Deux congolais seront jugés demain jeudi 8 novembre pour détention illégales d’armes de guerre à des fins de grande chasse dans la Sangha
Les deux inciviques ont été appréhendés et arrêtés le 5 mai 2012, au PK 17 à Ouesso dans la zone protégée par les éco-gardes du projet des écosystèmes périphériques aux parcs d’Odzala-Kokoua, avant de comparaître pour la première fois le 28 octobre dernier au Tribunal de Grande Instance de la localité, a-t-on appris de la coordination du projet PALF. Selon les dispositions légales, si leur culpabilité est établie, ces deux délinquants fauniques risqueront des lourdes peines d’emprisonnement et au paiement de fortes amendes. A ce titre, la législation congolaise, notamment la loi N°37-2008 sur la protection de la faune et de la flore sauvages, les aires protégées interdit la violation de ces dispositions en son article 48, a-t-on indiqué.
Par ailleurs, le Tribunal de Grande Instance de Ouesso dans la Sangha, va juger le même jour dans la localité cinq braconniers, pour abattage et complicité d’abattage d’un éléphant. Les quatre congolais et un tchadien qui ont été arrêtés le 7 mai 2012, à Sembé par les agents de la police nationale, avaient comparu pour la première fois le 28 juin 2012 après leur audition sur procès-verbal par les autorités de la police locale, a rapporté le projet PALF. Selon la loi congolaise sur la faune et les aires protégées, les cinq braconniers risquent une peine de cinq ans en prison et payer une amende de près de 5 millions de F CFA, pour avoir abattu un animal intégralement protégé, a-t-on noté. Cet acte d’incivisme est réprimé par les textes en vigueur, à savoir la loi 37-2008 en ses articles 27 et 113. En outre, dans le cadre de la régénération de ses ressources fauniques, le Congo procède chaque année, le 1er novembre, à la fermeture de la chasse. Pour cette année 2012, le thème retenu est: «Luttons contre le braconnage pour sauvegarder la faune sauvage dans l’intérêt des générations actuelles et futures», rappelle-t-on.
Deux trafiquants sous les verrous
La troisième chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, avait déjà jugé le 5 novembre 2012, à Brazzaville deux chasseurs pour abattage de deux éléphanteaux dans la réserve protégée de la Léfini dans le département du Pool. Ces braconniers ont été arrêtés le 27 juillet 2009, pour avoir abattu ces pachydermes et fumé leurs dépouilles pour la commercialisation. Incarcéré dans le cadre de cette affaire, ils risquent cinq ans de prison et des amendes allant jusqu’à 5 millions de FCFA à chacun.
Par ailleurs, deux trafiquants de peau de léopard ont comparu récemment devant la troisième chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, pour détention et commercialisation illégales d’une espèce animale intégralement protégée par la légalisation nationale en vigueur. les deux malfrats, trafiquants des produits fauniques, ont été appréhendés le 1er juillet 2011 à la gare routière du marché Bourreau à Makélékélé par la gendarmerie nationale en collaboration avec la direction départementale de l’économie forestière de Brazzaville et le Projet d’Appui à l’Application de la Loi sur la Faune (PALF), a fait savoir la coordination du PALF. Les deux trafiquants ont été inculpé par la justice et encourent également des peines d’emprisonnement pouvant atteindre cinq ans et des amendes allant jusqu'à 5 millions de F CFA.
Selon les chercheurs, la criminalité faunique devient croissante à travers le monde et présente une menace pour les ressources fauniques protégées en voie de disparition comme le gorille, le chimpanzé et l’éléphant.
Les deux inciviques ont été appréhendés et arrêtés le 5 mai 2012, au PK 17 à Ouesso dans la zone protégée par les éco-gardes du projet des écosystèmes périphériques aux parcs d’Odzala-Kokoua, avant de comparaître pour la première fois le 28 octobre dernier au Tribunal de Grande Instance de la localité, a-t-on appris de la coordination du projet PALF. Selon les dispositions légales, si leur culpabilité est établie, ces deux délinquants fauniques risqueront des lourdes peines d’emprisonnement et au paiement de fortes amendes. A ce titre, la législation congolaise, notamment la loi N°37-2008 sur la protection de la faune et de la flore sauvages, les aires protégées interdit la violation de ces dispositions en son article 48, a-t-on indiqué.
Par ailleurs, le Tribunal de Grande Instance de Ouesso dans la Sangha, va juger le même jour dans la localité cinq braconniers, pour abattage et complicité d’abattage d’un éléphant. Les quatre congolais et un tchadien qui ont été arrêtés le 7 mai 2012, à Sembé par les agents de la police nationale, avaient comparu pour la première fois le 28 juin 2012 après leur audition sur procès-verbal par les autorités de la police locale, a rapporté le projet PALF. Selon la loi congolaise sur la faune et les aires protégées, les cinq braconniers risquent une peine de cinq ans en prison et payer une amende de près de 5 millions de F CFA, pour avoir abattu un animal intégralement protégé, a-t-on noté. Cet acte d’incivisme est réprimé par les textes en vigueur, à savoir la loi 37-2008 en ses articles 27 et 113. En outre, dans le cadre de la régénération de ses ressources fauniques, le Congo procède chaque année, le 1er novembre, à la fermeture de la chasse. Pour cette année 2012, le thème retenu est: «Luttons contre le braconnage pour sauvegarder la faune sauvage dans l’intérêt des générations actuelles et futures», rappelle-t-on.
Deux trafiquants sous les verrous
La troisième chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, avait déjà jugé le 5 novembre 2012, à Brazzaville deux chasseurs pour abattage de deux éléphanteaux dans la réserve protégée de la Léfini dans le département du Pool. Ces braconniers ont été arrêtés le 27 juillet 2009, pour avoir abattu ces pachydermes et fumé leurs dépouilles pour la commercialisation. Incarcéré dans le cadre de cette affaire, ils risquent cinq ans de prison et des amendes allant jusqu’à 5 millions de FCFA à chacun.
Par ailleurs, deux trafiquants de peau de léopard ont comparu récemment devant la troisième chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, pour détention et commercialisation illégales d’une espèce animale intégralement protégée par la légalisation nationale en vigueur. les deux malfrats, trafiquants des produits fauniques, ont été appréhendés le 1er juillet 2011 à la gare routière du marché Bourreau à Makélékélé par la gendarmerie nationale en collaboration avec la direction départementale de l’économie forestière de Brazzaville et le Projet d’Appui à l’Application de la Loi sur la Faune (PALF), a fait savoir la coordination du PALF. Les deux trafiquants ont été inculpé par la justice et encourent également des peines d’emprisonnement pouvant atteindre cinq ans et des amendes allant jusqu'à 5 millions de F CFA.
Selon les chercheurs, la criminalité faunique devient croissante à travers le monde et présente une menace pour les ressources fauniques protégées en voie de disparition comme le gorille, le chimpanzé et l’éléphant.
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