'à ce niveau de traitement du cahier de charges des enseignants, la CRPE estime qu'une grève ne pourrait être justifiée maintenant. Par conséquent, les quatre coprésidents de la CRPE demandent dans leur mise au point aux enseignants de: «continuer à vaquer normalement à leurs occupations pédagogiques sur l'ensemble du territoire national, jusqu'à la convocation en toute responsabilité, de l'assemblée générale crédible pour rendre compte du statut particulier rédigé avant sa transmission par la tutelle en Conseil des ministres».
Par ailleurs, ils sollicitent au ministère de l'enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l'emploi, ainsi qu'à celui de l'éducation physique, la désignation de leurs délégués à la commission de rédaction du statut particulier. Celui-ci ne devrait léser aucun travailleur évoluant dans les structures des ministères de l'enseignement. Dans l’avis de grève, il est mentionné que le gouvernement n’a montré aucune volonté de doter les enseignants d’un statut particulier en cette année dite «année de l’éducation de base et de la formation professionnelle», malgré les déclarations faites à ce sujet le 8 décembre 2012 et le 20 janvier 2013 par le bureau exécutif national de la CRPE. Le document explique également que «la dernière paie a été la plus médiocre avec moins de 1/6ème des montants attendus sur les rappels de soldes d’activités des enseignants». Cet avis de grève relève qu’à ce jour, plus de 50% d’enseignants attendent toujours les textes d’harmonisation bloqués dans les services des ministères de la fonction publique et des finances.
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