Le président du syndicat-patronat des boulangers et pâtissiers de Brazzaville a démenti le 5 mai, la rumeur sur l’empoisonnement de la farine du pain fabriquée par la boulangerie Epi d’Or.
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Le président du syndicat-patronat des boulangers et pâtissiers du département de Brazzaville, Jean Cyr Mayala a démenti le 5 mai à Brazzaville, l’information faisant état de l’empoisonnement de la farine du pain fabriquée par la boulangerie Epi d’Or. Cette rumeur qui a gagné toute la ville a créé un climat de psychose au sein de la population Brazzavilloise en général et celle de la partie nord de la capitale en particulier, qui n’a pas eu de pain dans les boutiques et alimentations jusqu'à la journée du 6 mai 2014.
Selon le représentant de la boulangerie Epi d’Or, Sidina Moustapha, depuis le 28 avril dernier sa structure a observé un congé technique pour des raisons de réparation des locaux. « Il y a de cela sept jours que nous venons de reprendre avec l’activité de la fabrication du pain. Le pain que nous fabriquons est fait à base de la farine de MINOCO du Congo-Brazzaville et non d’une qualité importée qui provient de la République Démocratique du Congo (RDC)», a-t-il signifié ».
« Je ne peux, en aucun jour, tolérer qu’un agent de ma boulangerie puisse faire quoi que ce soit. Nous recevons souvent les agents du ministère du commerce, de la police, du service d’hygiène et d’autres autorités qui viennent nous enquêter pour voir dans quelles conditions de travail le pain est fabriqué », a-t-il précisé, a ajouté M. Moustapha, ajoutant que sa boulangerie compte sept agents dont un pâtissier de nationalité congolaise et un superviseur de nationalité mauritanienne.
Selon M. Mayala, les boulangeries installées au Congo sont encore tenues à 95% par des étrangers. Pourtant le Parlement congolais, dans l’une de ses sessions, avait recommandé l’implication des nationaux dans ce secteur très sensible, a-t-il rappelé, après avoir apaisé les inquiétudes des populations sur la rumeur du pain empoisonné qui s’est répandue sur toute la ville de Brazzaville.
Selon le représentant de la boulangerie Epi d’Or, Sidina Moustapha, depuis le 28 avril dernier sa structure a observé un congé technique pour des raisons de réparation des locaux. « Il y a de cela sept jours que nous venons de reprendre avec l’activité de la fabrication du pain. Le pain que nous fabriquons est fait à base de la farine de MINOCO du Congo-Brazzaville et non d’une qualité importée qui provient de la République Démocratique du Congo (RDC)», a-t-il signifié ».
« Je ne peux, en aucun jour, tolérer qu’un agent de ma boulangerie puisse faire quoi que ce soit. Nous recevons souvent les agents du ministère du commerce, de la police, du service d’hygiène et d’autres autorités qui viennent nous enquêter pour voir dans quelles conditions de travail le pain est fabriqué », a-t-il précisé, a ajouté M. Moustapha, ajoutant que sa boulangerie compte sept agents dont un pâtissier de nationalité congolaise et un superviseur de nationalité mauritanienne.
Selon M. Mayala, les boulangeries installées au Congo sont encore tenues à 95% par des étrangers. Pourtant le Parlement congolais, dans l’une de ses sessions, avait recommandé l’implication des nationaux dans ce secteur très sensible, a-t-il rappelé, après avoir apaisé les inquiétudes des populations sur la rumeur du pain empoisonné qui s’est répandue sur toute la ville de Brazzaville.
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