Un cadavre a été retrouvé, la semaine dernière, dans le coffre d’une voiture conduite par un soi-disant officier de la force publique. La scène s’est passée au niveau de l’Institut français du Congo, ex-C.c.f, à Bacongo, le deuxième arrondissement de Brazzaville, sur l’avenue de l’O.u.a, à l’une des barrières de la police, où des fouilles routinières sont opérées, pour des besoins de sécurité. Aucune information n’est indiquée, pour l’instant, sur l’identité de la femme, ni sur les circonstances de son décès. Au moment de franchir la barrière, le chauffeur a été stoppé et prié, gentiment, de se soumettre à la fouille policière. En soulevant le coffre du véhicule, les agents de la force publique ont été surpris d’y découvrir un corps inanimé. Interrogé, le chauffeur aurait affirmé qu’il aurait bénéficié de complicités à la morgue municipale de Brazzaville. Trafic d’organes humains ou autre? On dit que le réseau a été démantelé.
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