De nombreux délestages ont eu lieu ces derniers jours dans les quartiers populaires et résidentiels de Brazzaville. Les groupes électrogènes tournent à plein mais beaucoup doivent s'éclairer à la lampe tempête ou simplement à la bougie. Des coupures d’électricité dont on avait pourtant perdu l'habitude depuis le lancement du barrage d’Imboulou (120 megawatts), construit avec l’aide de la Chine.
« Chassez le naturel, il revient au galop. » Les coupures d’électricité qui semblaient avoir cessé à Brazzaville, avec le lancement du barrage d’Imboulou en 2011, sont de retour.
Des quartiers sont privés d’énergie pendant des nuits et des journées entières. Dans les stations-service, les populations vont chercher du carburant avec des bidons, pour alimenter leurs groupes électrogènes, qui produisent de l’énergie et un bruit parfois insupportable.
Mille milliards de francs CFA
Toute la ville ou presque est concernée. Les habitants des quartiers populaires et résidentiels se plaignent : « Cela fait trois jours aujourd'hui qu’il n’y a pas de courant, témoigne un habitant. On est en train d’utiliser des lampes. Et même, là-bas, sur les montagnes, c’est souvent même des bougies qui servent à éclairer. »
« Nous n’avons pas d’électricité, renchérit un autre habitant. Nous n’avons pas d’électricité, et vraiment, c'est long. Moi, je suis au plateau de Quinze ans. On peut passer toute une journée sans rien, ou quand ça vient c’est pour trente minutes, une heure de temps. Et puis bon, voila, ça s'arrête. »
Le gouvernement affirme avoir investi au moins mille milliards de francs CFA entre 2001 et 2011, dans les secteurs de l’énergie et de l’eau. Mais le problème est loin d’être définitivement réglé.
« Chassez le naturel, il revient au galop. » Les coupures d’électricité qui semblaient avoir cessé à Brazzaville, avec le lancement du barrage d’Imboulou en 2011, sont de retour.
Des quartiers sont privés d’énergie pendant des nuits et des journées entières. Dans les stations-service, les populations vont chercher du carburant avec des bidons, pour alimenter leurs groupes électrogènes, qui produisent de l’énergie et un bruit parfois insupportable.
Mille milliards de francs CFA
Toute la ville ou presque est concernée. Les habitants des quartiers populaires et résidentiels se plaignent : « Cela fait trois jours aujourd'hui qu’il n’y a pas de courant, témoigne un habitant. On est en train d’utiliser des lampes. Et même, là-bas, sur les montagnes, c’est souvent même des bougies qui servent à éclairer. »
« Nous n’avons pas d’électricité, renchérit un autre habitant. Nous n’avons pas d’électricité, et vraiment, c'est long. Moi, je suis au plateau de Quinze ans. On peut passer toute une journée sans rien, ou quand ça vient c’est pour trente minutes, une heure de temps. Et puis bon, voila, ça s'arrête. »
Le gouvernement affirme avoir investi au moins mille milliards de francs CFA entre 2001 et 2011, dans les secteurs de l’énergie et de l’eau. Mais le problème est loin d’être définitivement réglé.
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