Publié aux Éditions Flammes vives, l'ouvrage d'Huppert Malanda, Les Paradis fragiles, évoque son pays et retrace ce qui fait le soleil au-delà des frontières pour vivre un instant le paradis en s'arrêtant à la source même des mots
L'auteur commence par bâtir ce recueil en définissant ce qu'est l'aube. Selon lui, tout débute là. De l'extérieur nuit à l'intérieur jour, tout s'enchaîne dans le rythme de la vie. « Nous marchons sans le moindre lumignon dans la cécité du temps. Il n'y a plus rien dans ce brûlant matin éristique mouillé par l'impertinence, plus rien dans ces paradis artificiels où des pinsons sur des branches en feu nous offrent quelques chants rouillés », peut-on lire à la page 70.
Le livre compte 114 pages en cinq chapitres. Huppert Malanda revient sur des mots indissociables tels que : sang, éternité, mémoire ou encore cimetière. DansLes Paradis fragiles, il nous renvoie à la notion du temps. À la page 12, on peut lire un exemple : « Me voici, le cœur haletant, prélude au déluge qui n'offre plus l'ordre des lumières imputrescibles. Me voici, mouvant servitude et grandeur impériale... collectionnant des édens qui s'effeuillent un à un... »
Journaliste et cadre supérieur de la Mairie de Brazzaville, Laurent Malanda, de son vrai nom, a reçu en 2012 la médaille d'honneur de la Francophonie. Récemment, Huppert Malanda a fait partie des auteurs congolais qui se sont illustrés au Salon international du livre à Paris.
De son passage à ce salon, il livre que « l'Afrique noire francophone a été fortement représentée. Cette présence prouve que le stand Livres et Auteurs du Bassin du Congo a gagné en visibilité parce qu'il a été très fréquenté. »
Luce-Jennyfer Mianzoukouta
L'auteur commence par bâtir ce recueil en définissant ce qu'est l'aube. Selon lui, tout débute là. De l'extérieur nuit à l'intérieur jour, tout s'enchaîne dans le rythme de la vie. « Nous marchons sans le moindre lumignon dans la cécité du temps. Il n'y a plus rien dans ce brûlant matin éristique mouillé par l'impertinence, plus rien dans ces paradis artificiels où des pinsons sur des branches en feu nous offrent quelques chants rouillés », peut-on lire à la page 70.
Le livre compte 114 pages en cinq chapitres. Huppert Malanda revient sur des mots indissociables tels que : sang, éternité, mémoire ou encore cimetière. DansLes Paradis fragiles, il nous renvoie à la notion du temps. À la page 12, on peut lire un exemple : « Me voici, le cœur haletant, prélude au déluge qui n'offre plus l'ordre des lumières imputrescibles. Me voici, mouvant servitude et grandeur impériale... collectionnant des édens qui s'effeuillent un à un... »
Journaliste et cadre supérieur de la Mairie de Brazzaville, Laurent Malanda, de son vrai nom, a reçu en 2012 la médaille d'honneur de la Francophonie. Récemment, Huppert Malanda a fait partie des auteurs congolais qui se sont illustrés au Salon international du livre à Paris.
De son passage à ce salon, il livre que « l'Afrique noire francophone a été fortement représentée. Cette présence prouve que le stand Livres et Auteurs du Bassin du Congo a gagné en visibilité parce qu'il a été très fréquenté. »
Luce-Jennyfer Mianzoukouta
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