La police rwandaise a annoncé jeudi avoir arrêté deux policiers suspectés du meurtre en juillet 2013 d'un militant anticorruption travaillant pour l'ONG Transparency International.
"Cette fois-ci, nous avons des preuves convaincantes que nous avons réellement les deux réels suspects", a déclaré devant la presse Theos Badege, chef de la brigade criminelle rwandaise, ajoutant que le transfert du dossier au parquet interviendrait d'ici la fin de la semaine.
Le corps sans vie de Gustave Makonene, qui coordonnait les travaux de Transparency International à Rubavu, dans l'ouest du pays, avait été découvert dans la matinée du 18 juillet 2013 sur une route près du lac Kivu.
Selon l'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch, qui avait dénoncé l'enlisement de l'enquête en janvier, la victime avait été étranglée.
Les deux suspects, Isaac Ndabarinze et Nelson Iyakaremye, ont été brièvement présentés jeudi à la presse, menottés.
Selon M. Badege, le premier a été arrêté "en début de semaine", tandis que le second était emprisonné depuis février dans le cadre d'une autre affaire qu'il n'a pas souhaité détailler.
Selon le chef de la brigade criminelle, le responsable de Transparency international aurait été tué parce qu'il s'intéressait de trop près à des activités illégales des deux policiers.
Les deux hommes, à l'époque eux aussi basés à Rubavu, auraient touché des pots-de-vin dans le cadre d'un trafic de minerais avec la République démocratique du Congo (RDC) voisine, a-t-il ajouté.
"Cette fois-ci, nous avons des preuves convaincantes que nous avons réellement les deux réels suspects", a déclaré devant la presse Theos Badege, chef de la brigade criminelle rwandaise, ajoutant que le transfert du dossier au parquet interviendrait d'ici la fin de la semaine.
Le corps sans vie de Gustave Makonene, qui coordonnait les travaux de Transparency International à Rubavu, dans l'ouest du pays, avait été découvert dans la matinée du 18 juillet 2013 sur une route près du lac Kivu.
Selon l'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch, qui avait dénoncé l'enlisement de l'enquête en janvier, la victime avait été étranglée.
Les deux suspects, Isaac Ndabarinze et Nelson Iyakaremye, ont été brièvement présentés jeudi à la presse, menottés.
Selon M. Badege, le premier a été arrêté "en début de semaine", tandis que le second était emprisonné depuis février dans le cadre d'une autre affaire qu'il n'a pas souhaité détailler.
Selon le chef de la brigade criminelle, le responsable de Transparency international aurait été tué parce qu'il s'intéressait de trop près à des activités illégales des deux policiers.
Les deux hommes, à l'époque eux aussi basés à Rubavu, auraient touché des pots-de-vin dans le cadre d'un trafic de minerais avec la République démocratique du Congo (RDC) voisine, a-t-il ajouté.
www.pagesafrik.info le rendez-vous des stars