La maison d’arrêt de Brazzaville est-elle un centre de détention où des détenus peuvent, de temps en temps, s’évader, retrouver le vent de la liberté et commettre d’autres forfaits? Il y a quelques semaines, un détenu, qui s’y est fait la belle, a agressé, mortellement, un citoyen, à l’arrêt de bus, situé au niveau du marché de Ouenzé, dans le cinquième arrondissement de Brazzaville. Grièvement blessée, la victime est décédée, quelques jours plus tard, au C.h.u-B (Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville), des suites d’une hémorragie interne. Des témoins ont arrêté le meurtrier, avant de le livrer à la police.
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