
Un Congolais sans-papiers est sous le coup d'un arrêté d'expulsion, malgré une promesse d'embauche de son employeur à Crevin, près de Rennes.
Joseph, père de famille congolais de 39 ans, installé en Ille-et-Vilaine, fait l'objet d'un arrêté d'expulsion depuis juillet, sa demande d'asile politique ayant été refusée.
La CGT, Solidaires, le Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples) ainsi que le Collectif de soutien aux sans-papiers se mobilisent : « À tout moment, Joseph peut être interpellé et renvoyé en République démocratique du Congo, où il ne sera pas accueilli à bras ouverts. »
La réponse de la préfecture
Ils ne comprennent pas « pourquoi la préfecture s'obstine » contre un sans-papiers qui avait trouvé un emploi à Crevin, au sud de Rennes, comme trieur réparateur de palettes chez Distripal.
Son employeur, contraint de le licencier à cause de la décision d'expulsion du préfet, lui a adressé le 8 août une promesse de réembauche. Un peu juste pour la préfecture : « D'une part l'employeur doit s'adresser à la Dirrecte avec une proposition de contrat de travail et d'autre part, l'intéressé doit faire une demande de visa auprès de son consulat ».
Lire l'intégralité de cet article sur Ouest-france.fr
Joseph, père de famille congolais de 39 ans, installé en Ille-et-Vilaine, fait l'objet d'un arrêté d'expulsion depuis juillet, sa demande d'asile politique ayant été refusée.
La CGT, Solidaires, le Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples) ainsi que le Collectif de soutien aux sans-papiers se mobilisent : « À tout moment, Joseph peut être interpellé et renvoyé en République démocratique du Congo, où il ne sera pas accueilli à bras ouverts. »
La réponse de la préfecture
Ils ne comprennent pas « pourquoi la préfecture s'obstine » contre un sans-papiers qui avait trouvé un emploi à Crevin, au sud de Rennes, comme trieur réparateur de palettes chez Distripal.
Son employeur, contraint de le licencier à cause de la décision d'expulsion du préfet, lui a adressé le 8 août une promesse de réembauche. Un peu juste pour la préfecture : « D'une part l'employeur doit s'adresser à la Dirrecte avec une proposition de contrat de travail et d'autre part, l'intéressé doit faire une demande de visa auprès de son consulat ».
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