
Une exposition des tableaux des femmes peintres se tient du 18 au 20 mars dans la capitale, notamment au centre d’information des Nations Unies. Le réel et l’imaginaire se conjuguent pour donner la trame à cette exhibition des différentes sortes de violences faites à l’égard de la femme.
Maniant pinceaux avec souplesse, ardeur et dextérité, ces peintres ont exposé des tableaux dont la qualité suscite admirations et congratulations du public. L’exposition s’inscrit dans le cadre de la célébration des droits de la femme, en ce mois de mars.
La plus part des œuvres présentées renseigne sur les activités quotidiennes de la femme, les violences à l’égard des femmes, la place et le rôle des femmes dans la société africaine.
«Je suis moi-même une femme, une mère et une épouse. Mon message est que nous (femmes) devons nous lever, nous devons avoir des visions claires pour arriver à mettre un terme à ces violences. La femme doit travailler parce qu’on n’a rien sans effort ; elle ne doit pas baisser les bras et espérer sur sa féminité. C’est à la sueur de son front qu’elle gagnera son pain», a expliqué Léonie Rose Mateta, peintre.
Mme Mateta a eu à perfectionner son talent à la célèbre école de peinture de Poto-Poto de Brazzaville. Elle est attachée à la protection de l’environnement ; ce qui justifie dans la présence dans ses œuvres, d’un tableau attirant l’attention du public sur la destruction des écosystèmes forestiers.
C’est également le cas de Diane Magounina qui a séjourné à l’école de peinture de Poto-Poto, et accorde une place de choix à la femme dans son inspiration artistique.
«J’ai pu partager mon message au public à travers mes tableaux, s’est-elle réjouie. Il y a plus de femmes dans mes tableaux que d’hommes parce qu’elles sont à la une en ce mois de mars. J’ai voulu aussi que le public comprenne les méfaits des violences faites à l’encontre de la femme. Je suis humanitaire, je travaille également sur les paysages mais, en accordant une place de choix à la femme en tant que pièce maîtresse de la société».
L’exposition portant sur les violences faites aux femmes a été visitée par une équipe des diplomates en poste en République du Congo, conduite par l’ambassadeur de l’Union européenne (UE) au Congo, Marcel Van Optal.
Pour Eloi Kouadio IV, représentant adjoint du PNUD du Congo, cette exposition «une interpellation à plus d’attention, de considération pour la jante féminine, mais aussi une interpellation pour nous agence de développement pour faire en sorte que nos programmes ne soient pas théoriques mais qu’ils s’inscrivent dans une dynamique pour le changement réel du statut de la femme et de ses conditions d’existence».
Christian Brice Elion
Maniant pinceaux avec souplesse, ardeur et dextérité, ces peintres ont exposé des tableaux dont la qualité suscite admirations et congratulations du public. L’exposition s’inscrit dans le cadre de la célébration des droits de la femme, en ce mois de mars.
La plus part des œuvres présentées renseigne sur les activités quotidiennes de la femme, les violences à l’égard des femmes, la place et le rôle des femmes dans la société africaine.
«Je suis moi-même une femme, une mère et une épouse. Mon message est que nous (femmes) devons nous lever, nous devons avoir des visions claires pour arriver à mettre un terme à ces violences. La femme doit travailler parce qu’on n’a rien sans effort ; elle ne doit pas baisser les bras et espérer sur sa féminité. C’est à la sueur de son front qu’elle gagnera son pain», a expliqué Léonie Rose Mateta, peintre.
Mme Mateta a eu à perfectionner son talent à la célèbre école de peinture de Poto-Poto de Brazzaville. Elle est attachée à la protection de l’environnement ; ce qui justifie dans la présence dans ses œuvres, d’un tableau attirant l’attention du public sur la destruction des écosystèmes forestiers.
C’est également le cas de Diane Magounina qui a séjourné à l’école de peinture de Poto-Poto, et accorde une place de choix à la femme dans son inspiration artistique.
«J’ai pu partager mon message au public à travers mes tableaux, s’est-elle réjouie. Il y a plus de femmes dans mes tableaux que d’hommes parce qu’elles sont à la une en ce mois de mars. J’ai voulu aussi que le public comprenne les méfaits des violences faites à l’encontre de la femme. Je suis humanitaire, je travaille également sur les paysages mais, en accordant une place de choix à la femme en tant que pièce maîtresse de la société».
L’exposition portant sur les violences faites aux femmes a été visitée par une équipe des diplomates en poste en République du Congo, conduite par l’ambassadeur de l’Union européenne (UE) au Congo, Marcel Van Optal.
Pour Eloi Kouadio IV, représentant adjoint du PNUD du Congo, cette exposition «une interpellation à plus d’attention, de considération pour la jante féminine, mais aussi une interpellation pour nous agence de développement pour faire en sorte que nos programmes ne soient pas théoriques mais qu’ils s’inscrivent dans une dynamique pour le changement réel du statut de la femme et de ses conditions d’existence».
Christian Brice Elion
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