
Fally Ipupa ainsi qu’un carré des musiciens venus de plusieurs pays du monde, va se retrouver au devant de la scène, le samedi 19 mai 2013, sur le podium de la mythique salle du Zénith à Paris, en France.
Comme on pourra le constater, le choix porté sur « La Merveille » est le résultat d’une enquête menée par un organisme de renommée internationale qui a sanctionné le compositeur de « Droit Chemin » comme étant la meilleure star congolaise de la chanson. De ce fait, il se révèle comme étant la voix la mieux écoutée de la musique congolaise à travers le monde.
Ce, surtout pour sa promotion sur le plan international menée par son producteur attitré l’ivoirien David Monsoh dit « l’homme à la pensée juste » qui ne lésine nullement sur les moyens pour propulser son poulain dans la world music.
De son choix
Mais, qui est Fally Ipupa et pourquoi avoir porté le choix sur lui ? On l’appelle le charmantissimo, mais lui préfère s’identifier sous de nombreuses appellations qui restituent son évolution en tant qu’artiste. Il se fait aussi Dicaprio en référence à l’acteur américain, « La Merveille » de par sa constitution physique qui ne laisse aucune âme sœur indifférente ainsi que de son talent.
Fin danseur, doté d’une voix envoûtante, Fally Ipupa fait parler de lui aujourd’hui à telle enseigne qu’on croit que l’élève est entrain de dépasser son maître. Chose pas étonnante lorsqu’on sait que ce jeune chanteur est, jusque là, le seul qui a vraiment émerveillé par rapport aux autres musiciens et chanteurs ayant évolué au sein de l’orchestre « Quartier Latin International » de Koffi Olomidé.
C’est par la grande porte, après un test de recrutement bien réussi, que Dicaprio a été retenu, en 1999, pour rester auprès de Mopao Mokonzi au sein du « Quartier Latin International » où, du reste, il n’a pas tardé Fally Ipupa à imposer sa voix accompagné de ses coups de reins érotiques. Deux chansons cultes : « Éternellement » contenue dans l’album « Force de frappe » et « Kokokoko » dans l’opus « Affaire d’Etat » devenues des tubes, ont suffi pour rendre Fally Ipupa aussi célèbre que ses pharamineux aînés.
Possédant un sens très poussé dans la conception des choses plutôt que dans l’écriture de ses chansons, la sortie de l’album « Droit chemin », son premier album solo, réalisé à Paris avec l’aide du mécène ivoirien David Monsoh s’est révélé comme étant un best seller.
Étoile montante de la musique congolaise, le chanteur Fally Ipupa est devenu « Monsieur spectacle » du Quartier Latin International. On se souviendra que son spectacle, à guichet fermé, le 7 avril 2007 à l’Olympia de Paris, avait confirmé la force de frappe de « La Merveille ».
De sa naissance
Issue d’une famille chrétienne, c’est en 1977 que Fally Ipupa a vu le jour à Kinshasa la capitale africaine de la musique. Comme bon nombre des jeunes de sa génération, la musique sera d’abord son hobby avant de s’imposer à lui comme une priorité et de prendre le pas sur ses études. Très tôt, il se découvre un don pour la chanson avec sa voix cristalline, bouleversante, prédisposée à la rumba et aux chansons langoureuses. Dès lors il ne vivra qu’à travers et pour la musique.
Il débute ses classes musicales dans divers petits groupes de Kinshasa au début des années 90. Avide de découvertes et de renouveau, il ne s’éternise pas dans ces groupes et passe de formations en formations, pour finalement trouver sa place au sein d’un orchestre bien nommé : Talents Latents. Avec ses nouveaux coéquipiers, il attire l’attention du public kinois, lors des concours des orchestres en herbe de la capitale.
Après cette péripétie, Fally Ipupa travaille son chant et finit par attirer l’attention de Koffi Olomidé, dont il intègre l’orchestre à la fin des années 90. Le jeune homme y trouvera finalement sa place et deviendra l’un des piliers incontournables.
Pendant près d’une décennie, Fally Ipupa conforte son art et exprime son talent auprès de Koffi Olomide et maîtrise, de mieux en mieux, l’écriture au fil des albums du groupe. C’est avec « Éternellement » et « Ko ko ko », deux chansons majeures dont il est auteur-compositeur, que Fally prendra du galon et gagnera en assurance jusqu’à occuper, en dépit de son jeune âge, le poste de chef d’orchestre.
Le public Congolais qui affectionne les sobriquets et les superlatifs ne tardera pas à le surnommer Dicaprio pour sa beauté, Anelka, le transfert le plus cher pour sa valeur, ou encore « La merveille » pour son talent.
Fally Ipupa est musicalement curieux et gourmand. Ses goûts musicaux vont du classique au Hip-hop, parmi ses modèles se trouvent Marvin Gaye, Shaggy ou Craig David. Ses influences mariées à son talent en font un artiste hors du commun, qui rêve des sonorités nouvelles, des aspirations qui ne sont pas évidentes à concrétiser dans un groupe comme Quartier Latin.
C’est dans un souci de liberté artistique que Fally Ipupa s’engage dans le projet d’un album solo et personnel, qui lui ressemble et qui mêle, sans mal, l’expression de sa créativité à celle sa personnalité. Jeune s’entend, mais il demeure, à jamais, le premier artiste congolais de sa génération à avoir tenté l’aventure d’une carrière musicale bivalente, qui mêle innovation et tradition.
De nombreux featuring réalisés tant avec des autres artistes congolais, continentaux, américains ou afro caribéens font de lui la star la mieux structurée et disposée à contribuer à la réussite et à l’expansion de la culture mondiale.
C’est donc dans ce contexte que le choix vient d’être porté à ce jeune chanteur plein de bon sens pour cette production du Zénith à Paris et dont les recettes vont être diligentées dans la lutte contre la trypanosomiase.
Kingunza Kikim Afri
Comme on pourra le constater, le choix porté sur « La Merveille » est le résultat d’une enquête menée par un organisme de renommée internationale qui a sanctionné le compositeur de « Droit Chemin » comme étant la meilleure star congolaise de la chanson. De ce fait, il se révèle comme étant la voix la mieux écoutée de la musique congolaise à travers le monde.
Ce, surtout pour sa promotion sur le plan international menée par son producteur attitré l’ivoirien David Monsoh dit « l’homme à la pensée juste » qui ne lésine nullement sur les moyens pour propulser son poulain dans la world music.
De son choix
Mais, qui est Fally Ipupa et pourquoi avoir porté le choix sur lui ? On l’appelle le charmantissimo, mais lui préfère s’identifier sous de nombreuses appellations qui restituent son évolution en tant qu’artiste. Il se fait aussi Dicaprio en référence à l’acteur américain, « La Merveille » de par sa constitution physique qui ne laisse aucune âme sœur indifférente ainsi que de son talent.
Fin danseur, doté d’une voix envoûtante, Fally Ipupa fait parler de lui aujourd’hui à telle enseigne qu’on croit que l’élève est entrain de dépasser son maître. Chose pas étonnante lorsqu’on sait que ce jeune chanteur est, jusque là, le seul qui a vraiment émerveillé par rapport aux autres musiciens et chanteurs ayant évolué au sein de l’orchestre « Quartier Latin International » de Koffi Olomidé.
C’est par la grande porte, après un test de recrutement bien réussi, que Dicaprio a été retenu, en 1999, pour rester auprès de Mopao Mokonzi au sein du « Quartier Latin International » où, du reste, il n’a pas tardé Fally Ipupa à imposer sa voix accompagné de ses coups de reins érotiques. Deux chansons cultes : « Éternellement » contenue dans l’album « Force de frappe » et « Kokokoko » dans l’opus « Affaire d’Etat » devenues des tubes, ont suffi pour rendre Fally Ipupa aussi célèbre que ses pharamineux aînés.
Possédant un sens très poussé dans la conception des choses plutôt que dans l’écriture de ses chansons, la sortie de l’album « Droit chemin », son premier album solo, réalisé à Paris avec l’aide du mécène ivoirien David Monsoh s’est révélé comme étant un best seller.
Étoile montante de la musique congolaise, le chanteur Fally Ipupa est devenu « Monsieur spectacle » du Quartier Latin International. On se souviendra que son spectacle, à guichet fermé, le 7 avril 2007 à l’Olympia de Paris, avait confirmé la force de frappe de « La Merveille ».
De sa naissance
Issue d’une famille chrétienne, c’est en 1977 que Fally Ipupa a vu le jour à Kinshasa la capitale africaine de la musique. Comme bon nombre des jeunes de sa génération, la musique sera d’abord son hobby avant de s’imposer à lui comme une priorité et de prendre le pas sur ses études. Très tôt, il se découvre un don pour la chanson avec sa voix cristalline, bouleversante, prédisposée à la rumba et aux chansons langoureuses. Dès lors il ne vivra qu’à travers et pour la musique.
Il débute ses classes musicales dans divers petits groupes de Kinshasa au début des années 90. Avide de découvertes et de renouveau, il ne s’éternise pas dans ces groupes et passe de formations en formations, pour finalement trouver sa place au sein d’un orchestre bien nommé : Talents Latents. Avec ses nouveaux coéquipiers, il attire l’attention du public kinois, lors des concours des orchestres en herbe de la capitale.
Après cette péripétie, Fally Ipupa travaille son chant et finit par attirer l’attention de Koffi Olomidé, dont il intègre l’orchestre à la fin des années 90. Le jeune homme y trouvera finalement sa place et deviendra l’un des piliers incontournables.
Pendant près d’une décennie, Fally Ipupa conforte son art et exprime son talent auprès de Koffi Olomide et maîtrise, de mieux en mieux, l’écriture au fil des albums du groupe. C’est avec « Éternellement » et « Ko ko ko », deux chansons majeures dont il est auteur-compositeur, que Fally prendra du galon et gagnera en assurance jusqu’à occuper, en dépit de son jeune âge, le poste de chef d’orchestre.
Le public Congolais qui affectionne les sobriquets et les superlatifs ne tardera pas à le surnommer Dicaprio pour sa beauté, Anelka, le transfert le plus cher pour sa valeur, ou encore « La merveille » pour son talent.
Fally Ipupa est musicalement curieux et gourmand. Ses goûts musicaux vont du classique au Hip-hop, parmi ses modèles se trouvent Marvin Gaye, Shaggy ou Craig David. Ses influences mariées à son talent en font un artiste hors du commun, qui rêve des sonorités nouvelles, des aspirations qui ne sont pas évidentes à concrétiser dans un groupe comme Quartier Latin.
C’est dans un souci de liberté artistique que Fally Ipupa s’engage dans le projet d’un album solo et personnel, qui lui ressemble et qui mêle, sans mal, l’expression de sa créativité à celle sa personnalité. Jeune s’entend, mais il demeure, à jamais, le premier artiste congolais de sa génération à avoir tenté l’aventure d’une carrière musicale bivalente, qui mêle innovation et tradition.
De nombreux featuring réalisés tant avec des autres artistes congolais, continentaux, américains ou afro caribéens font de lui la star la mieux structurée et disposée à contribuer à la réussite et à l’expansion de la culture mondiale.
C’est donc dans ce contexte que le choix vient d’être porté à ce jeune chanteur plein de bon sens pour cette production du Zénith à Paris et dont les recettes vont être diligentées dans la lutte contre la trypanosomiase.
Kingunza Kikim Afri
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