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La 14ème édition du Festival «Les nuits d’Orient» a proposé dernièrement plus de 70 activités culturelles animées par plusieurs artistes, parmi lesquels se trouvaient des Marocains dont la prestation a été très saluée à Dijon.
Près d’une vingtaine de jours durant, cette commune française a eu droit à un véritable moment de détente et de bonheur qui s’est achevé dimanche 15 courant dans une ambiance de fête.
Il faut dire que la ville s’était organisée pour offrir à ses habitants et aux nombreuses personnes qui s’y sont rendues durant cette période de magnifiques spectacles conçus autour d’«une programmation éclectique et exigeante, reflet de la diversité des collaborations artistiques qui ont su se nouer au fil des années et des envies», comme l’avait promis François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon.
Tout au long de la manifestation, les habitants de cette agglomération ont ainsi pu se rendre à plusieurs lieux pour assister à des expositions, conférences, débats, ateliers artistiques et ateliers culinaires. Pas seulement, puisque la ville proposait à cette même occasion des projections de films et de documentaires, de la musique, de la danse et du théâtre, très appréciés par ici.
En collaboration avec le Conservatoire de musique de la ville Chenôve, le Consulat général du Maroc à Dijon et la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger proposaient, à cette occasion, deux rendez-vous concoctés dans le cadre du projet “Voix d’ici et d’ailleurs”.
Ainsi, le public de Dijon était invité à un concert réunissant des élèves du Conservatoire de musique de Chenôve, de Tétouan et Chefchaouen. Ce spectacle a été organisé sous la direction artistique violoniste Nabil Akbib et de la chanteuse Samira Kadiri qui a reçu à cette occasion une médaille de la Ville, annonce MAP.
La fête était également au rendez-vous à la salle des fêtes de Chenôve où le groupe de musiciens a reçu un bel accueil.
Il est à préciser que le Maroc s’est également distingué lors de cette manifestation par d’autres actions culturelles. Outre l’exposition sur les “Etranges étrangers” de l’artiste-peintre Meryem Mezgueldi et les conférences-débats animées par un panel d’invités, la participation marocaine a également permis au public d’apprécier des contes inspirés du riche patrimoine marocain et récités par la conteuse Halima Hamdane et de suivre le film «Rock’n Bled» de Touria Benzari évoquant le mariage traditionnel entre une Française d’origine marocaine et un jeune Marocain.
Bref, la ville de Dijon s’est vraiment offert 18 jours de fête, de rencontres, d’échanges et de dialogue entre les cultures des deux rives de la Méditerranée riche en découvertes. Tout simplement, un magnifique «voyage au-delà des rives de la Méditerranée, à la découverte de ce qui unit l’Orient et l’Occident», avait annoncé François Rebsamen qui est également le président du Grand Dijon.
Alain Bouithy
bouithy@starducongo.com
Près d’une vingtaine de jours durant, cette commune française a eu droit à un véritable moment de détente et de bonheur qui s’est achevé dimanche 15 courant dans une ambiance de fête.
Il faut dire que la ville s’était organisée pour offrir à ses habitants et aux nombreuses personnes qui s’y sont rendues durant cette période de magnifiques spectacles conçus autour d’«une programmation éclectique et exigeante, reflet de la diversité des collaborations artistiques qui ont su se nouer au fil des années et des envies», comme l’avait promis François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon.
Tout au long de la manifestation, les habitants de cette agglomération ont ainsi pu se rendre à plusieurs lieux pour assister à des expositions, conférences, débats, ateliers artistiques et ateliers culinaires. Pas seulement, puisque la ville proposait à cette même occasion des projections de films et de documentaires, de la musique, de la danse et du théâtre, très appréciés par ici.
En collaboration avec le Conservatoire de musique de la ville Chenôve, le Consulat général du Maroc à Dijon et la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger proposaient, à cette occasion, deux rendez-vous concoctés dans le cadre du projet “Voix d’ici et d’ailleurs”.
Ainsi, le public de Dijon était invité à un concert réunissant des élèves du Conservatoire de musique de Chenôve, de Tétouan et Chefchaouen. Ce spectacle a été organisé sous la direction artistique violoniste Nabil Akbib et de la chanteuse Samira Kadiri qui a reçu à cette occasion une médaille de la Ville, annonce MAP.
La fête était également au rendez-vous à la salle des fêtes de Chenôve où le groupe de musiciens a reçu un bel accueil.
Il est à préciser que le Maroc s’est également distingué lors de cette manifestation par d’autres actions culturelles. Outre l’exposition sur les “Etranges étrangers” de l’artiste-peintre Meryem Mezgueldi et les conférences-débats animées par un panel d’invités, la participation marocaine a également permis au public d’apprécier des contes inspirés du riche patrimoine marocain et récités par la conteuse Halima Hamdane et de suivre le film «Rock’n Bled» de Touria Benzari évoquant le mariage traditionnel entre une Française d’origine marocaine et un jeune Marocain.
Bref, la ville de Dijon s’est vraiment offert 18 jours de fête, de rencontres, d’échanges et de dialogue entre les cultures des deux rives de la Méditerranée riche en découvertes. Tout simplement, un magnifique «voyage au-delà des rives de la Méditerranée, à la découverte de ce qui unit l’Orient et l’Occident», avait annoncé François Rebsamen qui est également le président du Grand Dijon.
Alain Bouithy
bouithy@starducongo.com
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