Une tournée inédite : sous les feux des projecteurs deux électrons libres aux styles musicaux bien distincts. D’une part Maryse Ngalula navigue dans le mutwashin jazz, zoulu ; rumba,… et de l’autre, c’est la pure rythmique guinéenne et reggae. La symbiose de ces artistes deux sur la scène, a donnée du « poison consommable ».
Maryse Ngalula est originaire de la province du Kasaï, en RDC. Toute petite déjà, elle est initiée aux différentes techniques de chants de sa tribu et de guitare par l’un de ses frères. Adolescente, elle écrit ses propres textes pas radicalement féministes ni militants, mais définitivement engagés d’un sens à un autre.
Musicalement, elle s’inscrit en marge de ce qui se fait en RDC. Elle crée son propre style, un mélange de rythmes traditionnels luba (l’une des ethnies du centre de la RDC), de sonorités africaines (telles que les musiques zoulou d’Afrique du Sud), de jazz et de blues. En juin 2010, lors du festival N’Sangu Ndji-Ndji à Pointe-Noire, elle rencontre le saxophoniste français Jean-Rémy Guédon d’ArchiMusic avec qui elle monte un duo « Digital’s KIN ».
De l’autre, il y a Elie Kamano, un Guinéen né à Guékédou, en pays Kissi. Précocement révolté, il commence la musique à l’âge de 11 ans et tout naturellement s’oriente vers le rap, en créant son groupe Positive Négro Natural (PNN). En 2005, avec l’aide de Tiken Jah Fakoly et du groupe guinéen de musique traditionnelle « Les espoirs de Coronthie », Elie produit « Trafiquant ».
Cet album marque un tournant dans son travail : il réalise que le reggae sera son style et le mot son arme pour combattre les injustices et les maux de la société. En 2010, son album « Paroles de fou » connaît un vif succès, dépassant les frontières guinéennes.
Onassis Mutombo
Maryse Ngalula est originaire de la province du Kasaï, en RDC. Toute petite déjà, elle est initiée aux différentes techniques de chants de sa tribu et de guitare par l’un de ses frères. Adolescente, elle écrit ses propres textes pas radicalement féministes ni militants, mais définitivement engagés d’un sens à un autre.
Musicalement, elle s’inscrit en marge de ce qui se fait en RDC. Elle crée son propre style, un mélange de rythmes traditionnels luba (l’une des ethnies du centre de la RDC), de sonorités africaines (telles que les musiques zoulou d’Afrique du Sud), de jazz et de blues. En juin 2010, lors du festival N’Sangu Ndji-Ndji à Pointe-Noire, elle rencontre le saxophoniste français Jean-Rémy Guédon d’ArchiMusic avec qui elle monte un duo « Digital’s KIN ».
De l’autre, il y a Elie Kamano, un Guinéen né à Guékédou, en pays Kissi. Précocement révolté, il commence la musique à l’âge de 11 ans et tout naturellement s’oriente vers le rap, en créant son groupe Positive Négro Natural (PNN). En 2005, avec l’aide de Tiken Jah Fakoly et du groupe guinéen de musique traditionnelle « Les espoirs de Coronthie », Elie produit « Trafiquant ».
Cet album marque un tournant dans son travail : il réalise que le reggae sera son style et le mot son arme pour combattre les injustices et les maux de la société. En 2010, son album « Paroles de fou » connaît un vif succès, dépassant les frontières guinéennes.
Onassis Mutombo
www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars