La fillette âgée de 10 ans, a été abusée dans la nuit du 4 au 5 janvier dernier. Le doigt accusateur est pointé vers un commerçant malien, gérant une boutique d’alimentation
Une fillette âgée de 10 ans, habitant dans la rue Mbongui au quartier Diata, arrondissement 1 Makélékélé, a été violée dans la nuit du 4 au 5 janvier dernier par un commerçant malien, gérant une boutique d’alimentation dénommée K.A., située à quelques mètres de l’arrêt de bus Tonton Holl, a-t-on appris sur place. Selon les parents de la victime qui ont requis l’anonymat, la fillette avait été séquestrée et abusée par ce commerçant pendant plus d’une heure de temps, alors que ces derniers avait envoyé la petite acheter du sucre, aux environs de 19 heures. Inquiets du retard accusé par la fillette pour regagner le toit parental, les parents ont décidé d’aller à sa recherche. Bien grande a été leur surprise de la voir surgir avec sachet plein de cadeaux offerts par le commerçant maline et contenant du jus de fruit, des biscuits, des bonbons et bien d’autres choses.
Cuisinée par ses parents, la petite finira par avouer à sa maman que ce commerçant a abusé d’elle pour la cinquième fois. Elle a indiqué que ce Malien lui donnait de l’argent, des présents et bien d’autres objets à chaque fois qu'elle se rendait à l’école, afin qu'elle devienne «son instrument de plaisir». Saisi de colère, les parents se sont déportés à la boutique du commerçant qui a nié les faits au départ. Les géniteurs de la fillette l’ont passé à tabac puis conduit au poste de police de Diata où il a été transféré par la suite au commissariat central. La fillette, quant à elle, a été amenée au Service Maternel et Infantile (SMI) de Diata pour des soins et des examens, avant d’entamer la procédure judiciaire.
En guise de représailles, les jeunes de Diata, pris de colère, ont pillé une partie des marchandises de la boutique. L’autre partie a été sauvée grâce à l’arrivée de la compagnie d’intervention de la police sur les lieux. Cette situation a créé un climat de psychose chez des commerçants ouest-africains qui, pris de peur et de panique, ont fermé les boutiques en urgence, afin d’éviter des scènes de pillage. Le viol est un acte puni par la loi au Congo.
Une fillette âgée de 10 ans, habitant dans la rue Mbongui au quartier Diata, arrondissement 1 Makélékélé, a été violée dans la nuit du 4 au 5 janvier dernier par un commerçant malien, gérant une boutique d’alimentation dénommée K.A., située à quelques mètres de l’arrêt de bus Tonton Holl, a-t-on appris sur place. Selon les parents de la victime qui ont requis l’anonymat, la fillette avait été séquestrée et abusée par ce commerçant pendant plus d’une heure de temps, alors que ces derniers avait envoyé la petite acheter du sucre, aux environs de 19 heures. Inquiets du retard accusé par la fillette pour regagner le toit parental, les parents ont décidé d’aller à sa recherche. Bien grande a été leur surprise de la voir surgir avec sachet plein de cadeaux offerts par le commerçant maline et contenant du jus de fruit, des biscuits, des bonbons et bien d’autres choses.
Cuisinée par ses parents, la petite finira par avouer à sa maman que ce commerçant a abusé d’elle pour la cinquième fois. Elle a indiqué que ce Malien lui donnait de l’argent, des présents et bien d’autres objets à chaque fois qu'elle se rendait à l’école, afin qu'elle devienne «son instrument de plaisir». Saisi de colère, les parents se sont déportés à la boutique du commerçant qui a nié les faits au départ. Les géniteurs de la fillette l’ont passé à tabac puis conduit au poste de police de Diata où il a été transféré par la suite au commissariat central. La fillette, quant à elle, a été amenée au Service Maternel et Infantile (SMI) de Diata pour des soins et des examens, avant d’entamer la procédure judiciaire.
En guise de représailles, les jeunes de Diata, pris de colère, ont pillé une partie des marchandises de la boutique. L’autre partie a été sauvée grâce à l’arrivée de la compagnie d’intervention de la police sur les lieux. Cette situation a créé un climat de psychose chez des commerçants ouest-africains qui, pris de peur et de panique, ont fermé les boutiques en urgence, afin d’éviter des scènes de pillage. Le viol est un acte puni par la loi au Congo.
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