L'avenue de l'OUA fait depuis quelques mois l'objet des mécontentements à hauteur du quartier la Fougère où un nid de poule donne du tournis aux automobilistes qui s'alignent à la file indienne pour cause d'embouteillage.
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Circuler librement sur l'avenue de l'OUA relève aujourd'hui d'un véritable parcours de combattant. Les populations de Poto-poto Djoué, Madibou , Nganga-Lingolo subissent un véritable chemin de la croix pour atteindre les quatre coins de la ville. A la hauteur du quartier la Fougère, un nid de poule d'une certaine profondeur ralenti la circulation. Aux heures de pointe,de longues files d'attente s'observent au point de décourager certains automobilistes qui préfèrent désormais jouer aux abonnés absents pour desservir cette partie de la ville.
La période des pluies aidant, le risque s'est aggravé avec à la clé quelques cas d'accident signalés à cet endroit. Le cas d'un mini bus de marque Hiace qui a terminé sa course dans les commerces à l’étal, en voulant éviter ce trou à risque. Un cas d'accident qui n'attire toujours pas l'attention des pouvoirs publics qui continuent à jouer à l'expectative. Pourtant, pendant la saison sèche, quelques camions de terre ou de pierres suffisaient pour boucher ce nid de poule le plus facilement du monde. Mais, hélas!
Le malheur ne venant jamais seul, les élèves ou étudiants de la périphérie de Brazzaville sud qui font leurs études au centre ville sont victimes de cette situation qui commence à susciter des inquiétudes. Désormais pour cause d'embouteillage, les populations sont obligées de trouver une solution palliative. Celle de la pirogue, avec de nombreux risques que cela comporte. Avec des crues signalées sur la rivière Djoué, consécutivement à la période des pluies, il y a lieu de craindre des cas de noyade, comme dernièrement où un couple a péri vers le quartier Sangolo dans une pirogue hyper chargée de fagots de bois.
C'est l'occasion d'interpeller la conscience des autorités municipales pour trouver la solution à ce trou à risque qui commence à porter préjudice à la desserte des quartiers de la périphérie sud de Brazzaville. Chaque Mairie d'arrondissement a été doté en logistique pour des travaux ponctuels.Il n' y a donc pas de raison que le trou de la fougère ne puisse pas trouver de solutions.En attendant que le pire n'arrive, le mieux serait de parer au plus pressé pour que les usagers et les populations renouent avec la bonne circulation. Nous espérons que, Tata Morel Kiwounzou mettra la main à la poche.
La période des pluies aidant, le risque s'est aggravé avec à la clé quelques cas d'accident signalés à cet endroit. Le cas d'un mini bus de marque Hiace qui a terminé sa course dans les commerces à l’étal, en voulant éviter ce trou à risque. Un cas d'accident qui n'attire toujours pas l'attention des pouvoirs publics qui continuent à jouer à l'expectative. Pourtant, pendant la saison sèche, quelques camions de terre ou de pierres suffisaient pour boucher ce nid de poule le plus facilement du monde. Mais, hélas!
Le malheur ne venant jamais seul, les élèves ou étudiants de la périphérie de Brazzaville sud qui font leurs études au centre ville sont victimes de cette situation qui commence à susciter des inquiétudes. Désormais pour cause d'embouteillage, les populations sont obligées de trouver une solution palliative. Celle de la pirogue, avec de nombreux risques que cela comporte. Avec des crues signalées sur la rivière Djoué, consécutivement à la période des pluies, il y a lieu de craindre des cas de noyade, comme dernièrement où un couple a péri vers le quartier Sangolo dans une pirogue hyper chargée de fagots de bois.
C'est l'occasion d'interpeller la conscience des autorités municipales pour trouver la solution à ce trou à risque qui commence à porter préjudice à la desserte des quartiers de la périphérie sud de Brazzaville. Chaque Mairie d'arrondissement a été doté en logistique pour des travaux ponctuels.Il n' y a donc pas de raison que le trou de la fougère ne puisse pas trouver de solutions.En attendant que le pire n'arrive, le mieux serait de parer au plus pressé pour que les usagers et les populations renouent avec la bonne circulation. Nous espérons que, Tata Morel Kiwounzou mettra la main à la poche.
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