Le contrat devant permettre de promouvoir cet ensemble chrétien, lauréat du prix Meilleur Spectacle lors de la première édition du festival Rencontres des arts et des musiques chrétiennes (RAMC) récemment tenu à Brazzaville, a été signé le 31 octobre
Ce contrat définit les conditions de travail entre les deux parties pour une durée de trois ans renouvelable. Il prévoit, entre autres, que MB-Production se chargera de l'organisation des spectacles de ce groupe dénommé Christ trois fois Vie, autrement dit C.3 Vie, dans le cadre ses promotions scéniques tant à l'échelle nationale qu'internationale. Désormais, tout contrat de travail de C.3 Vie avec d'autres promoteurs culturels sera géré par MB-Production.
Le pasteur Gastano Moranga, principal dirigeant de C.3 Vie, a reconnu le fait que ce protocole d'accord devra changer, de manière positive, la carrière du groupe : « La musique ne peut se faire sans producteur. Je pense que le protocole que nous venons de signer avec MB-Production permettra à notre groupe de chants d'aller de l'avant. »
Précisant le sens de son action, le manager du label MB-Production, Médard Mbongo, a déclaré : « Le protocole que je signe avec C.3 Vie entre dans le cadre de mon action pour la promotion des jeunes talents dans le domaine de la culture en général et celui de la musique en particulier. J'ai résolu de produire ce groupe de chants religieux pour faire découvrir le talent de ses membres dans le pays et à travers le monde. »
En marge de la signature de ce protocole, Médard Mbongo a plaidé en faveur de l'activité visible d'une politique culturelle pour réveiller les talents qui sommeillent dans l'arrière-pays. Selon lui, les départements devraient être dotés d'infrastructures de base, telles que des salles de spectacle pour la promotion des activités théâtrales et musicales.
Le Fonds national pour le développement culturel, mis en place en 1987, tarde à venir en aide aux artistes. « Le gouvernement devra penser au fonctionnement dudit fonds pour le bien des artistes. Le fonds agricole mis en place en même temps que le nôtre, lui, fonctionne. Pourquoi toujours accorder la priorité à d'autres secteurs et jamais à la culture ? », s'est interrogé Médard Mbongo.
Dans la perspective de hisser la culture congolaise, l'opérateur culturel Médard Mbongo a souhaité que l'ensemble des acteurs culturels, artistes, chroniqueurs, opérateurs et décideurs, travaille en synergie.
Jean-Dany Ébouélé & Rominique Nerplat-Makaya
Ce contrat définit les conditions de travail entre les deux parties pour une durée de trois ans renouvelable. Il prévoit, entre autres, que MB-Production se chargera de l'organisation des spectacles de ce groupe dénommé Christ trois fois Vie, autrement dit C.3 Vie, dans le cadre ses promotions scéniques tant à l'échelle nationale qu'internationale. Désormais, tout contrat de travail de C.3 Vie avec d'autres promoteurs culturels sera géré par MB-Production.
Le pasteur Gastano Moranga, principal dirigeant de C.3 Vie, a reconnu le fait que ce protocole d'accord devra changer, de manière positive, la carrière du groupe : « La musique ne peut se faire sans producteur. Je pense que le protocole que nous venons de signer avec MB-Production permettra à notre groupe de chants d'aller de l'avant. »
Précisant le sens de son action, le manager du label MB-Production, Médard Mbongo, a déclaré : « Le protocole que je signe avec C.3 Vie entre dans le cadre de mon action pour la promotion des jeunes talents dans le domaine de la culture en général et celui de la musique en particulier. J'ai résolu de produire ce groupe de chants religieux pour faire découvrir le talent de ses membres dans le pays et à travers le monde. »
En marge de la signature de ce protocole, Médard Mbongo a plaidé en faveur de l'activité visible d'une politique culturelle pour réveiller les talents qui sommeillent dans l'arrière-pays. Selon lui, les départements devraient être dotés d'infrastructures de base, telles que des salles de spectacle pour la promotion des activités théâtrales et musicales.
Le Fonds national pour le développement culturel, mis en place en 1987, tarde à venir en aide aux artistes. « Le gouvernement devra penser au fonctionnement dudit fonds pour le bien des artistes. Le fonds agricole mis en place en même temps que le nôtre, lui, fonctionne. Pourquoi toujours accorder la priorité à d'autres secteurs et jamais à la culture ? », s'est interrogé Médard Mbongo.
Dans la perspective de hisser la culture congolaise, l'opérateur culturel Médard Mbongo a souhaité que l'ensemble des acteurs culturels, artistes, chroniqueurs, opérateurs et décideurs, travaille en synergie.
Jean-Dany Ébouélé & Rominique Nerplat-Makaya
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