
Congo/RCA, (Starducongo.com) - Dès le déclenchement de la crise centrafricaine, en mars 2013, le Président Denis Sassou N’Guesso a été au cœur de la médiation. Et, les Centrafricains le disent : «sans Denis Sassou N’Guesso, leur pays se serait précipités dans l’abîme depuis longtemps».
Le président congolais a le profil bas. Face à certain pays qui se disputent le leadership en RCA. Mais cela ne l’empêche pas de jouer son rôle avec détermination et engagement.
Déjà, peu avant sa désignation comme médiateur de cette crise, par ses pairs de la CEEAC, Denis Sassou N’Guesso pilotait le Comité de suivi des accords de Libreville de janvier 2013 sur la crise de la RCA. Les acteurs impliqués dans cette crise reconnaissent combien l’implication totale du président congolais a été de beaucoup sur plusieurs volets. Ce n’est pas pour rien que dans son message des vœux de nouvel an 2014 à ses compatriotes, il a souhaité voir ce pays frère retrouver la paix et le calme d’antan.
Le balai diplomatique
Depuis la prise de pouvoir par l’ex-rébellion Seleka, en mars 2013, à Bangui, la médiation du président Denis Sassou N’Guesso n’a cessé de susciter l’adhésion et l’assentiment des organisations internationales qui sont aussi impliquées dans le combat pour le rétablissement de la paix en RCA. Après la tenue, le 3 mai 2013, de la réunion inaugurale du Groupe International de Contact que dirige, du reste Denis Sassou N’Guesso, Brazzaville et la ville d’Oyo ont connu un balai diplomatique incessant. Les acteurs impliqués dans cette crise, ont chacun à son tour, rencontrer le président congolais dans le but de trouver des voies moyens devant conduire au rétablissement de la sécurité et de la paix en Centrafrique.
A commencer par le l’ex président de la transition centrafricaine, Michel Djotodia, aussi bien le secrétaire général de la CEEAC, l’envoyé spécial de l’ONU que les ministres envoyés par les chefs d’Etat des pays voisins Brazzaville qu’à Oyo, a plus de 400 Km au nord de Brazzaville et d’ailleurs le dernier en date remonte le 06 novembre 2013 à Oyo, deux jours avant la tenue, le 08 du même mois, de la conférence des bailleurs fonds participation de plus de 30 pays.
Au nombre de visites à Brazzaville figurent celles de la ministre déléguée français chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui, qui, au sortir de l’audience, a déclaré «que son pays soutient la médiation du Président congolais, Denis Sassou N’Guesso en Centrafrique et dans les Grands Lacs. « J’ai tenu à saluer au nom de la France ses efforts pour la stabilisation de la République centrafricaine qui vit une crise tant politique que militaire. La contribution du Congo est remarquable que cela soit sur le plan politique et financier que militaire, le rôle du président Sassou N’Guesso dans la résolution de cette crise est fondamental. Je lui redis notre soutien » avait-elle déclaré.
Dans ce même chapitre de visite, en octobre 2013 le président avait reçu en audience Monsieur Babacar Gaye, le Représentant spécial de l’ONU en Centrafrique, avait sollicité aussi l’appui du médiateur qui n’est que le président Sassou N’Guesso, pour le rétablissement de la sécurité dans ce pays.
Pour sa première sortie à l’extérieur de la RCA, le président du Conseil National de Transition, Alexandre Ferdinand N’Guendet avait exprimé toute sa gratitude à la nation Congolaise et au président Denis Sassou N’Guesso pour le rôle spécial que le Congo et ses dirigeants ont toujours joué pour l’instauration de la paix en RCA. Sa présence à Brazzaville est une preuve du respect des engagements des autorités actuelles au pouvoir de respecter les closes des Accords de Libreville.
Un soutient multiples forces
L’appel dit de Brazzaville a été alors lancé à la communauté internationale pour venir en aide à un pays dont l’implosion sociale constitue une cause de déstabilisation de l’Afrique centrale. Conscient de son rôle, mais surtout du danger, le Congo par l’impulsion de son président Denis Sassou N’Guesso a répondu le premier à cet appel en mettant, non seulement, à la disposition de la FOMUC des contingents militaires et la diplomatie, mais aussi une enveloppe de 25 milliards de FCFA. Car la RCA n’avait pas seulement la crise militaire mais aussi financière.
Pour réitérer la reconnaissance du peuple centrafricain à l’endroit du médiateur, Denis Sassou N’Guesso, Madame Marie-Charlotte Fayanga, Doyenne du corps diplomatique et Ambassadrice de la RCA au Congo a salué avec déférence l’apport de la République du Congo dont l’action et les efforts diplomatiques, sous votre haute et clairvoyante responsabilité, s’inscrivent dans cette volonté de promouvoir la concertation et le dialogue dans la recherche de solutions adéquates aux défis que traversent le monde et la sous-région.
Et pour réaffirmer l’importance de la médiation du Congo ainsi que de son implication dans la composition des contingents qui constituent la force de la MISCA dont le Congo a des contingents a Bangui, le ministre français de la Défense, Jean Yves Le Drian, a été reçu en audience pendant près de deux heures, le jeudi 2 janvier à Brazzaville, par le président Denis Sassou N’Guesso. Il a déclaré qu’ils sont « soucieux de la bonne mise en œuvre de la résolution des Nations Unies » dans ce pays. « Déterminer la mise en œuvre de toute cette résolution, c’est-à-dire désarmer toutes les parties ; faire en sorte que la MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique) se déploie et que le processus politique se mette en place », a expliqué Jean Yves Le Drian.
La visite des personnalités dont les pays sont impliqués pour la résolution de la paix en RCA au Congo témoigne du rôle que joue le président Denis Sassou N’Guesso dans la résolution de crise centrafricaine.
Wilguette Eznez
Le président congolais a le profil bas. Face à certain pays qui se disputent le leadership en RCA. Mais cela ne l’empêche pas de jouer son rôle avec détermination et engagement.
Déjà, peu avant sa désignation comme médiateur de cette crise, par ses pairs de la CEEAC, Denis Sassou N’Guesso pilotait le Comité de suivi des accords de Libreville de janvier 2013 sur la crise de la RCA. Les acteurs impliqués dans cette crise reconnaissent combien l’implication totale du président congolais a été de beaucoup sur plusieurs volets. Ce n’est pas pour rien que dans son message des vœux de nouvel an 2014 à ses compatriotes, il a souhaité voir ce pays frère retrouver la paix et le calme d’antan.
Le balai diplomatique
Depuis la prise de pouvoir par l’ex-rébellion Seleka, en mars 2013, à Bangui, la médiation du président Denis Sassou N’Guesso n’a cessé de susciter l’adhésion et l’assentiment des organisations internationales qui sont aussi impliquées dans le combat pour le rétablissement de la paix en RCA. Après la tenue, le 3 mai 2013, de la réunion inaugurale du Groupe International de Contact que dirige, du reste Denis Sassou N’Guesso, Brazzaville et la ville d’Oyo ont connu un balai diplomatique incessant. Les acteurs impliqués dans cette crise, ont chacun à son tour, rencontrer le président congolais dans le but de trouver des voies moyens devant conduire au rétablissement de la sécurité et de la paix en Centrafrique.
A commencer par le l’ex président de la transition centrafricaine, Michel Djotodia, aussi bien le secrétaire général de la CEEAC, l’envoyé spécial de l’ONU que les ministres envoyés par les chefs d’Etat des pays voisins Brazzaville qu’à Oyo, a plus de 400 Km au nord de Brazzaville et d’ailleurs le dernier en date remonte le 06 novembre 2013 à Oyo, deux jours avant la tenue, le 08 du même mois, de la conférence des bailleurs fonds participation de plus de 30 pays.
Au nombre de visites à Brazzaville figurent celles de la ministre déléguée français chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui, qui, au sortir de l’audience, a déclaré «que son pays soutient la médiation du Président congolais, Denis Sassou N’Guesso en Centrafrique et dans les Grands Lacs. « J’ai tenu à saluer au nom de la France ses efforts pour la stabilisation de la République centrafricaine qui vit une crise tant politique que militaire. La contribution du Congo est remarquable que cela soit sur le plan politique et financier que militaire, le rôle du président Sassou N’Guesso dans la résolution de cette crise est fondamental. Je lui redis notre soutien » avait-elle déclaré.
Dans ce même chapitre de visite, en octobre 2013 le président avait reçu en audience Monsieur Babacar Gaye, le Représentant spécial de l’ONU en Centrafrique, avait sollicité aussi l’appui du médiateur qui n’est que le président Sassou N’Guesso, pour le rétablissement de la sécurité dans ce pays.
Pour sa première sortie à l’extérieur de la RCA, le président du Conseil National de Transition, Alexandre Ferdinand N’Guendet avait exprimé toute sa gratitude à la nation Congolaise et au président Denis Sassou N’Guesso pour le rôle spécial que le Congo et ses dirigeants ont toujours joué pour l’instauration de la paix en RCA. Sa présence à Brazzaville est une preuve du respect des engagements des autorités actuelles au pouvoir de respecter les closes des Accords de Libreville.
Un soutient multiples forces
L’appel dit de Brazzaville a été alors lancé à la communauté internationale pour venir en aide à un pays dont l’implosion sociale constitue une cause de déstabilisation de l’Afrique centrale. Conscient de son rôle, mais surtout du danger, le Congo par l’impulsion de son président Denis Sassou N’Guesso a répondu le premier à cet appel en mettant, non seulement, à la disposition de la FOMUC des contingents militaires et la diplomatie, mais aussi une enveloppe de 25 milliards de FCFA. Car la RCA n’avait pas seulement la crise militaire mais aussi financière.
Pour réitérer la reconnaissance du peuple centrafricain à l’endroit du médiateur, Denis Sassou N’Guesso, Madame Marie-Charlotte Fayanga, Doyenne du corps diplomatique et Ambassadrice de la RCA au Congo a salué avec déférence l’apport de la République du Congo dont l’action et les efforts diplomatiques, sous votre haute et clairvoyante responsabilité, s’inscrivent dans cette volonté de promouvoir la concertation et le dialogue dans la recherche de solutions adéquates aux défis que traversent le monde et la sous-région.
Et pour réaffirmer l’importance de la médiation du Congo ainsi que de son implication dans la composition des contingents qui constituent la force de la MISCA dont le Congo a des contingents a Bangui, le ministre français de la Défense, Jean Yves Le Drian, a été reçu en audience pendant près de deux heures, le jeudi 2 janvier à Brazzaville, par le président Denis Sassou N’Guesso. Il a déclaré qu’ils sont « soucieux de la bonne mise en œuvre de la résolution des Nations Unies » dans ce pays. « Déterminer la mise en œuvre de toute cette résolution, c’est-à-dire désarmer toutes les parties ; faire en sorte que la MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique) se déploie et que le processus politique se mette en place », a expliqué Jean Yves Le Drian.
La visite des personnalités dont les pays sont impliqués pour la résolution de la paix en RCA au Congo témoigne du rôle que joue le président Denis Sassou N’Guesso dans la résolution de crise centrafricaine.
Wilguette Eznez
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