Comme il l’avait promis lors des obsèques de Ndombe Opetun, Makoso, qui est établi en France est descendu a Kinshasa pour préparer son retour aux côtés de Lutumba Simaro au sein de Bana OK car Simaro n’a plus de grosse pointure, de vieux loups à ses côtés.
Dans la constellation de musiciens et groupes, pour la plupart jeunes rayonnants qui ont joué à la « Nuit de la Francophonie », le 10 octobre dernier au stade des Martyrs, d’aucuns ne donnaient pas beaucoup de chances au poète Lutumba Simaro et son groupe, Bana OK. Erreur.
Simaro Masiya a fait plutôt sensation, en effet, gagnant le public à sa cause dès les premières notes de musique jusqu’aux dernières. Comme une sorte de cerise sur le gâteau, Lutumba à même arraché à tout le stade un « bis bis », qu’il aura été le seul de la soirée à glaner. Quel en a été le secret ?
Se confiant au journal Visa, le « Poète » de Bana OK a eu un seul mot l’expérience. Celle-ci lui a permis de faire un bon choix s’agissant du répertoire.
Quand on joue, il faut scruter le public et jauger sa température pour, le cas échéant, rectifier le tir ou appuyer de plus belle, a explique Masiya.
Il faut le dire, plusieurs artistes à la « Nuit de la Francophonie « ont trébuché sur ce plan-là. Ils sont quasiment passés à côté de leur soirée à cause d’un mauvais choix de chansons à exécuter. Pourtant, ils ont à leur actif des œuvres qui auraient pu soulever le public comme Lutumba Simaro a réussi à le faire.
Le guitariste Makoso à Kinshasa
Comme il l’avait promis lors des obsèques du chanteur Pépé Ndombe Opetun en mai dernier, Makonko Kindudi alias Makoso, qui est établi en France depuis plusieurs années, est descendu a Kinshasa en ce mois d’octobre.
Le guitariste se trouve dans la capitale pour préparer son retour aux côtés de Lutumba Simaro au sein de Bana OK. La démarche, explique l’intéressé, se justifie par le fait que Simaro n’a plus de grosse pointure, de vieux loups à ses côtés depuis la disparition de Pépé Ndombe.
Makoso regagne Paris cette semaine. Pour aller préparer ses valises.
Kale Ntondo/Visa
Dans la constellation de musiciens et groupes, pour la plupart jeunes rayonnants qui ont joué à la « Nuit de la Francophonie », le 10 octobre dernier au stade des Martyrs, d’aucuns ne donnaient pas beaucoup de chances au poète Lutumba Simaro et son groupe, Bana OK. Erreur.
Simaro Masiya a fait plutôt sensation, en effet, gagnant le public à sa cause dès les premières notes de musique jusqu’aux dernières. Comme une sorte de cerise sur le gâteau, Lutumba à même arraché à tout le stade un « bis bis », qu’il aura été le seul de la soirée à glaner. Quel en a été le secret ?
Se confiant au journal Visa, le « Poète » de Bana OK a eu un seul mot l’expérience. Celle-ci lui a permis de faire un bon choix s’agissant du répertoire.
Quand on joue, il faut scruter le public et jauger sa température pour, le cas échéant, rectifier le tir ou appuyer de plus belle, a explique Masiya.
Il faut le dire, plusieurs artistes à la « Nuit de la Francophonie « ont trébuché sur ce plan-là. Ils sont quasiment passés à côté de leur soirée à cause d’un mauvais choix de chansons à exécuter. Pourtant, ils ont à leur actif des œuvres qui auraient pu soulever le public comme Lutumba Simaro a réussi à le faire.
Le guitariste Makoso à Kinshasa
Comme il l’avait promis lors des obsèques du chanteur Pépé Ndombe Opetun en mai dernier, Makonko Kindudi alias Makoso, qui est établi en France depuis plusieurs années, est descendu a Kinshasa en ce mois d’octobre.
Le guitariste se trouve dans la capitale pour préparer son retour aux côtés de Lutumba Simaro au sein de Bana OK. La démarche, explique l’intéressé, se justifie par le fait que Simaro n’a plus de grosse pointure, de vieux loups à ses côtés depuis la disparition de Pépé Ndombe.
Makoso regagne Paris cette semaine. Pour aller préparer ses valises.
Kale Ntondo/Visa
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